Les experts du réseau mondial du World cancer research Fund (WCRF) ont analysé toutes les études ayant porté sur le sujet (et elles sont aujourd'hui nombreuses), afin d'obtenir une liste des aliments à privilégier en prévention du cancer. Ils ont ensuite réalisé un tableau indiquant, pour chaque type de cancer, les aliments conférant une protection " convaincante ", " probable " ou " limitée ", ainsi que les aliments à risque. S'en suivent neuf recommandations de santé publiques applicables à l'échelon individuel. Contre le cancer du sein Concernant le cancer du sein, le risque décroît de façon convaincante avec l'allaitement, de façon probable avec la corpulence et de façon limitée avec l'activité physique. En revanche, l'absorption de boissons alcoolisées accroît de façon convaincante le risque de cancer du sein, tandis qu'un poids de naissance élevé à la naissance l'augmente très probablement. Contre le cancer de la prostate Les aliments contenant du lycopène et le sélénium diminuent de façon probable le risque de cancer de la prostate, et de façon limitée, avec les légumes secs, l'alpha tocophérol (vitamine E naturelle) et les aliments contenant de la vitamine E. Le risque s'accroît probablement avec les aliments riches en calcium et de façon limitée avec le lait. Les données sont également disponibles pour les cancers de la peau, de la vessie, du rein, du col de l'utérus, de l'endomètre, de l'ovaire, du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas, de l'estomac, de l'œsophage, des sinus-pharynx, de la bouche-pharynx-larynx et du poumon. Contre le cancer du côlon On apprend ainsi par exemple que, concernant le cancer du côlon, le risque décroît de façon convaincante avec l'activité physique, de façon probable en mangeant des aliments riches en fibres, de l'ail, du lait et du calcium, et de façon limitée en mangeant des légumes (non féculents) et en absorbant du sélénium. Inversement, le risque s'accroît de façon convaincante avec la consommation de viande rouge, de boissons alcoolisées, mais aussi avec la corpulence et l'excès de graisse abdominale, et de façon limitée en mangeant des aliments contenant du fer, des glucides, des graisses animales et du fromage. Les experts du réseau mondial du World cancer research Fund (WCRF) ont analysé toutes les études ayant porté sur le sujet (et elles sont aujourd'hui nombreuses), afin d'obtenir une liste des aliments à privilégier en prévention du cancer. Ils ont ensuite réalisé un tableau indiquant, pour chaque type de cancer, les aliments conférant une protection " convaincante ", " probable " ou " limitée ", ainsi que les aliments à risque. S'en suivent neuf recommandations de santé publiques applicables à l'échelon individuel. Contre le cancer du sein Concernant le cancer du sein, le risque décroît de façon convaincante avec l'allaitement, de façon probable avec la corpulence et de façon limitée avec l'activité physique. En revanche, l'absorption de boissons alcoolisées accroît de façon convaincante le risque de cancer du sein, tandis qu'un poids de naissance élevé à la naissance l'augmente très probablement. Contre le cancer de la prostate Les aliments contenant du lycopène et le sélénium diminuent de façon probable le risque de cancer de la prostate, et de façon limitée, avec les légumes secs, l'alpha tocophérol (vitamine E naturelle) et les aliments contenant de la vitamine E. Le risque s'accroît probablement avec les aliments riches en calcium et de façon limitée avec le lait. Les données sont également disponibles pour les cancers de la peau, de la vessie, du rein, du col de l'utérus, de l'endomètre, de l'ovaire, du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas, de l'estomac, de l'œsophage, des sinus-pharynx, de la bouche-pharynx-larynx et du poumon. Contre le cancer du côlon On apprend ainsi par exemple que, concernant le cancer du côlon, le risque décroît de façon convaincante avec l'activité physique, de façon probable en mangeant des aliments riches en fibres, de l'ail, du lait et du calcium, et de façon limitée en mangeant des légumes (non féculents) et en absorbant du sélénium. Inversement, le risque s'accroît de façon convaincante avec la consommation de viande rouge, de boissons alcoolisées, mais aussi avec la corpulence et l'excès de graisse abdominale, et de façon limitée en mangeant des aliments contenant du fer, des glucides, des graisses animales et du fromage.