Ces chiffres alarmants constatés sur nos routes, ont été établis suite aux 18.127 accidents de la route survenus, à l'échelle nationale, durant les neuf premiers mois de l'année en cours, indiquent les services de la gendarmerie nationale. Il y a lieu de signaler que le nombre enregistré est en nette régression comparativement à l'année écoulée. Le conférencier, en l'occurrence le colonel Smaïl Halab a tenu à mettre l'accent sur le caractère aggravant, du facteur humain, à l'origine des trois quarts de ces accidents. Tenant compte de la gravité de cette situation, le directeur des projets de la gendarmerie nationale a mis en évidence la nécessité de mettre en place une véritable stratégie dans la lutte contre l'insécurité routière, indiquant «qu'il est temps de passer à une vitesse supérieure dans la lutte contre l'insécurité routière». La nouvelle stratégie est synonyme de nouvelles lois drastiques, à même de dissuader les contrevenants et de requalifier les délits routiers. Pour le colonel, «les moyens actuels de prévention contre l'insécurité routière restent insuffisants, s'ils ne sont pas soutenus par des lois qui sanctionnent sévèrement les auteurs des accidents, une fois leur responsabilité déterminée». Dans cet ordre d'idée, il devait indiquer que la gendarmerie nationale compte, après homologation, se doter d'un logiciel de reconstitution des accidents, qui leur permettrait de responsabiliser les auteurs, sur la base des causes réelles établies. Le conférencier devait préciser que l'introduction de cet outil, entre dans le cadre de la création d'un département "examen véhicule" au sein de l'Institut national criminalistique et de criminologie de la Gendarmerie nationale (INCC/GN) et sera utilisé comme pilote dans la reconstitution des accidents de la route survenus dans la wilaya d'Alger, avant d'être généralisé à l'échelle nationale. Ces chiffres alarmants constatés sur nos routes, ont été établis suite aux 18.127 accidents de la route survenus, à l'échelle nationale, durant les neuf premiers mois de l'année en cours, indiquent les services de la gendarmerie nationale. Il y a lieu de signaler que le nombre enregistré est en nette régression comparativement à l'année écoulée. Le conférencier, en l'occurrence le colonel Smaïl Halab a tenu à mettre l'accent sur le caractère aggravant, du facteur humain, à l'origine des trois quarts de ces accidents. Tenant compte de la gravité de cette situation, le directeur des projets de la gendarmerie nationale a mis en évidence la nécessité de mettre en place une véritable stratégie dans la lutte contre l'insécurité routière, indiquant «qu'il est temps de passer à une vitesse supérieure dans la lutte contre l'insécurité routière». La nouvelle stratégie est synonyme de nouvelles lois drastiques, à même de dissuader les contrevenants et de requalifier les délits routiers. Pour le colonel, «les moyens actuels de prévention contre l'insécurité routière restent insuffisants, s'ils ne sont pas soutenus par des lois qui sanctionnent sévèrement les auteurs des accidents, une fois leur responsabilité déterminée». Dans cet ordre d'idée, il devait indiquer que la gendarmerie nationale compte, après homologation, se doter d'un logiciel de reconstitution des accidents, qui leur permettrait de responsabiliser les auteurs, sur la base des causes réelles établies. Le conférencier devait préciser que l'introduction de cet outil, entre dans le cadre de la création d'un département "examen véhicule" au sein de l'Institut national criminalistique et de criminologie de la Gendarmerie nationale (INCC/GN) et sera utilisé comme pilote dans la reconstitution des accidents de la route survenus dans la wilaya d'Alger, avant d'être généralisé à l'échelle nationale.