Le film documentaire de Salim Aggar, "Ça tourne à Alger", a été sélectionné en compétition officielle par le Festival de Tétouan au Maroc, qui aura lieu à la fin du mois de mars courant. C'est la quatrième participation de "Ça tourne à Alger", un documentaire de 54 mn, dans des festivals internationaux, précise le réalisateur Salim Aggar. Ce documentaire qui retrace le parcours "difficile" de quatre réalisateurs algériens durant la décennie noire (les années quatre-vingt-dix), a été également présenté lors d'un panorama sur le cinéma algérien à Montréal le mois de novembre dernier. Le réalisateur Salim Aggar s'apprête à lancer une deuxième production intitulée "Ça tourne à Alger 2" où, il est plutôt question des œuvres cinématographiques réalisées par des Algériens issus de l'immigration. Ce nouveau documentaire, selon le réalisateur, va parcourir les étapes de tournage à Alger, entre 2000 et 2004, des réalisateurs algériens installés en France. Le documentaire "Ça tourne à Alger 2" sera également truffé d'anecdotes et, surtout, d'images inédites de tournages de films en Algérie, ajoute le réalisateur. Parmi ces inédits, annonce Salim Aggar, on verra notamment les tournages des films de "Viva l'Algérie" et "Délice Paloma" de Nadir Mokhnache, "Il était une fois dans l'oued" de Djamel Bensalah, "Inchallah dimanche" de Yamina Benguigui, "Cousines" de Lyes Salem ou encore les images inédites à Alger de Toscan Du Plantier en 2000 et de Jean-Claude Brialy à la cinémathèque d'Alger en 2005. Le réalisateur évoquera, également, la production cinématographique française en Algérie depuis les frères Lumières à nos jours. Le film documentaire de Salim Aggar, "Ça tourne à Alger", a été sélectionné en compétition officielle par le Festival de Tétouan au Maroc, qui aura lieu à la fin du mois de mars courant. C'est la quatrième participation de "Ça tourne à Alger", un documentaire de 54 mn, dans des festivals internationaux, précise le réalisateur Salim Aggar. Ce documentaire qui retrace le parcours "difficile" de quatre réalisateurs algériens durant la décennie noire (les années quatre-vingt-dix), a été également présenté lors d'un panorama sur le cinéma algérien à Montréal le mois de novembre dernier. Le réalisateur Salim Aggar s'apprête à lancer une deuxième production intitulée "Ça tourne à Alger 2" où, il est plutôt question des œuvres cinématographiques réalisées par des Algériens issus de l'immigration. Ce nouveau documentaire, selon le réalisateur, va parcourir les étapes de tournage à Alger, entre 2000 et 2004, des réalisateurs algériens installés en France. Le documentaire "Ça tourne à Alger 2" sera également truffé d'anecdotes et, surtout, d'images inédites de tournages de films en Algérie, ajoute le réalisateur. Parmi ces inédits, annonce Salim Aggar, on verra notamment les tournages des films de "Viva l'Algérie" et "Délice Paloma" de Nadir Mokhnache, "Il était une fois dans l'oued" de Djamel Bensalah, "Inchallah dimanche" de Yamina Benguigui, "Cousines" de Lyes Salem ou encore les images inédites à Alger de Toscan Du Plantier en 2000 et de Jean-Claude Brialy à la cinémathèque d'Alger en 2005. Le réalisateur évoquera, également, la production cinématographique française en Algérie depuis les frères Lumières à nos jours.