3.570 constructions illicites ont été démolies en 2007, sous la supervision des unités de la police de l'urbanisme et de la protection de l'environnement relevant de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN). Les mêmes services ont enregistré, durant la même année, 20.241 infractions liées à l'urbanisme, soit une augmentation de 519 infractions par rapport à 2006. La police de l'urbanisme et de l'environnement a traité, durant la même année 26.126 infractions, enregistrant ainsi une augmentation de 1.759 cas par rapport à 2006. La DGSN a souligné que le nombre total des infractions liées à l'environnement et à l'urbanisme est de 46.367, soit une augmentation de 2.278 par rapport à 2006 qui avait enregistré 44.089 infractions. Pour rappel, le gouvernement a décidé, en début de l'année en cours, de mettre en place un programme spécial de 140.000 logements destiné à l'éradication des habitations précaires et des constructions illicites sur l'ensemble du territoire national. Ce nouveau programme vient renforcer le programme d'un million de logements, initié dans le cadre du programme du président de la République. Les modifications apportées à la loi sur l'urbanisme ont permis de mettre en place des mécanismes rigoureux pour lutter contre le phénomène des constructions anarchiques et illicites. Dans son volet relatif à la construction illicite, la loi en question permet aux autorités communales de procéder à la démolition d'une construction anarchique en moins de 72 heures après une notification adressée à la police de l'urbanisme. Les pouvoirs publics attribuent l'expansion du phénomène surtout à une négligence de la part des responsables en charge d'appliquer les dispositions de cette loi. De ce fait, ils ont mis en garde contre les retombées négatives de la propagation des constructions anarchiques à la périphérie des grandes villes, en estimant à ce propos que les projets de réalisation de nouveaux logements n'auraient pas l'effet escompté si l'Etat ne jugulait pas le phénomène des constructions illicites. 3.570 constructions illicites ont été démolies en 2007, sous la supervision des unités de la police de l'urbanisme et de la protection de l'environnement relevant de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN). Les mêmes services ont enregistré, durant la même année, 20.241 infractions liées à l'urbanisme, soit une augmentation de 519 infractions par rapport à 2006. La police de l'urbanisme et de l'environnement a traité, durant la même année 26.126 infractions, enregistrant ainsi une augmentation de 1.759 cas par rapport à 2006. La DGSN a souligné que le nombre total des infractions liées à l'environnement et à l'urbanisme est de 46.367, soit une augmentation de 2.278 par rapport à 2006 qui avait enregistré 44.089 infractions. Pour rappel, le gouvernement a décidé, en début de l'année en cours, de mettre en place un programme spécial de 140.000 logements destiné à l'éradication des habitations précaires et des constructions illicites sur l'ensemble du territoire national. Ce nouveau programme vient renforcer le programme d'un million de logements, initié dans le cadre du programme du président de la République. Les modifications apportées à la loi sur l'urbanisme ont permis de mettre en place des mécanismes rigoureux pour lutter contre le phénomène des constructions anarchiques et illicites. Dans son volet relatif à la construction illicite, la loi en question permet aux autorités communales de procéder à la démolition d'une construction anarchique en moins de 72 heures après une notification adressée à la police de l'urbanisme. Les pouvoirs publics attribuent l'expansion du phénomène surtout à une négligence de la part des responsables en charge d'appliquer les dispositions de cette loi. De ce fait, ils ont mis en garde contre les retombées négatives de la propagation des constructions anarchiques à la périphérie des grandes villes, en estimant à ce propos que les projets de réalisation de nouveaux logements n'auraient pas l'effet escompté si l'Etat ne jugulait pas le phénomène des constructions illicites.