Le ministre de la Justice est resté assez vague sur le cas de Hassan Hattab, l'ex-émir national du GSPC, qui s'est rendu aux autorités le 22 septembre dernier. Tayeb Belaiz, interpellé par les journalistes sur la possibilité de voir le fondateur de ce groupe terroriste bénéficier des dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, a, en effet, déclaré que «c'est la justice qui décidera». Belaiz, qui s'exprimait en marge de la rencontre gouvernement-walis au Palais des nations, n' a pas non plus précisé si Hassan Hattab sera présenté devant la cour d'Alger lors de son procès qui est prévu le 4 novembre prochain. Il a juste affirmé que «s'il n'est pas présent au procès, la mesure de contumace sera appliquée et les lois de la République, en tout cas, seront appliquées». Ce suspense qui entoure le cas de Hattab est dû au fait qu'il est déclaré en fuite, ce qui laisse supposer qu'il ne sera pas au box des accusés le jour du procès. Hattab, pour rappel, a été déjà condamné par contumace par plusieurs tribunaux, comme c'était le cas à Tizi-Ouzou, Boumerdès et Batna. Il a abandonné l'action terroriste armée depuis plus de deux ans et a soutenu la politique de réconciliation nationale. Par ailleurs, Tayeb Belaiz a déclaré que 17 Algériens sont détenus à Guantanamo dont l'identité a été confirmée par la délégation algérienne dépêchée sur place, il y a quelques mois. Il a souligné que l'Algérie ne va pas accepter les conditions des autres s'agissant de leur extradition vers le pays. Belaiz faisait allusion aux négociations en cours avec les autorités américaines. L'administration américaine a conditionné leur extradition en Algérie par, entre autres, l'engagement des autorités algériennes à ce que ces détenus ne reprennent pas leurs activités terroristes. Alger, qui a reçu plusieurs hauts responsables américains, a toujours rejeté les conditions de Washington. Le ministre de la Justice est resté assez vague sur le cas de Hassan Hattab, l'ex-émir national du GSPC, qui s'est rendu aux autorités le 22 septembre dernier. Tayeb Belaiz, interpellé par les journalistes sur la possibilité de voir le fondateur de ce groupe terroriste bénéficier des dispositions de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, a, en effet, déclaré que «c'est la justice qui décidera». Belaiz, qui s'exprimait en marge de la rencontre gouvernement-walis au Palais des nations, n' a pas non plus précisé si Hassan Hattab sera présenté devant la cour d'Alger lors de son procès qui est prévu le 4 novembre prochain. Il a juste affirmé que «s'il n'est pas présent au procès, la mesure de contumace sera appliquée et les lois de la République, en tout cas, seront appliquées». Ce suspense qui entoure le cas de Hattab est dû au fait qu'il est déclaré en fuite, ce qui laisse supposer qu'il ne sera pas au box des accusés le jour du procès. Hattab, pour rappel, a été déjà condamné par contumace par plusieurs tribunaux, comme c'était le cas à Tizi-Ouzou, Boumerdès et Batna. Il a abandonné l'action terroriste armée depuis plus de deux ans et a soutenu la politique de réconciliation nationale. Par ailleurs, Tayeb Belaiz a déclaré que 17 Algériens sont détenus à Guantanamo dont l'identité a été confirmée par la délégation algérienne dépêchée sur place, il y a quelques mois. Il a souligné que l'Algérie ne va pas accepter les conditions des autres s'agissant de leur extradition vers le pays. Belaiz faisait allusion aux négociations en cours avec les autorités américaines. L'administration américaine a conditionné leur extradition en Algérie par, entre autres, l'engagement des autorités algériennes à ce que ces détenus ne reprennent pas leurs activités terroristes. Alger, qui a reçu plusieurs hauts responsables américains, a toujours rejeté les conditions de Washington.