La société mixte algéro-américaine, BRC, serait prochainement proposée à la dissolution, selon une source interne. Cette entreprise mixte, spécialisée dans l'engineering, détenue respectivement par Sonatrach et Halliburton, cessera d'exister avant la fin de l'année en cours, a ajouté la même source qui précise qu'un «accord à l'amiable» entre ces deux sociétés pétrolières a été trouvé récemment. Cet accord prévoit notamment une liquidation administrative, c'est-à-dire sans recourir à la nomination d'un liquidateur, et un «partage équitable» des revenus. Cette décision aurait été prise à un «plus haut niveau», indique-t-on encore. Cette société, qui n'en finit plus de parler d'elle après l'énorme scandale financier qui a ébranlé sérieusement cette entreprise, est aujourd'hui en voie de «liquidation totale». Pourtant, au lendemain de l'éclatement du scandale, les autorités et les responsables de Sonatrach ont opéré des changements à la tête de l'entreprise afin de lui redonner une seconde vie. Sonatrach, avec l'appui du Centre de recherche nucléaire de Draria (CNRD), avait installé tout récemment un nouveau PDG, en la personne de Karim Djebbour, un cadre de Sonatrach en remplacement de Ould Kaddour, à l'issue d'un conseil d'administration. Cette entreprise, dans laquelle la partie algérienne détient 51% des actions, a également vu la nomination de deux administrateurs membres de son conseil, en l'occurrence, le remplacement de Benkessirat par Rezaïguia et Ould Kaddour par Hadj Hamou. Le portefeuille de l'actionnariat de BRC est détenu par Sonatrach à hauteur de 40%, de 11% pour le CNRD et de 49% pour KBR. Cette entreprise de droit algérien fait l'objet depuis quelques mois d'enquêtes de la part de l'Inspection générale des finances (IGF) pour «passation irrégulière de marchés et surfacturations aux ministères de la Défense et de l'Energie». Des contrats ont été même résiliés par certains clients qui attendent le dénouement de cette affaire devant la justice. Car, selon ces mêmes sources, l'affaire BRC devrait atterrir incessamment devant la justice. La société mixte algéro-américaine, BRC, serait prochainement proposée à la dissolution, selon une source interne. Cette entreprise mixte, spécialisée dans l'engineering, détenue respectivement par Sonatrach et Halliburton, cessera d'exister avant la fin de l'année en cours, a ajouté la même source qui précise qu'un «accord à l'amiable» entre ces deux sociétés pétrolières a été trouvé récemment. Cet accord prévoit notamment une liquidation administrative, c'est-à-dire sans recourir à la nomination d'un liquidateur, et un «partage équitable» des revenus. Cette décision aurait été prise à un «plus haut niveau», indique-t-on encore. Cette société, qui n'en finit plus de parler d'elle après l'énorme scandale financier qui a ébranlé sérieusement cette entreprise, est aujourd'hui en voie de «liquidation totale». Pourtant, au lendemain de l'éclatement du scandale, les autorités et les responsables de Sonatrach ont opéré des changements à la tête de l'entreprise afin de lui redonner une seconde vie. Sonatrach, avec l'appui du Centre de recherche nucléaire de Draria (CNRD), avait installé tout récemment un nouveau PDG, en la personne de Karim Djebbour, un cadre de Sonatrach en remplacement de Ould Kaddour, à l'issue d'un conseil d'administration. Cette entreprise, dans laquelle la partie algérienne détient 51% des actions, a également vu la nomination de deux administrateurs membres de son conseil, en l'occurrence, le remplacement de Benkessirat par Rezaïguia et Ould Kaddour par Hadj Hamou. Le portefeuille de l'actionnariat de BRC est détenu par Sonatrach à hauteur de 40%, de 11% pour le CNRD et de 49% pour KBR. Cette entreprise de droit algérien fait l'objet depuis quelques mois d'enquêtes de la part de l'Inspection générale des finances (IGF) pour «passation irrégulière de marchés et surfacturations aux ministères de la Défense et de l'Energie». Des contrats ont été même résiliés par certains clients qui attendent le dénouement de cette affaire devant la justice. Car, selon ces mêmes sources, l'affaire BRC devrait atterrir incessamment devant la justice.