148 sites à travers 4 communes de la wilaya d'Alger seront dotés prochainement d'un mobilier urbain en vue d'améliorer l'aspect extérieur des communes concernées à savoir Sidi-M'hamed, Alger-centre, El-Mouradia et El-Mohamadia 148 sites à travers 4 communes de la wilaya d'Alger seront dotés prochainement d'un mobilier urbain en vue d'améliorer l'aspect extérieur des communes concernées à savoir Sidi-M'hamed, Alger-centre, El-Mouradia et El-Mohamadia «Cinq opérateurs sur les douze ayant retiré le cahier des charges à la suite de l'avis de mise en adjudication en date du 10 juin dernier ont présenté leurs offres», a déclaré le représentant du wali délégué de la circonscription administrative de Sidi-M'hamed, M. Menouar Rabah lors de l'ouverture des plis techniques. Il devait préciser que les sites de publicité sont au nombre de 148, soit 65 sites de substitution et 83 intégrés au mobilier urbain (Abribus et kiosques). Ces sites ont été retenus, a-t-il précisé, suite aux nombreuses lacunes enregistrées en matière de mobilier urbain, à savoir 40 Abribus, 43 kiosques, 20 vespasiennes, 27 bancs publics, 72 jardinières et 172 corbeilles. Le même responsable devait affirmer que le cahier des charges en question précise que «le mobilier urbain devra être esthétique, homogène de style ville et d'un standard et d'une qualité supérieurs». Dans ses déclarations, il devait dire que «37 communes ont déjà bénéficié de tels projets à travers la dotation de 2.625 sites en mobilier urbain». Faisant allusion au grand déficit découlant de l'exploitation sans contrepartie matérielle et des années durant par des opérateurs privés, le représentant de la wilaya a mis en évidence la volonté de réorganiser le domaine de l'affichage publicitaire, ajoutant que «cette mesure obéit également à la volonté de faire participer le partenaire économique (afficheur) au développement de la capitale, a-t-il souligné. Cette organisation intervient comme première étape avant la promulgation de textes législatifs et réglementaires, régie par un règlement local adopté par l'arrêté n° 848 du 10 mai 2005 qui prévoit la division de la wilaya d'Alger en 5 régions publicitaires.» Cette information met fin à la polémique sur la gestion et les dramatiques retombées financières inhérentes aux mesures prises par la wilaya dans ce secteur. On se rappelle que quatre mois après la décision de la wilaya d'Alger de procéder, en 2006, à l'arrachage de centaines d'affiches, des agences de publicité spécialisées dans l'affichage publicitaire ont réagi négativement tout en mettant en exergue les conséquences découlant de l'obligation du cahier des charges imposé par la wilaya d'Alger. Quatorze mois après l'arrachage de centaines d'affiches, de nombreux professionnels ont dû fermer boutique, avec licenciements et chute vertigineuse du chiffre d'affaires. La décision des services de la wilaya d'Alger d'interdire l'affichage des placards publicitaires et l'opération d'arrachage des panneaux déjà existants ont contraint un grand nombre de boîtes de communication, spécialisées dans les dépliants, les auto-adhésifs et l'élaboration de toute forme de publicité, à mettre carrément la clé sous le paillasson. On se souvient également qu'avec le souci de mettre fin à l'anarchie qui caractérise le domaine public de l'affichage publicitaire, à la veille de la publication d'un cahier des charges définissant la manière d'octroyer les espaces publicitaires et les lois régissant ce domaine, la wilaya d'Alger avait organisé, durant le mois de mai 2005, le premier salon du mobilier urbain. «Cinq opérateurs sur les douze ayant retiré le cahier des charges à la suite de l'avis de mise en adjudication en date du 10 juin dernier ont présenté leurs offres», a déclaré le représentant du wali délégué de la circonscription administrative de Sidi-M'hamed, M. Menouar Rabah lors de l'ouverture des plis techniques. Il devait préciser que les sites de publicité sont au nombre de 148, soit 65 sites de substitution et 83 intégrés au mobilier urbain (Abribus et kiosques). Ces sites ont été retenus, a-t-il précisé, suite aux nombreuses lacunes enregistrées en matière de mobilier urbain, à savoir 40 Abribus, 43 kiosques, 20 vespasiennes, 27 bancs publics, 72 jardinières et 172 corbeilles. Le même responsable devait affirmer que le cahier des charges en question précise que «le mobilier urbain devra être esthétique, homogène de style ville et d'un standard et d'une qualité supérieurs». Dans ses déclarations, il devait dire que «37 communes ont déjà bénéficié de tels projets à travers la dotation de 2.625 sites en mobilier urbain». Faisant allusion au grand déficit découlant de l'exploitation sans contrepartie matérielle et des années durant par des opérateurs privés, le représentant de la wilaya a mis en évidence la volonté de réorganiser le domaine de l'affichage publicitaire, ajoutant que «cette mesure obéit également à la volonté de faire participer le partenaire économique (afficheur) au développement de la capitale, a-t-il souligné. Cette organisation intervient comme première étape avant la promulgation de textes législatifs et réglementaires, régie par un règlement local adopté par l'arrêté n° 848 du 10 mai 2005 qui prévoit la division de la wilaya d'Alger en 5 régions publicitaires.» Cette information met fin à la polémique sur la gestion et les dramatiques retombées financières inhérentes aux mesures prises par la wilaya dans ce secteur. On se rappelle que quatre mois après la décision de la wilaya d'Alger de procéder, en 2006, à l'arrachage de centaines d'affiches, des agences de publicité spécialisées dans l'affichage publicitaire ont réagi négativement tout en mettant en exergue les conséquences découlant de l'obligation du cahier des charges imposé par la wilaya d'Alger. Quatorze mois après l'arrachage de centaines d'affiches, de nombreux professionnels ont dû fermer boutique, avec licenciements et chute vertigineuse du chiffre d'affaires. La décision des services de la wilaya d'Alger d'interdire l'affichage des placards publicitaires et l'opération d'arrachage des panneaux déjà existants ont contraint un grand nombre de boîtes de communication, spécialisées dans les dépliants, les auto-adhésifs et l'élaboration de toute forme de publicité, à mettre carrément la clé sous le paillasson. On se souvient également qu'avec le souci de mettre fin à l'anarchie qui caractérise le domaine public de l'affichage publicitaire, à la veille de la publication d'un cahier des charges définissant la manière d'octroyer les espaces publicitaires et les lois régissant ce domaine, la wilaya d'Alger avait organisé, durant le mois de mai 2005, le premier salon du mobilier urbain.