La compagnie norvégienne a déjà investi un montant de plus de 2,5 milliards de dollars en Algérie dans le secteur des Hydrocarbures. La compagnie norvégienne a déjà investi un montant de plus de 2,5 milliards de dollars en Algérie dans le secteur des Hydrocarbures. Venu inaugurer l'Ambassade du royaume de Norvège en Algérie, le ministre des Affaires étrangère du royaume de Norvège, M. Jonas Gahr Stor qui se trouve en Algérie depuis dimanche pour une visite de trois jours, a été reçu par le Président Bouteflika en inscrivant sa visite dans le cadre du renforcement du partenariat énergétique, «un lien fort» dans la coopération dans ce domaine. Pour sa part, Mourad Medelci a indiqué que l'ouverture de l'Ambassade de Norvège à Alger «est un geste d'une symbolique très importante» qui exprime de la part des deux parties «une volonté réelle de consolider la coopération dans le secteur énergétique». A ce sujet, les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Norvège sont constitués essentiellement de produits énergétiques avec un volume d'exportation algériennes de 14,17 millions de dollars et des importations de 19,99 millions de dollars, soit un déficit pour l'Algérie de plus de 5,8 millions de dollars. Ainsi, pour la compagnie pétrolière norvégienne Statoil, Sonatrach constitue un partenaire- clé dans le déploiement à l'international des deux géants pétroliers. Dans ce sens, les perspectives de la Norvège sont claires. Il s'agit de faire de l'Algérie un point de départ, une sorte de passage obligé en vue de cibler les pays de la rive nord de la Méditerranée comme l'Espagne, la France ou encore l'Italie, des marchés particulièrement énergétivores. Aussi, cette coopération énergétique entre l'Algérie et la Norvège permet à Sonatrach d'explorer des sites pétroliers norvégiens en off-shore. Les compagnies nationales Sonatrach et Statoil sont liées depuis 2004 par un mémorandum d'entente portant sur la coopération entre les deux compagnies dans tous les domaines du secteur (exploration, production et commercialisation). La compagnie norvégienne a déjà investi un montant de plus de 2,5 milliards de dollars en Algérie dans le secteur des Hydrocarbures. A cette occasion, la compagnie norvégienne avait, rappelons-le, inauguré en septembre 2004 son bureau à Alger. Enfin, le mémorandum intègre également la coopération entre les deux partenaires dans les domaines de la recherche et du développement, l'aspect HSE (santé, sécurité et environnement), et le forage. Actuellement, ce producteur classé en tant que troisième fournisseur de brut de par le monde manipule environ 2,7 millions de barils par jour dont une proportion de 1 million de barils par jour en production directe. L'investissement global de Statoil en Algérie s'élève à 2 milliards de dollars. Il y a lieu de rappeler qu'en 2003, Statoil avait racheté les parts de BP dans les champs gaziers d'In-Salah (49%) et d'In-Amenas (50%) pour 740 millions de dollars. La coopération entre les deux parties a également été élargie dans l'aval gazier sur les différents marchés du Bassin atlantique et de la Méditerranée. Venu inaugurer l'Ambassade du royaume de Norvège en Algérie, le ministre des Affaires étrangère du royaume de Norvège, M. Jonas Gahr Stor qui se trouve en Algérie depuis dimanche pour une visite de trois jours, a été reçu par le Président Bouteflika en inscrivant sa visite dans le cadre du renforcement du partenariat énergétique, «un lien fort» dans la coopération dans ce domaine. Pour sa part, Mourad Medelci a indiqué que l'ouverture de l'Ambassade de Norvège à Alger «est un geste d'une symbolique très importante» qui exprime de la part des deux parties «une volonté réelle de consolider la coopération dans le secteur énergétique». A ce sujet, les échanges commerciaux entre l'Algérie et la Norvège sont constitués essentiellement de produits énergétiques avec un volume d'exportation algériennes de 14,17 millions de dollars et des importations de 19,99 millions de dollars, soit un déficit pour l'Algérie de plus de 5,8 millions de dollars. Ainsi, pour la compagnie pétrolière norvégienne Statoil, Sonatrach constitue un partenaire- clé dans le déploiement à l'international des deux géants pétroliers. Dans ce sens, les perspectives de la Norvège sont claires. Il s'agit de faire de l'Algérie un point de départ, une sorte de passage obligé en vue de cibler les pays de la rive nord de la Méditerranée comme l'Espagne, la France ou encore l'Italie, des marchés particulièrement énergétivores. Aussi, cette coopération énergétique entre l'Algérie et la Norvège permet à Sonatrach d'explorer des sites pétroliers norvégiens en off-shore. Les compagnies nationales Sonatrach et Statoil sont liées depuis 2004 par un mémorandum d'entente portant sur la coopération entre les deux compagnies dans tous les domaines du secteur (exploration, production et commercialisation). La compagnie norvégienne a déjà investi un montant de plus de 2,5 milliards de dollars en Algérie dans le secteur des Hydrocarbures. A cette occasion, la compagnie norvégienne avait, rappelons-le, inauguré en septembre 2004 son bureau à Alger. Enfin, le mémorandum intègre également la coopération entre les deux partenaires dans les domaines de la recherche et du développement, l'aspect HSE (santé, sécurité et environnement), et le forage. Actuellement, ce producteur classé en tant que troisième fournisseur de brut de par le monde manipule environ 2,7 millions de barils par jour dont une proportion de 1 million de barils par jour en production directe. L'investissement global de Statoil en Algérie s'élève à 2 milliards de dollars. Il y a lieu de rappeler qu'en 2003, Statoil avait racheté les parts de BP dans les champs gaziers d'In-Salah (49%) et d'In-Amenas (50%) pour 740 millions de dollars. La coopération entre les deux parties a également été élargie dans l'aval gazier sur les différents marchés du Bassin atlantique et de la Méditerranée.