Le président de la direction technique nationale d'arbitrage (DTNA) M. Rachid Medjiba, a reconnu lundi l'existence d'erreurs d'arbitrage lors des dernières journées du Championnat d'Algérie de football de divisions ''une'' et ''deux''. "Oui, je reconnais que des arbitres ont commis des erreurs au cours de certains matches du championnat, mais l'erreur est humaine, en plus elle n'est pas préméditée'', a t-il estimé au cours de l'émission "Fi El Wajiha" de la radio nationale chaîne ''1''. Selon M.Medjiba, la fédération et la DTNA ont fait le maximum notamment au niveau de la formation pour ''permettre à nos arbitres de diriger les rencontres dans les meilleures conditions possibles ". Pour le premier responsable des ''chevaliers du sifflet'' algériens les fautes commises par certains arbitres sont plutôt des "fautes d'appréciations" et non pas "techniques" dues à un "manque de concentration" à un certain moment de la rencontre. M. Medjiba est revenu sur le but du Setifiens Hadj Aissa face au MC Alger qui a fait ''couler beaucoup d'encre''. "Lors de la rencontre MCA-ES Setif, l'arbitre assistant était bien placé sur l'action du but sétifien, contrairement au directeur du jeu, ce qui a empêché ce dernier de prendre la décision qui s'imposait ", a-t-il expliqué. "L'arbitre assistant de cette rencontre est fédéral depuis trois ans. Ce n'est pas aujourd'hui que je vais lui apprendre les règles du hors jeu", a t-il précisé. Le président de la DTNA est persuadé que les conditions de déroulement notamment le non respect de la main courante, ne facilitent pas la mission des arbitres dans certains stades. "Les responsables de clubs par leur comportement et contestations injustifiées portent une part de responsabilité dans la situation actuelle. C'est un phénomène étranger à notre football", a souligné Medjiba. L'ex-entraîneur du Na hussein-dey, Boualem Laroum regrette qu'un travail de toute une semaine avec le club soit gâché par une erreur d'arbitre. "J'ai décidé de démissionner en raison des jeux de coulisses, dont l'arbitrage. Certes, nous possédons de bons arbitres qu'il faut encourager, mais il existe également de mauvais qu'il faut sanctionner", a t-il indiqué. Pour parer à la vague de protestations et de critiques à l'égard de l'arbitrage, la DTNA en collaboration avec la FAF a exigé des arbitres d'être fermes sur le terrain et d'appliquer scrupuleusement les règlements de la FIFA. Abordant le sujet de la formation, Medjiba a mis en exergue le statut de l'arbitre qui définit les droits et devoirs de l'homme en noir. "Depuis quatre ans, il existe un statut de l'arbitre qui lui permet de connaître tous ses droits et devoirs . Nous organisons chaque saison des examens pour la promotion des arbitres. Il y a quatre ans, nous disposions de sept arbitres fédéraux, leur nombre aujourd'hui est de 73, sans oublier les 14 arbitres internationaux". Le président de la direction technique nationale d'arbitrage (DTNA) M. Rachid Medjiba, a reconnu lundi l'existence d'erreurs d'arbitrage lors des dernières journées du Championnat d'Algérie de football de divisions ''une'' et ''deux''. "Oui, je reconnais que des arbitres ont commis des erreurs au cours de certains matches du championnat, mais l'erreur est humaine, en plus elle n'est pas préméditée'', a t-il estimé au cours de l'émission "Fi El Wajiha" de la radio nationale chaîne ''1''. Selon M.Medjiba, la fédération et la DTNA ont fait le maximum notamment au niveau de la formation pour ''permettre à nos arbitres de diriger les rencontres dans les meilleures conditions possibles ". Pour le premier responsable des ''chevaliers du sifflet'' algériens les fautes commises par certains arbitres sont plutôt des "fautes d'appréciations" et non pas "techniques" dues à un "manque de concentration" à un certain moment de la rencontre. M. Medjiba est revenu sur le but du Setifiens Hadj Aissa face au MC Alger qui a fait ''couler beaucoup d'encre''. "Lors de la rencontre MCA-ES Setif, l'arbitre assistant était bien placé sur l'action du but sétifien, contrairement au directeur du jeu, ce qui a empêché ce dernier de prendre la décision qui s'imposait ", a-t-il expliqué. "L'arbitre assistant de cette rencontre est fédéral depuis trois ans. Ce n'est pas aujourd'hui que je vais lui apprendre les règles du hors jeu", a t-il précisé. Le président de la DTNA est persuadé que les conditions de déroulement notamment le non respect de la main courante, ne facilitent pas la mission des arbitres dans certains stades. "Les responsables de clubs par leur comportement et contestations injustifiées portent une part de responsabilité dans la situation actuelle. C'est un phénomène étranger à notre football", a souligné Medjiba. L'ex-entraîneur du Na hussein-dey, Boualem Laroum regrette qu'un travail de toute une semaine avec le club soit gâché par une erreur d'arbitre. "J'ai décidé de démissionner en raison des jeux de coulisses, dont l'arbitrage. Certes, nous possédons de bons arbitres qu'il faut encourager, mais il existe également de mauvais qu'il faut sanctionner", a t-il indiqué. Pour parer à la vague de protestations et de critiques à l'égard de l'arbitrage, la DTNA en collaboration avec la FAF a exigé des arbitres d'être fermes sur le terrain et d'appliquer scrupuleusement les règlements de la FIFA. Abordant le sujet de la formation, Medjiba a mis en exergue le statut de l'arbitre qui définit les droits et devoirs de l'homme en noir. "Depuis quatre ans, il existe un statut de l'arbitre qui lui permet de connaître tous ses droits et devoirs . Nous organisons chaque saison des examens pour la promotion des arbitres. Il y a quatre ans, nous disposions de sept arbitres fédéraux, leur nombre aujourd'hui est de 73, sans oublier les 14 arbitres internationaux".