Le premier Salon international de la pharmacie et de la parapharmacie (SIPHAL 2008) se déroulera à Alger, au Palais des expositions, Safex, du 15 au 17 janvier prochain. Cette manifestation se veut un espace d'échanges d'informations, ouvert à tous les professionnels de la santé et de la parapharmacie qui auront à débattre, notamment, du niveau de développement que connaît l'activité pharmaceutique et parapharmaceutique en Algérie. Cette rencontre, première en son genre, est une opportunité pour les producteurs de médicaments algériens et étrangers en vue de nouvelles perspectives de développement dans le secteur. Ce salon professionnel, auquel prendront part plusieurs pharmaciens et chercheurs dans le domaine de la pharmacie, laboratoires pharmaceutiques et sociétés de distributions de médicaments, algériens et étrangers, a aussi pour objectif d'assurer aux pharmaciens une formation continue autour des thèmes de santé spécifiques à l'Algérie. Il sera, également, le lieu idéal pour des échanges entre pays dans le domaine de l'approvisionnement de médicaments et des services y afférents. Notons que toute au long de la période du salon, des conférences autour des principaux thèmes de santé seront organisées et animées par des personnalités scientifiques connues mondialement. Concernant l'industrie pharmaceutique en Algérie, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Amar Tou, a souligné, dans une déclaration antérieure, que la production nationale de médicaments reste insuffisante par rapport aux besoins nationaux en matière de produits pharmaceutique et parapharmaceutiques. En effet, selon les dernières statistiques, la facture d'importation des médicaments ne cesse de s'alourdir. Elle a atteint le chiffre record au 30 novembre 2007 de plus de 1,4 milliard de dollars, soit une augmentation de plus de 30% par rapport à l'année précédente. Cette facture était de 962 millions d'euros en 2006. Un chiffre considéré «très élevé» par les différents responsables du secteur pharmaceutique qui ont proposé une série de mesures en vue de revoir à la baisse cette lourde facture, notamment l'encouragement de l'utilisation des produits génériques par les autorités et la mise en vigueur du tarif de référence depuis le 16 avril 2006, dans le cadre de la politique nationale du médicament et la rationalisation des dépenses. Le premier Salon international de la pharmacie et de la parapharmacie (SIPHAL 2008) se déroulera à Alger, au Palais des expositions, Safex, du 15 au 17 janvier prochain. Cette manifestation se veut un espace d'échanges d'informations, ouvert à tous les professionnels de la santé et de la parapharmacie qui auront à débattre, notamment, du niveau de développement que connaît l'activité pharmaceutique et parapharmaceutique en Algérie. Cette rencontre, première en son genre, est une opportunité pour les producteurs de médicaments algériens et étrangers en vue de nouvelles perspectives de développement dans le secteur. Ce salon professionnel, auquel prendront part plusieurs pharmaciens et chercheurs dans le domaine de la pharmacie, laboratoires pharmaceutiques et sociétés de distributions de médicaments, algériens et étrangers, a aussi pour objectif d'assurer aux pharmaciens une formation continue autour des thèmes de santé spécifiques à l'Algérie. Il sera, également, le lieu idéal pour des échanges entre pays dans le domaine de l'approvisionnement de médicaments et des services y afférents. Notons que toute au long de la période du salon, des conférences autour des principaux thèmes de santé seront organisées et animées par des personnalités scientifiques connues mondialement. Concernant l'industrie pharmaceutique en Algérie, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Amar Tou, a souligné, dans une déclaration antérieure, que la production nationale de médicaments reste insuffisante par rapport aux besoins nationaux en matière de produits pharmaceutique et parapharmaceutiques. En effet, selon les dernières statistiques, la facture d'importation des médicaments ne cesse de s'alourdir. Elle a atteint le chiffre record au 30 novembre 2007 de plus de 1,4 milliard de dollars, soit une augmentation de plus de 30% par rapport à l'année précédente. Cette facture était de 962 millions d'euros en 2006. Un chiffre considéré «très élevé» par les différents responsables du secteur pharmaceutique qui ont proposé une série de mesures en vue de revoir à la baisse cette lourde facture, notamment l'encouragement de l'utilisation des produits génériques par les autorités et la mise en vigueur du tarif de référence depuis le 16 avril 2006, dans le cadre de la politique nationale du médicament et la rationalisation des dépenses.