Bejaïa Mediterranean Terminal (BMT), fruit d'une joint-venture entre l'Entreprise du port de Béjaïa et Portek, une entreprise singapourienne, est en passe de faire de l'infrastructure portuaire de la cité des Hammadites une plaque tournante dans le traitement des conteneurs. Bejaïa Mediterranean Terminal (BMT), fruit d'une joint-venture entre l'Entreprise du port de Béjaïa et Portek, une entreprise singapourienne, est en passe de faire de l'infrastructure portuaire de la cité des Hammadites une plaque tournante dans le traitement des conteneurs. Sur un investissement de départ de l'ordre de 2 millions de dollars seulement, BMT s'impose comme une firme de premier rang dans le secteur de l'import-export. A ce titre, l'année 2007 a été exceptionnelle. Cette entreprise a, en effet, réalisé un nouveau record :10.050 conteneurs équivalent 20 pieds ont été manutentionnés. Ce qui représente une hausse de 32% par rapport à 2006 et 10% par rapport aux prévisions, rapporte la direction de l'entreprise. «C'est un résultat fort encourageant», a déclaré à l'APS, M. Farès Ouzegdouh, directeur du service marketing de BMT. Cette performance est le résultat d'une dynamique de travail qui a abouti à une rentabilité sans pareille. BMT réalise une moyenne de traitement de 30 conteneurs par heure. C'est là, une véritable prouesse si l'on considère que cela est «nettement supérieur à certains port de la rive Nord de la Méditerranée, dont Marseille, Sète et Barcelone, qui traitent une vingtaine de conteneurs par heure», assure-t-on à la direction de l'entreprise. La méthode très rentable de BMT a conduit beaucoup de géants mondiaux du transport maritime à s'intéresser au port de Béjaïa. Ainsi, Maersk, C.M.A et M.S.C ont formulé une offre de service aux exportateurs étrangers en vue d'offrir des services de ligne directe entre Béjaïa et le continent asiatique, révèle M. Ouzegdouh, qui annonce un projet qui consiste à faire de la plate-forme de Béjaïa un port de transbordement terrestre. Pour ce faire, BMT compte s'associer avec la SNTF, Rail-Link Algérie, (filiale de C.M.A, France) pour la création d'un port sec à Alger. Il n'y a pas que cela, l'entreprise algéro-singapourienne a l'intention d'investir 1,2 milliard de dinars pour renforcer ses dotations techniques. Pour 2007, l'on notera une hausse de son chiffre d'affaires de l'ordre de 79%, une amélioration de sa marge brute de 62% et des niveaux de productivité «performants». Une progression exponentielle qui fait que BMT commence à se «sentir à l'étroit. Et la croissance en cours appelle des mesures d'urgence», a souligné M. Ouzegdouh. L'urgence est de trouver «immédiatement», un terrain nu pour y installer une plate-forme dédiée, dans un premier temps, au traitement du conteneur vide et, dans un second temps, pour servir de dépôt sous-douanes. Sur un investissement de départ de l'ordre de 2 millions de dollars seulement, BMT s'impose comme une firme de premier rang dans le secteur de l'import-export. A ce titre, l'année 2007 a été exceptionnelle. Cette entreprise a, en effet, réalisé un nouveau record :10.050 conteneurs équivalent 20 pieds ont été manutentionnés. Ce qui représente une hausse de 32% par rapport à 2006 et 10% par rapport aux prévisions, rapporte la direction de l'entreprise. «C'est un résultat fort encourageant», a déclaré à l'APS, M. Farès Ouzegdouh, directeur du service marketing de BMT. Cette performance est le résultat d'une dynamique de travail qui a abouti à une rentabilité sans pareille. BMT réalise une moyenne de traitement de 30 conteneurs par heure. C'est là, une véritable prouesse si l'on considère que cela est «nettement supérieur à certains port de la rive Nord de la Méditerranée, dont Marseille, Sète et Barcelone, qui traitent une vingtaine de conteneurs par heure», assure-t-on à la direction de l'entreprise. La méthode très rentable de BMT a conduit beaucoup de géants mondiaux du transport maritime à s'intéresser au port de Béjaïa. Ainsi, Maersk, C.M.A et M.S.C ont formulé une offre de service aux exportateurs étrangers en vue d'offrir des services de ligne directe entre Béjaïa et le continent asiatique, révèle M. Ouzegdouh, qui annonce un projet qui consiste à faire de la plate-forme de Béjaïa un port de transbordement terrestre. Pour ce faire, BMT compte s'associer avec la SNTF, Rail-Link Algérie, (filiale de C.M.A, France) pour la création d'un port sec à Alger. Il n'y a pas que cela, l'entreprise algéro-singapourienne a l'intention d'investir 1,2 milliard de dinars pour renforcer ses dotations techniques. Pour 2007, l'on notera une hausse de son chiffre d'affaires de l'ordre de 79%, une amélioration de sa marge brute de 62% et des niveaux de productivité «performants». Une progression exponentielle qui fait que BMT commence à se «sentir à l'étroit. Et la croissance en cours appelle des mesures d'urgence», a souligné M. Ouzegdouh. L'urgence est de trouver «immédiatement», un terrain nu pour y installer une plate-forme dédiée, dans un premier temps, au traitement du conteneur vide et, dans un second temps, pour servir de dépôt sous-douanes.