Bouteflika a mis l'accent sur l'apport de la bonne gouvernance dans la stabilité politique des pays africains, et sa grande implication dans le développement économique et l'intégration dans la sphère économique mondiale. Bouteflika a mis l'accent sur l'apport de la bonne gouvernance dans la stabilité politique des pays africains, et sa grande implication dans le développement économique et l'intégration dans la sphère économique mondiale. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a adressé un message, à l'occasion des travaux du 7e Forum des chefs d'Etat et de gouvernement africains, qui a clos ses travaux vendredi dernier, avec en prime l'adoption de «l'engagement de Ouagadougou», que le chef de l'Etat et deux autres présidents africains se chargeront d'en porter le contenu à l'attention de la Conférence des chefs d'Etat et de gouvernement ainsi qu'à la Commission de l'Union africaine (UA) en vue de sa mise en œuvre. Dans le message lu par le Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, représentant du Président au forum de Ouagadougou (Burkina Faso), Bouteflika a mis l'accent sur l'apport de la bonne gouvernance dans la stabilité politique des pays africains et sa grande implication dans le développement économique et l'intégration dans la sphère économique mondiale. Abordant l'expérience algérienne en la matière, le chef de l'Etat a mis en exergue les avancées économiques et politiques enregistrées lors de ces dernières années, les vastes chantiers de réformes tous azimuts engagés, justement dans cette perspective novatrice, inspirée par la question fondamentale de la bonne gouvernance. La paix et la sécurité retrouvées, après la mise en œuvre des lois sur la concorde civile et la réconciliation nationale, «l'Algérie a retrouvé sa stabilité et a pu investir l'essentiel de ses ressources dans la consolidation de la jeune démocratie et dans la relance de son développement socioéconomique», dira-t-il dans ce sens. Poursuivant son exposé, Bouteflika a énuméré les défis que notre pays aspire à relever, et qui vont de l'amélioration du fonctionnement des institutions nationales au perfectionnement professionnel dans tous les secteurs d'activité, passant par «le renforcement de la transparence dans la gestion publique, une meilleure répartition des rôles et des responsabilités entre l'administration centrale et locale, l'adaptation des statuts de la Fonction publique pour une plus grande efficacité, l'approfondissement de la réforme du système éducatif», a-t-il indiqué. Sur un autre registre, le président de la République a salué les actions entreprises par le Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (MAEP), et ses efforts dans le sens de consolider la culture de la bonne gouvernance au sein des Etats africains. Cependant, il a relevé «la faiblesse des capacités d'intervention de l'Etat», qui constitue, selon lui, le défi de l'avenir sur lequel il faudra se concentrer davantage. «C'est pourquoi je suis convaincu qu'il est important que les efforts, les nôtres d'abord, et ceux des partenaires au développement du continent, s'orientent aussi sur le lancement de vastes programmes de développement institutionnels en Afrique», a-t-il préconisé, insistant sur la nécessité d'impliquer la société civile, dans toute sa dimension, dans ce processus de développement. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a adressé un message, à l'occasion des travaux du 7e Forum des chefs d'Etat et de gouvernement africains, qui a clos ses travaux vendredi dernier, avec en prime l'adoption de «l'engagement de Ouagadougou», que le chef de l'Etat et deux autres présidents africains se chargeront d'en porter le contenu à l'attention de la Conférence des chefs d'Etat et de gouvernement ainsi qu'à la Commission de l'Union africaine (UA) en vue de sa mise en œuvre. Dans le message lu par le Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, représentant du Président au forum de Ouagadougou (Burkina Faso), Bouteflika a mis l'accent sur l'apport de la bonne gouvernance dans la stabilité politique des pays africains et sa grande implication dans le développement économique et l'intégration dans la sphère économique mondiale. Abordant l'expérience algérienne en la matière, le chef de l'Etat a mis en exergue les avancées économiques et politiques enregistrées lors de ces dernières années, les vastes chantiers de réformes tous azimuts engagés, justement dans cette perspective novatrice, inspirée par la question fondamentale de la bonne gouvernance. La paix et la sécurité retrouvées, après la mise en œuvre des lois sur la concorde civile et la réconciliation nationale, «l'Algérie a retrouvé sa stabilité et a pu investir l'essentiel de ses ressources dans la consolidation de la jeune démocratie et dans la relance de son développement socioéconomique», dira-t-il dans ce sens. Poursuivant son exposé, Bouteflika a énuméré les défis que notre pays aspire à relever, et qui vont de l'amélioration du fonctionnement des institutions nationales au perfectionnement professionnel dans tous les secteurs d'activité, passant par «le renforcement de la transparence dans la gestion publique, une meilleure répartition des rôles et des responsabilités entre l'administration centrale et locale, l'adaptation des statuts de la Fonction publique pour une plus grande efficacité, l'approfondissement de la réforme du système éducatif», a-t-il indiqué. Sur un autre registre, le président de la République a salué les actions entreprises par le Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (MAEP), et ses efforts dans le sens de consolider la culture de la bonne gouvernance au sein des Etats africains. Cependant, il a relevé «la faiblesse des capacités d'intervention de l'Etat», qui constitue, selon lui, le défi de l'avenir sur lequel il faudra se concentrer davantage. «C'est pourquoi je suis convaincu qu'il est important que les efforts, les nôtres d'abord, et ceux des partenaires au développement du continent, s'orientent aussi sur le lancement de vastes programmes de développement institutionnels en Afrique», a-t-il préconisé, insistant sur la nécessité d'impliquer la société civile, dans toute sa dimension, dans ce processus de développement.