Agissant sur une information faisant état de la commercialisation de la «poudre de rêve», les éléments de la Brigade de recherche et d'investigation (S.W.P.J. Alger) ont réussi à neutraliser quatre membres du réseau tandis que 3 autres sont activement recherchés. D'une valeur marchande avoisinant les 100 milliards de centimes, la quantité de drogue saisie au domicile d'un des auteurs a été soumise à des analyses poussées dans les locaux de la police scientifique qui confirmèrent la nature de cette drogue de même que le degré de pureté. Des analyses qui permirent au commissaire principal Bellassel Boualem à la tête de la division ouest de la police judiciaire d'affirmer que la drogue était pure donc, susceptible d'être coupée pour atteindre une quantité autrement plus importante. C'est en mars dernier, explique le commissaire, que «des pêcheurs traditionnels de Bouharoun ont repêché un paquet au large de la plage Colonel-Abbas (Boudouaou)». Devant la découverte de la cocaïne conditionnée dans des paquets de 500 grammes, les pêcheurs, plutôt que d'alerter les services de sécurité, ont préféré opter pour la revente de cette denrée sachant que le prix du gramme oscille entre 8.000 et 10.000 DA", indique l'officier. Dès lors, une véritable quête d'acheteur est entamée par les trois pêcheurs (B.A, 66 ans, B.M, 43 ans et K.M, 31 ans) qui réussissent à trouver un acheteur, L.A, 44 ans connu des services de police et résidant à Cinq maisons El-Harrach . Informé par des citoyens sur les activités de de dernier, les services de police ont immédiatement déclenché une enquête à des fins d'identification et de localisation de la personne en question. Une enquête les a conduit à l'arrestation de L.A, et à la saisi de la drogue après une perquisition de son domicile sur la base d'un mandat de perquisition émis par le procureur en date du 1er Octobre de l'année en cours. A signaler que l'auteur de ce commerce écoulait sa marchandise au sein de certains tels que les quartiers huppés de la capitale. Bouzareah, El Biar, Ben Aknoun, les policiers ont procédé ensuite à l'arrestation des trois autres complices. Présentés devant la justice les quatre personnes ont été placées sous mandat. Toujours à propos de drogue dure (cocaïne, héroïne, crack, acides etc.), il convient de dire que le continent africain est en passe de devenir un eldorado et un espace de transit pour les narcotrafiquants. A la fin de l'année écoulée, un algérien a été arrêté a Cinq maisons (El-Harrach) par les éléments de la Gendarmerie national qui lui reprochait d'avoir tenté d'introduire une tonne de cocaïne saisie par la police espagnole à l'intérieur de son conteneur en Espagne. Il est indiqué que la tonne de cocaïne était en provenance du Venezuela pour être « dissimulée dans des articles sanitaires fabriqués par une unité appartenant à H. B, résident au Venezuela et auteur de l'importation en question». Un mandat d'arrêt international aurait été émis par la Gendarmerie nationale et par Interpol à l'encontre de ce dernier. Agissant sur une information faisant état de la commercialisation de la «poudre de rêve», les éléments de la Brigade de recherche et d'investigation (S.W.P.J. Alger) ont réussi à neutraliser quatre membres du réseau tandis que 3 autres sont activement recherchés. D'une valeur marchande avoisinant les 100 milliards de centimes, la quantité de drogue saisie au domicile d'un des auteurs a été soumise à des analyses poussées dans les locaux de la police scientifique qui confirmèrent la nature de cette drogue de même que le degré de pureté. Des analyses qui permirent au commissaire principal Bellassel Boualem à la tête de la division ouest de la police judiciaire d'affirmer que la drogue était pure donc, susceptible d'être coupée pour atteindre une quantité autrement plus importante. C'est en mars dernier, explique le commissaire, que «des pêcheurs traditionnels de Bouharoun ont repêché un paquet au large de la plage Colonel-Abbas (Boudouaou)». Devant la découverte de la cocaïne conditionnée dans des paquets de 500 grammes, les pêcheurs, plutôt que d'alerter les services de sécurité, ont préféré opter pour la revente de cette denrée sachant que le prix du gramme oscille entre 8.000 et 10.000 DA", indique l'officier. Dès lors, une véritable quête d'acheteur est entamée par les trois pêcheurs (B.A, 66 ans, B.M, 43 ans et K.M, 31 ans) qui réussissent à trouver un acheteur, L.A, 44 ans connu des services de police et résidant à Cinq maisons El-Harrach . Informé par des citoyens sur les activités de de dernier, les services de police ont immédiatement déclenché une enquête à des fins d'identification et de localisation de la personne en question. Une enquête les a conduit à l'arrestation de L.A, et à la saisi de la drogue après une perquisition de son domicile sur la base d'un mandat de perquisition émis par le procureur en date du 1er Octobre de l'année en cours. A signaler que l'auteur de ce commerce écoulait sa marchandise au sein de certains tels que les quartiers huppés de la capitale. Bouzareah, El Biar, Ben Aknoun, les policiers ont procédé ensuite à l'arrestation des trois autres complices. Présentés devant la justice les quatre personnes ont été placées sous mandat. Toujours à propos de drogue dure (cocaïne, héroïne, crack, acides etc.), il convient de dire que le continent africain est en passe de devenir un eldorado et un espace de transit pour les narcotrafiquants. A la fin de l'année écoulée, un algérien a été arrêté a Cinq maisons (El-Harrach) par les éléments de la Gendarmerie national qui lui reprochait d'avoir tenté d'introduire une tonne de cocaïne saisie par la police espagnole à l'intérieur de son conteneur en Espagne. Il est indiqué que la tonne de cocaïne était en provenance du Venezuela pour être « dissimulée dans des articles sanitaires fabriqués par une unité appartenant à H. B, résident au Venezuela et auteur de l'importation en question». Un mandat d'arrêt international aurait été émis par la Gendarmerie nationale et par Interpol à l'encontre de ce dernier.