Le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN a bouclé, hier à Alger, son marathon dans le cadre de la campagne électorale de jeudi prochain. Tous les moyens étaient mis à contribution pour réussir la fête. Il y avait la grande foule pour ce dernier meeting avant le jour J. Des cadres du parti, des militants, des sympathisants et quelques figures du monde syndical, notamment Abdelmadjid Sidi-Saïd, secrétaire général de l'UGTA. Et des jeunes pour créer une ambiance festive. En fait, rien de nouveau pour ce dernier round. Le premier responsable du vieux parti ne s'est pas départi de la voie qu'il s'est tracé depuis sa sortie à Oran où il s'est vu contraint de hausser le ton. Il répondra à certaines critiques acerbes qui visaient sa formation politique, qu'il crédite de nombreuses réalisations socio-économiques en faveur des Algériens. « C'est par la grâce du FLN qu'il y a la scolarité et la médecine gratuite et de multiples projets en cours de réalisation», affirme-t-il. A ceux sceptiques qui doutent de sa sincérité, le secrétaire général du FLN assène «Nous sommes prêts à rendre des comptes.» Abordant la problématique du développement du pays, le patron du FLN souligne que sans la réunion du binôme paix et stabilité, il n'y a point de développement qui profite au peuple algérien. Pour parachever les acquis de la population algérienne, il conseille d'œuvrer dans la «continuité». Mais la continuité dans un changement graduel. La relève dans le personnel politique est assurée, soutient-il. Comme argument et preuve, Abdelaziz Belkhadem, affirme que «22% des candidats du parti aux élections locales (APC et APW) sont des jeunes". Il oublie cependant de donner une moyenne d'âge. Sur sa lancée, il répond aussi à certains propos qu'il qualifie d'«alarmistes», propagés par des parties qu'il ne nomme pas. Ces parties, selon lui, axent leurs critiques sur le côté négatif du parti et oublient toujours les côtés positifs. «Le FLN n'est pas responsable de la situation actuelle du pays», martèle-t-il. C'est le premier volet de son intervention, du moins pour les élections locales. Il revient dans la deuxième partie de son discours à deux sujets qui le préoccupent sérieusement. Deux sujets qui ont fait intrusion prématurément, par sa grâce, dans la campagne électorale des locales. Il s'agit de la révision de la Constitution et de la question d'un troisième mandat pour le Président de la République. Deux chantiers qui lui tiennent à cœur de voir aboutir. «Nous ne les avons pas oubliés», s'exclame-t-il pour clore ce chapitre. Enfin, optimiste à souhait, le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN prédit de bons scores pour ces poulains du Front. «Nous avons obtenu de bons résultats aux sénatoriales et aux législatives, il n'y a pas de raisons pour que nous ne fassions pas de même aux locales», prédit-il. Le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN a bouclé, hier à Alger, son marathon dans le cadre de la campagne électorale de jeudi prochain. Tous les moyens étaient mis à contribution pour réussir la fête. Il y avait la grande foule pour ce dernier meeting avant le jour J. Des cadres du parti, des militants, des sympathisants et quelques figures du monde syndical, notamment Abdelmadjid Sidi-Saïd, secrétaire général de l'UGTA. Et des jeunes pour créer une ambiance festive. En fait, rien de nouveau pour ce dernier round. Le premier responsable du vieux parti ne s'est pas départi de la voie qu'il s'est tracé depuis sa sortie à Oran où il s'est vu contraint de hausser le ton. Il répondra à certaines critiques acerbes qui visaient sa formation politique, qu'il crédite de nombreuses réalisations socio-économiques en faveur des Algériens. « C'est par la grâce du FLN qu'il y a la scolarité et la médecine gratuite et de multiples projets en cours de réalisation», affirme-t-il. A ceux sceptiques qui doutent de sa sincérité, le secrétaire général du FLN assène «Nous sommes prêts à rendre des comptes.» Abordant la problématique du développement du pays, le patron du FLN souligne que sans la réunion du binôme paix et stabilité, il n'y a point de développement qui profite au peuple algérien. Pour parachever les acquis de la population algérienne, il conseille d'œuvrer dans la «continuité». Mais la continuité dans un changement graduel. La relève dans le personnel politique est assurée, soutient-il. Comme argument et preuve, Abdelaziz Belkhadem, affirme que «22% des candidats du parti aux élections locales (APC et APW) sont des jeunes". Il oublie cependant de donner une moyenne d'âge. Sur sa lancée, il répond aussi à certains propos qu'il qualifie d'«alarmistes», propagés par des parties qu'il ne nomme pas. Ces parties, selon lui, axent leurs critiques sur le côté négatif du parti et oublient toujours les côtés positifs. «Le FLN n'est pas responsable de la situation actuelle du pays», martèle-t-il. C'est le premier volet de son intervention, du moins pour les élections locales. Il revient dans la deuxième partie de son discours à deux sujets qui le préoccupent sérieusement. Deux sujets qui ont fait intrusion prématurément, par sa grâce, dans la campagne électorale des locales. Il s'agit de la révision de la Constitution et de la question d'un troisième mandat pour le Président de la République. Deux chantiers qui lui tiennent à cœur de voir aboutir. «Nous ne les avons pas oubliés», s'exclame-t-il pour clore ce chapitre. Enfin, optimiste à souhait, le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN prédit de bons scores pour ces poulains du Front. «Nous avons obtenu de bons résultats aux sénatoriales et aux législatives, il n'y a pas de raisons pour que nous ne fassions pas de même aux locales», prédit-il.