L'ambassadeur d'Italie, son Excellence Gianpaolo Cantini, a rencontré, hier, au niveau de l'hôtel Lalla Khedidja de Tizi-Ouzou, les opérateurs économiques de la région. Les discussions ont porté sur les possibilités de partenariat entre les deux pays et particulièrement entre les opérateurs économiques de Tizi-Ouzou et leurs homologues italiens. Dans son allocution, l'ambassadeur d'Italie indiquera que son pays a fort intérêt à développer des relations commerciales avec l'Algérie. Un partenariat qui peut se concrétiser dans le domaine de la petite et moyenne entreprise et dans le secteur de l'industrie. L'intérêt de l'Italie, mais aussi des pays du sud de l'Europe à investir dans les pays du sud de la Méditerranée est, entre autres, motivé par la réduction du coût du transport, la présence de la matière première et de conditions fiscales favorables et un soutien à l'investissement étranger. Pour le moment, l'Italie ne prévoit pas la délocalisation de ses entreprises vers l'Algérie comme elle l'a fait pour la Tunisie car, estime M. Cantini, l'Algérie est encore en retard en matière de réformes, notamment du système financier et bancaire. Mais il reste optimiste quant aux efforts fournis par le gouvernement pour la réforme de l'économie nationale. Il évoquera, en outre, 4 facteurs qui orientent le choix des investisseurs vers un pays, à savoir la concurrence internationale, les conditions fiscales, le système bancaire et le coût de la main dœuvre et du transport. Il soulignera toutefois l'existence d'un problème de communication et d'information en Algérie pour lui permettre de présenter ses opportunités, ses potentialités et sa situation. Plusieurs évènements sont susceptibles, pourtant, de faire connaître les produits algériens et, éventuellement, pour lancer des partenariats tels que la conférence méditerranéenne qui se tient annuellement et qui est organisée par la Chambre du commerce de Milan, dont la prochaine tenue aura lieu le 30 juin prochain à Alger. L'ambassadeur estime que la base d'un bon partenariat avec les investisseurs de Tizi-Ouzou existe, et ce grâce à la présence de plus de 184 entreprises qui importent des équipements et des machines d'Italie. Les secteurs qui peuvent susciter l'intérêt des Italiens sont, entre autres, l'industrie et les mines. «Nous sommes ouverts à toute suggestion et nous sommes prêts à la transmettre aux concernés» a-t-il déclaré. Notons qu'outre des relations commerciales développées entre les deux pays, l'Italie compte 130 entreprises en Algérie. L'ambassadeur d'Italie, son Excellence Gianpaolo Cantini, a rencontré, hier, au niveau de l'hôtel Lalla Khedidja de Tizi-Ouzou, les opérateurs économiques de la région. Les discussions ont porté sur les possibilités de partenariat entre les deux pays et particulièrement entre les opérateurs économiques de Tizi-Ouzou et leurs homologues italiens. Dans son allocution, l'ambassadeur d'Italie indiquera que son pays a fort intérêt à développer des relations commerciales avec l'Algérie. Un partenariat qui peut se concrétiser dans le domaine de la petite et moyenne entreprise et dans le secteur de l'industrie. L'intérêt de l'Italie, mais aussi des pays du sud de l'Europe à investir dans les pays du sud de la Méditerranée est, entre autres, motivé par la réduction du coût du transport, la présence de la matière première et de conditions fiscales favorables et un soutien à l'investissement étranger. Pour le moment, l'Italie ne prévoit pas la délocalisation de ses entreprises vers l'Algérie comme elle l'a fait pour la Tunisie car, estime M. Cantini, l'Algérie est encore en retard en matière de réformes, notamment du système financier et bancaire. Mais il reste optimiste quant aux efforts fournis par le gouvernement pour la réforme de l'économie nationale. Il évoquera, en outre, 4 facteurs qui orientent le choix des investisseurs vers un pays, à savoir la concurrence internationale, les conditions fiscales, le système bancaire et le coût de la main dœuvre et du transport. Il soulignera toutefois l'existence d'un problème de communication et d'information en Algérie pour lui permettre de présenter ses opportunités, ses potentialités et sa situation. Plusieurs évènements sont susceptibles, pourtant, de faire connaître les produits algériens et, éventuellement, pour lancer des partenariats tels que la conférence méditerranéenne qui se tient annuellement et qui est organisée par la Chambre du commerce de Milan, dont la prochaine tenue aura lieu le 30 juin prochain à Alger. L'ambassadeur estime que la base d'un bon partenariat avec les investisseurs de Tizi-Ouzou existe, et ce grâce à la présence de plus de 184 entreprises qui importent des équipements et des machines d'Italie. Les secteurs qui peuvent susciter l'intérêt des Italiens sont, entre autres, l'industrie et les mines. «Nous sommes ouverts à toute suggestion et nous sommes prêts à la transmettre aux concernés» a-t-il déclaré. Notons qu'outre des relations commerciales développées entre les deux pays, l'Italie compte 130 entreprises en Algérie.