L'allaitement maternel aurait des effets très bénéfiques sur le développement du quotient intellectuel (QI) de certains enfants, selon une étude médicale britannique. Les enfants, pour qui l'allaitement s'est révélé bénéfique au niveau du développement, cognitif bénéficiait d'une version particulière d'un gène nommé FADS2. Cependant, souligne également cette étude, l'allaitement seul ne suffit pas à augmenter le QI qui dépend également de facteurs environnementaux (famille, milieu social...) et génétiques. Selon les chercheurs qui ont réalisé cette étude auprès de 3.000 bébés nourris au sein en Grande-Bretagne et en Nouvelle-Zélande, les enfants dotés d'une version particulière du gène FADS2 avaient en moyenne un QI de 6,8 points plus haut que les autres enfants. Cette différence persiste quel que soit le milieu socio-économique de l'enfant, le QI de la mère, le poids du bébé à la naissance ou l'âge de la mère durant la grossesse. Le gène FADS2 a été étudié car il produit une enzyme trouvée dans le lait maternel qui aide à transformer les acides gras alimentaires en acides gras polyinsaturés qui s'accumulent dans le cerveau durant les premiers mois après la naissance. Certains chercheurs estiment que cette enzyme pourrait avoir une influence sur le développement de l'intelligence cognitive. L'idée selon laquelle l'allaitement augmentait le QI d'un enfant est apparue dès 1929 dans des revues scientifiques. Il y a un an, une étude publiée par le British Medical Journal indiquait que l'éventuel écart de QI n'est pas dû à l'allaitement, mais au profil sociologique des mères qui allaitent et à l'environnement familial. Une autre étude publiée lundi indique que les bébés nourris au sein seraient moins sujets aux maladies cardiaques que les bébés nourris au biberon. L'allaitement maternel aurait des effets très bénéfiques sur le développement du quotient intellectuel (QI) de certains enfants, selon une étude médicale britannique. Les enfants, pour qui l'allaitement s'est révélé bénéfique au niveau du développement, cognitif bénéficiait d'une version particulière d'un gène nommé FADS2. Cependant, souligne également cette étude, l'allaitement seul ne suffit pas à augmenter le QI qui dépend également de facteurs environnementaux (famille, milieu social...) et génétiques. Selon les chercheurs qui ont réalisé cette étude auprès de 3.000 bébés nourris au sein en Grande-Bretagne et en Nouvelle-Zélande, les enfants dotés d'une version particulière du gène FADS2 avaient en moyenne un QI de 6,8 points plus haut que les autres enfants. Cette différence persiste quel que soit le milieu socio-économique de l'enfant, le QI de la mère, le poids du bébé à la naissance ou l'âge de la mère durant la grossesse. Le gène FADS2 a été étudié car il produit une enzyme trouvée dans le lait maternel qui aide à transformer les acides gras alimentaires en acides gras polyinsaturés qui s'accumulent dans le cerveau durant les premiers mois après la naissance. Certains chercheurs estiment que cette enzyme pourrait avoir une influence sur le développement de l'intelligence cognitive. L'idée selon laquelle l'allaitement augmentait le QI d'un enfant est apparue dès 1929 dans des revues scientifiques. Il y a un an, une étude publiée par le British Medical Journal indiquait que l'éventuel écart de QI n'est pas dû à l'allaitement, mais au profil sociologique des mères qui allaitent et à l'environnement familial. Une autre étude publiée lundi indique que les bébés nourris au sein seraient moins sujets aux maladies cardiaques que les bébés nourris au biberon.