Les maladies transmissibles et non-transmissibles "ont enregistré au cours de ces dernières années une régression substantielle". A l'ouverture des travaux de la rencontre qui a regroupé, à l'école de formation paramédicale de Sidi Bel Abbès, les directeurs de la santé et les responsables des centres hospitalo-universitaires (CHU) du pays, le ministre a présenté une étude comparative des maladies transmissibles et non-transmissibles (tétanos, coqueluche, tuberculose,...), précisant que ces pathologies "ont enregistré au cours de ces dernières années une régression substantielle en raison du renforcement du dispositif de prévention et de traitement médical". M. Amar Tou a fait remarquer, dans ce contexte, que de telles maladies "ont reculé de manière sensible, tandis que d'autres ont pratiquement disparu de l'environnement social", soulignant que "la réduction, voire l'éradication des maladies transmissibles et non-transmissibles résulte précisément des efforts consentis par l'Etat dans le développement des infrastructures hospitalières, le renforcement des équipements médicaux et l'amélioration des conditions d'accueil et de prise en charge des malades". Pour sa part, le chef de service d'épidémiologique et de médecine préventive du CHU de Sidi Bel Abbès a présenté la méthodologie d'investigations du syndrome rénal observé durant le mois d'août dernier dans diverses zones de la wilaya de Sidi Bel Abbès. Il a, à ce propos, souligné que la démarche entreprise par les médecins épidémiologistes pour diagnostiquer cette pathologie visait simultanément à enrayer la progression du syndrome rénal et déterminer l'agent causal du virus. "Une cellule de crise a été installée à l'effet de superviser le processus de lutte anti-épidémique du syndrome rénal", a-t-il indiqué avant de révéler que l'enquête initiée à ll'effet de déterminer le facteur causal et l'origine de la pathologie "a permis d'écarter l'hypothèse liée à la toxicité". L'intervenant a cependant précisé que les "premiers résultats anatomo-pathologies ont fait ressortir que le syndrome rénal était d'origine infectieuse", soulignant, à propos de l'évolution de la pathologie, que "les malades admis au CHU de Sidi Bel Abbès ont très bien répondu au traitement symptomatique prescrit par l'équipe médicale" grâce, dira-t-il, au dispositif de lutte anti-épidémique mis en place qui a été assorti de diverses actions complémentaires portant notamment sur la prévention et le contrôle médical permanent des malades. Le chef de service d'épidémiologie et de médecine préventive du CHU de Sidi Bel Abbès a formulé parallèlement diverses propositions visant particulièrement le renforcement du système d'information sanitaire et de surveillance épidémiologique et le développement des laboratoires d'explorations biologiques. Au cours des débats, les participants ont mis l'accent sur la nécessité de multiplier les laboratoires spécialisés en vue de faciliter les analyses et la détection des pathologies, avant d'aborder diverses questions relatives aux examens cliniques de base, aux aspects symptomatiques de syndrome rénal et aux modalités de traitement thérapeutique de la maladie. Les maladies transmissibles et non-transmissibles "ont enregistré au cours de ces dernières années une régression substantielle". A l'ouverture des travaux de la rencontre qui a regroupé, à l'école de formation paramédicale de Sidi Bel Abbès, les directeurs de la santé et les responsables des centres hospitalo-universitaires (CHU) du pays, le ministre a présenté une étude comparative des maladies transmissibles et non-transmissibles (tétanos, coqueluche, tuberculose,...), précisant que ces pathologies "ont enregistré au cours de ces dernières années une régression substantielle en raison du renforcement du dispositif de prévention et de traitement médical". M. Amar Tou a fait remarquer, dans ce contexte, que de telles maladies "ont reculé de manière sensible, tandis que d'autres ont pratiquement disparu de l'environnement social", soulignant que "la réduction, voire l'éradication des maladies transmissibles et non-transmissibles résulte précisément des efforts consentis par l'Etat dans le développement des infrastructures hospitalières, le renforcement des équipements médicaux et l'amélioration des conditions d'accueil et de prise en charge des malades". Pour sa part, le chef de service d'épidémiologique et de médecine préventive du CHU de Sidi Bel Abbès a présenté la méthodologie d'investigations du syndrome rénal observé durant le mois d'août dernier dans diverses zones de la wilaya de Sidi Bel Abbès. Il a, à ce propos, souligné que la démarche entreprise par les médecins épidémiologistes pour diagnostiquer cette pathologie visait simultanément à enrayer la progression du syndrome rénal et déterminer l'agent causal du virus. "Une cellule de crise a été installée à l'effet de superviser le processus de lutte anti-épidémique du syndrome rénal", a-t-il indiqué avant de révéler que l'enquête initiée à ll'effet de déterminer le facteur causal et l'origine de la pathologie "a permis d'écarter l'hypothèse liée à la toxicité". L'intervenant a cependant précisé que les "premiers résultats anatomo-pathologies ont fait ressortir que le syndrome rénal était d'origine infectieuse", soulignant, à propos de l'évolution de la pathologie, que "les malades admis au CHU de Sidi Bel Abbès ont très bien répondu au traitement symptomatique prescrit par l'équipe médicale" grâce, dira-t-il, au dispositif de lutte anti-épidémique mis en place qui a été assorti de diverses actions complémentaires portant notamment sur la prévention et le contrôle médical permanent des malades. Le chef de service d'épidémiologie et de médecine préventive du CHU de Sidi Bel Abbès a formulé parallèlement diverses propositions visant particulièrement le renforcement du système d'information sanitaire et de surveillance épidémiologique et le développement des laboratoires d'explorations biologiques. Au cours des débats, les participants ont mis l'accent sur la nécessité de multiplier les laboratoires spécialisés en vue de faciliter les analyses et la détection des pathologies, avant d'aborder diverses questions relatives aux examens cliniques de base, aux aspects symptomatiques de syndrome rénal et aux modalités de traitement thérapeutique de la maladie.