Le Complexe sidérurgique d'El-Hadjar ne sera finalement pas paralysé par une grève illimitée qui devait entrer en vigueur dès demain. La direction de l'entreprise Arcelor Mittal Steel et le syndicat ont, en effet, signé hier un protocole d'accord contenant 10 points qui satisfait les représentants syndicaux de plus de 8.000 travailleurs de cette multinationale indienne. Ainsi, selon les termes de ce document, signé dans l'enceinte du complexe d'El-Hadjar en présence du secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, 1.200 travailleurs vont partir en retraite anticipée avec en guise de prime de départ 600.000 DA, en sus de onze mois de salaire. La direction de l'entreprise s'est engagée toutefois à ne pas fermer la porte au recrutement de nouveaux travailleurs, comme exigé par le syndicat. Ce dernier a aussi obtenu gain de cause quant à ses revendications relatives à l'amélioration des conditions de travail et à la mise en place d'un organigramme de l'entreprise qui faisait défaut jusque-là. Avec la fermeture de cette parenthèse, qui constitue le premier sérieux conflit entre le syndicat et la direction depuis l'achat par l'entreprise indienne de 70% des actions de ce fleuron national de la sidérurgie, il est certain que la direction de l'entreprise réfléchira par deux fois à l'avenir avant de prendre une quelconque décision relative au licenciement de travailleurs, sous quelque forme que ce soit. Le Complexe sidérurgique d'El-Hadjar ne sera finalement pas paralysé par une grève illimitée qui devait entrer en vigueur dès demain. La direction de l'entreprise Arcelor Mittal Steel et le syndicat ont, en effet, signé hier un protocole d'accord contenant 10 points qui satisfait les représentants syndicaux de plus de 8.000 travailleurs de cette multinationale indienne. Ainsi, selon les termes de ce document, signé dans l'enceinte du complexe d'El-Hadjar en présence du secrétaire général de l'UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, 1.200 travailleurs vont partir en retraite anticipée avec en guise de prime de départ 600.000 DA, en sus de onze mois de salaire. La direction de l'entreprise s'est engagée toutefois à ne pas fermer la porte au recrutement de nouveaux travailleurs, comme exigé par le syndicat. Ce dernier a aussi obtenu gain de cause quant à ses revendications relatives à l'amélioration des conditions de travail et à la mise en place d'un organigramme de l'entreprise qui faisait défaut jusque-là. Avec la fermeture de cette parenthèse, qui constitue le premier sérieux conflit entre le syndicat et la direction depuis l'achat par l'entreprise indienne de 70% des actions de ce fleuron national de la sidérurgie, il est certain que la direction de l'entreprise réfléchira par deux fois à l'avenir avant de prendre une quelconque décision relative au licenciement de travailleurs, sous quelque forme que ce soit.