Le nouveau président de l'APC de Chéraga a été installé officiellement, hier, par le wali délégué de la circonscription de cette importante ville de la wilaya d'Alger. Le maire s'est vu confier les clés de la ville pour un mandat de cinq ans dans une ambiance festive qui a réuni les représentants des partis, FLN (3 sièges), RND (2 sièges), Hamas (2 sièges), RCD (1 siège) et FFS (1 siège), membres de l'exécutif communal. Le jeune Nazim Chermat, apparenté à El-Islah, puisque c'est de lui qu'il s'agit, peut s'enorgueillir d'être le plus jeune P/APC d'Algérie. Agé d'à peine vingt-six ans (26) ans, il aura la lourde charge de gérer les affaires d'une commune de plus de 100.000 habitants qui subit des mutations socio-économiques des plus complexes. Porté au firmament par une population désabusée par une gestion chaotique de ses prédécesseurs, le fraichement élu de la commune assure qu' « il investira tous ses efforts pour redonner vie à la ville » dont il assume désormais le contrôle. Etudes supérieures en gestion et déjà quelques années à la tête d'une entreprise privée florissante, le premier magistrat de la ville a pour lui aussi la fougue de la jeunesse et la volonté de bien faire. Trois qualités et des pas moindres, qu'il compte mettre au service de la collectivité. « Ce n'est pas facile d'avoir sur les épaules une aussi lourde responsabilité » avoue-t-il. « Il y a énormément à faire » dit-il en soulignant que « le travail qui reste à accomplir exige le coopération de tout l'exécutif et des citoyens de la commune ». L'union fait la force, rappelle-t-il, en faisant valoir le côté rassembleur pour « l'intérêt général et consctructif de tout un chacun ». Améliorer le cadre de vie dans lequel évoluent ses concitoyens est inscrit en priorité dans son agenda. Logement, résorption du chômage, eau, assainissement, environnement, sport et jeunesse, sont les domaines sur lesquels repose son programme quinquennal. Un vaste programme qu'il compte mettre en œuvre sans plus tarder, reconnaissant tout de même que pour les deux premiers secteurs, « les problèmes sont épineux et d'ordre national ». « Nous ferons en sorte de ramener le maximum de projets et un maximum de quotas au profit des citoyens de Chéraga» avance-t-il, soulignant qu' «il trouvera les moyens à même de mener à bien sa politique». Il reste que pour le maire de Chéraga, les activités culturelles sont aussi fondamentales pour l'épanouissement de la jeunesse de la ville dont lui-même est le symbole le plus représentatif. Il trouve anormal que l'unique salle de cinéma reste fermée depuis des lustres. Mieux, il pense sérieusement à relancer toutes les activités culturelles. Mission qu'il juge exaltante souhaitant être à la hauteur. Le nouveau président de l'APC de Chéraga a été installé officiellement, hier, par le wali délégué de la circonscription de cette importante ville de la wilaya d'Alger. Le maire s'est vu confier les clés de la ville pour un mandat de cinq ans dans une ambiance festive qui a réuni les représentants des partis, FLN (3 sièges), RND (2 sièges), Hamas (2 sièges), RCD (1 siège) et FFS (1 siège), membres de l'exécutif communal. Le jeune Nazim Chermat, apparenté à El-Islah, puisque c'est de lui qu'il s'agit, peut s'enorgueillir d'être le plus jeune P/APC d'Algérie. Agé d'à peine vingt-six ans (26) ans, il aura la lourde charge de gérer les affaires d'une commune de plus de 100.000 habitants qui subit des mutations socio-économiques des plus complexes. Porté au firmament par une population désabusée par une gestion chaotique de ses prédécesseurs, le fraichement élu de la commune assure qu' « il investira tous ses efforts pour redonner vie à la ville » dont il assume désormais le contrôle. Etudes supérieures en gestion et déjà quelques années à la tête d'une entreprise privée florissante, le premier magistrat de la ville a pour lui aussi la fougue de la jeunesse et la volonté de bien faire. Trois qualités et des pas moindres, qu'il compte mettre au service de la collectivité. « Ce n'est pas facile d'avoir sur les épaules une aussi lourde responsabilité » avoue-t-il. « Il y a énormément à faire » dit-il en soulignant que « le travail qui reste à accomplir exige le coopération de tout l'exécutif et des citoyens de la commune ». L'union fait la force, rappelle-t-il, en faisant valoir le côté rassembleur pour « l'intérêt général et consctructif de tout un chacun ». Améliorer le cadre de vie dans lequel évoluent ses concitoyens est inscrit en priorité dans son agenda. Logement, résorption du chômage, eau, assainissement, environnement, sport et jeunesse, sont les domaines sur lesquels repose son programme quinquennal. Un vaste programme qu'il compte mettre en œuvre sans plus tarder, reconnaissant tout de même que pour les deux premiers secteurs, « les problèmes sont épineux et d'ordre national ». « Nous ferons en sorte de ramener le maximum de projets et un maximum de quotas au profit des citoyens de Chéraga» avance-t-il, soulignant qu' «il trouvera les moyens à même de mener à bien sa politique». Il reste que pour le maire de Chéraga, les activités culturelles sont aussi fondamentales pour l'épanouissement de la jeunesse de la ville dont lui-même est le symbole le plus représentatif. Il trouve anormal que l'unique salle de cinéma reste fermée depuis des lustres. Mieux, il pense sérieusement à relancer toutes les activités culturelles. Mission qu'il juge exaltante souhaitant être à la hauteur.