Invité de l'émission «En toute franchise » de la chaîne III, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH), nie avoir parlé d' «explosion sociale». «Mes propos ont été mal interprétés. J'ai dit qu'il y a une tension à cause du recul des droits sociaux», a tenu à préciser Me Ksentini. Sur ce chapitre, il a indiqué que «les Algériens vivent un malaise social certain à cause de la cherté des produits de première nécessité», sans omettre d'indiquer au passage que ces «problèmes sont pris en charge», convaincu dans ses propos par «l'existence d'une réelle volonté politique de la part des plus hautes autorités du pays», il faut «juste du temps pour que les choses s'améliorent». Interrogé sur l'éventualité d'une explosion sociale à cause de cette situation, Me Ksentini rétorquera en ces termes : «Je souhaite que le front social se montre plus actif pour réclamer que les choses changent. La commission que je préside n'a pas la prérogative d'apporter des solutions, mais juste d'attirer l'attention sur des situations données !» Questionné sur le rapport annuel des droits de l'Homme en Algérie, remis récemment au président de la République, le président de l'instance ad-hoc réitérera la même position exprimée lors de précédentes circonstances, à savoir que la situation des droits de l'Homme dans notre pays «n'est pas satisfaisante mais elle a beaucoup évolué». «L'Algérie est un pays émergent en matière de droits de l'Homme. Il a évolué positivement, mais nous estimons que beaucoup reste à faire». Les droits de l'Homme, de son avis, sont l'affaire de tous. Dans ce contexte, il cite la réforme de la justice qui «a permis l'amélioration de la qualité de la justice», et la réconciliation nationale, «initiée et prise en charge par le chef de l'Etat» qui «a ramené la paix civile», ce qui lui permis de dire que «cette charte a atteint ses objectifs». Interrogé sur le cas des 56 Algériens condamnés récemment en Libye, certains à des peines de mort, et dont trois personnes, parmi lesquelles une femme, ont été amputées de la main, l'hôte de la chaîne III regrettera cette situation et informera qu'il ne croit pas à «la justesse de ces condamnations». «On dirait qu'il y a une mobilisation universelle contre les Algériens», sans omettre d'indiquer que «les autorités algériennes se soucient de leurs ressortissants à l'étranger». Sûr de lui, le président de CNCPPDH avance que le camp de Guantanamo sera fermé très prochainement ce qui permettra «aux Algériens, détenus dans ce lieu de rentrer chez eux». Regrettant le silence des pays arabes, Ksentini compare le comportement des israéliens «à une attitude génocidaire». Et pour clore son intervention, maître Ksentini assimile la dernière requête des Nations unies sur la constitution d'une commission d'enquête sur les derniers attentats de la capitale «d'injure faite aux victimes». «Des parties qui ont une dent contre l'Algérie et pour des desseins inavoués veulent faire ressurgirent le fameux qui tue qui». Invité de l'émission «En toute franchise » de la chaîne III, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH), nie avoir parlé d' «explosion sociale». «Mes propos ont été mal interprétés. J'ai dit qu'il y a une tension à cause du recul des droits sociaux», a tenu à préciser Me Ksentini. Sur ce chapitre, il a indiqué que «les Algériens vivent un malaise social certain à cause de la cherté des produits de première nécessité», sans omettre d'indiquer au passage que ces «problèmes sont pris en charge», convaincu dans ses propos par «l'existence d'une réelle volonté politique de la part des plus hautes autorités du pays», il faut «juste du temps pour que les choses s'améliorent». Interrogé sur l'éventualité d'une explosion sociale à cause de cette situation, Me Ksentini rétorquera en ces termes : «Je souhaite que le front social se montre plus actif pour réclamer que les choses changent. La commission que je préside n'a pas la prérogative d'apporter des solutions, mais juste d'attirer l'attention sur des situations données !» Questionné sur le rapport annuel des droits de l'Homme en Algérie, remis récemment au président de la République, le président de l'instance ad-hoc réitérera la même position exprimée lors de précédentes circonstances, à savoir que la situation des droits de l'Homme dans notre pays «n'est pas satisfaisante mais elle a beaucoup évolué». «L'Algérie est un pays émergent en matière de droits de l'Homme. Il a évolué positivement, mais nous estimons que beaucoup reste à faire». Les droits de l'Homme, de son avis, sont l'affaire de tous. Dans ce contexte, il cite la réforme de la justice qui «a permis l'amélioration de la qualité de la justice», et la réconciliation nationale, «initiée et prise en charge par le chef de l'Etat» qui «a ramené la paix civile», ce qui lui permis de dire que «cette charte a atteint ses objectifs». Interrogé sur le cas des 56 Algériens condamnés récemment en Libye, certains à des peines de mort, et dont trois personnes, parmi lesquelles une femme, ont été amputées de la main, l'hôte de la chaîne III regrettera cette situation et informera qu'il ne croit pas à «la justesse de ces condamnations». «On dirait qu'il y a une mobilisation universelle contre les Algériens», sans omettre d'indiquer que «les autorités algériennes se soucient de leurs ressortissants à l'étranger». Sûr de lui, le président de CNCPPDH avance que le camp de Guantanamo sera fermé très prochainement ce qui permettra «aux Algériens, détenus dans ce lieu de rentrer chez eux». Regrettant le silence des pays arabes, Ksentini compare le comportement des israéliens «à une attitude génocidaire». Et pour clore son intervention, maître Ksentini assimile la dernière requête des Nations unies sur la constitution d'une commission d'enquête sur les derniers attentats de la capitale «d'injure faite aux victimes». «Des parties qui ont une dent contre l'Algérie et pour des desseins inavoués veulent faire ressurgirent le fameux qui tue qui».