La première Journée mondiale contre le paludisme est célébrée sur fond de solidarité avec quelque 3,2 milliards d'individus menacés par cette maladie dans une centaine de pays, selon des chiffres rendus publics à Dakar par l'Institut de recherche pour le développement (IRD). Cette journée remplace la Journée africaine contre le paludisme, commémorée le 15 avril de chaque année, depuis 2001, dans un continent où le paludisme constituait "l'un des obstacles fondamentaux au développement économique". Selon des statistiques de L'IRD, le paludisme, maladie parasitaire la plus répandue au monde, tue entre 1 et 3 millions de personnes par an, dont 90% en Afrique. A la fois cause et conséquence de la pauvreté, cette maladie qui mobilise encore les chercheurs à travers le monde, se manifeste par de la fièvre, des maux de tête et des vomissements. Si la lutte contre le paludisme a connu plusieurs étapes à travers le monde, en Afrique, la Déclaration d'Abuja, signée en avril 2000 par 44 des 50pays africains touchés a marqué "la volonté d'agir", car depuis, plus de la moitié des pays d'Afrique où la maladie est endémique, ont conçu des plans stratégiques, selon des rapports publiés récemment. En plus des traitements des cas enregistrés et les soins préventifs dont bénéficient les populations, des résultats encourageants ont été notés avec l'intensification de l'utilisation de moustiquaires imprégnées, a-t-on indiqué. En 2007, les Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, en partenariat avec divers partenaires, ont distribué environ 2,5 millions de moustiquaires traitées au moyen d'un insecticide à action durable, dont 1,8 million au Mali et 490,000 à Madagascar. Parallèlement à la poursuite de la recherche scientifique pour identifier les vecteurs de transmission, la distribution des moustiquaires imprégnés continuera en 2008, a pour sa part annoncé l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à l'occasion de la célébration de cette journée. Ainsi, environ 750.000 moustiquaires seront distribués en Afrique de l'Ouest et du Centre (Togo et Burkina Faso), ciblant 940.000 enfants. L'OMS, s'est inscrite dans le partenariat qui a pour slogan "faire reculer le paludisme" afin d'attirer l'attention sur le problème que représente la pandémie. Au Sénégal, cette journée mondial, est célébrée à Dagana (nord du pays) où se rassemblent plusieurs partenaires dont l'OMS avec un engagement d'accompagner la communauté internationale dans la lutte contre le paludisme. Cet engagement a été réaffirmé lors d'un forum organisé jeudi, en partenariat avec le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) et l'USAID pour recueillir les différents avis sur la maladie. La journée mondiale contre le paludisme a été instituée par l'Assemblée mondiale de la santé lors de sa 60ème session en mai 2007 et a pour but de faire prendre conscience de l'effort nécessaire au plan international pour lutter efficacement contre cette maladie. Selon lOMS, la commémoration de cette journée mondiale (contre le paludisme) est devenue "un outil de plaidoyer efficace, si l'on en juge par l'adhésion des gouvernements, des agences multilatérales et bilatérales, des organisations non gouvernementales, des organisations de la société civile, du secteur privé, des communautés et des médias". La première Journée mondiale contre le paludisme est célébrée sur fond de solidarité avec quelque 3,2 milliards d'individus menacés par cette maladie dans une centaine de pays, selon des chiffres rendus publics à Dakar par l'Institut de recherche pour le développement (IRD). Cette journée remplace la Journée africaine contre le paludisme, commémorée le 15 avril de chaque année, depuis 2001, dans un continent où le paludisme constituait "l'un des obstacles fondamentaux au développement économique". Selon des statistiques de L'IRD, le paludisme, maladie parasitaire la plus répandue au monde, tue entre 1 et 3 millions de personnes par an, dont 90% en Afrique. A la fois cause et conséquence de la pauvreté, cette maladie qui mobilise encore les chercheurs à travers le monde, se manifeste par de la fièvre, des maux de tête et des vomissements. Si la lutte contre le paludisme a connu plusieurs étapes à travers le monde, en Afrique, la Déclaration d'Abuja, signée en avril 2000 par 44 des 50pays africains touchés a marqué "la volonté d'agir", car depuis, plus de la moitié des pays d'Afrique où la maladie est endémique, ont conçu des plans stratégiques, selon des rapports publiés récemment. En plus des traitements des cas enregistrés et les soins préventifs dont bénéficient les populations, des résultats encourageants ont été notés avec l'intensification de l'utilisation de moustiquaires imprégnées, a-t-on indiqué. En 2007, les Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, en partenariat avec divers partenaires, ont distribué environ 2,5 millions de moustiquaires traitées au moyen d'un insecticide à action durable, dont 1,8 million au Mali et 490,000 à Madagascar. Parallèlement à la poursuite de la recherche scientifique pour identifier les vecteurs de transmission, la distribution des moustiquaires imprégnés continuera en 2008, a pour sa part annoncé l'Organisation mondiale de la santé (OMS) à l'occasion de la célébration de cette journée. Ainsi, environ 750.000 moustiquaires seront distribués en Afrique de l'Ouest et du Centre (Togo et Burkina Faso), ciblant 940.000 enfants. L'OMS, s'est inscrite dans le partenariat qui a pour slogan "faire reculer le paludisme" afin d'attirer l'attention sur le problème que représente la pandémie. Au Sénégal, cette journée mondial, est célébrée à Dagana (nord du pays) où se rassemblent plusieurs partenaires dont l'OMS avec un engagement d'accompagner la communauté internationale dans la lutte contre le paludisme. Cet engagement a été réaffirmé lors d'un forum organisé jeudi, en partenariat avec le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) et l'USAID pour recueillir les différents avis sur la maladie. La journée mondiale contre le paludisme a été instituée par l'Assemblée mondiale de la santé lors de sa 60ème session en mai 2007 et a pour but de faire prendre conscience de l'effort nécessaire au plan international pour lutter efficacement contre cette maladie. Selon lOMS, la commémoration de cette journée mondiale (contre le paludisme) est devenue "un outil de plaidoyer efficace, si l'on en juge par l'adhésion des gouvernements, des agences multilatérales et bilatérales, des organisations non gouvernementales, des organisations de la société civile, du secteur privé, des communautés et des médias".