A l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, une cérémonie de recueillement à la mémoire des journalistes martyrs du devoir s'est déroulée hier à la place de la Liberté de la presse, rue Hassiba Ben Bouali, à Alger. Des journalistes de différents horizons, à la retraite ou en exercice, des membres des familles de journalistes assassinés par la barbarie terroriste, ont marqué par leur présence cette cérémonie de recueillement. A cette occasion, le ministre de la Communication, M. Abderrachid Boukerzaza, des représentants des différents organes de la presse nationale et des membres des familles de journalistes assassinés, ont déposé des gerbes de fleurs au pied de la stèle commémorative. Une minute de silence à la mémoire des journalistes martyrs du devoir, dont les noms ont été immortalisés au bas de la stèle, a été observée. « Les journalistes doivent être fiers aujourd'hui des exploits de la presse nationale, rendus possibles grâce aux sacrifices de tous ceux qui sont morts pour la liberté de la presse » a déclaré le ministre. Pour rappel, la série des assassinats perpètrés contre les journalistes a été ouverte par l'attentat, le 26 mai 1993, visant le journaliste Tahar Djaout qui a rendu l'âme le 2 juin de la même année. En marge de cette cérémonie, le Centre national de documentation de presse et d'information (CNDPI) a organisé, sur le lieu du déroulement de l'événement, une exposition comprenant des photos de la presse nationale dont les "Unes" des premiers titres (El Moudjahid 1957, Echâab 1962). En outre, les photos de 80 journalistes victimes de la tragédie nationale et d'autres relatives aux organismes publics de communication sont également exposées sur les murs de la placette ou est affichée, en gros caractères, la déclaration de Windhoek du 3 mai 1991. A l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, une cérémonie de recueillement à la mémoire des journalistes martyrs du devoir s'est déroulée hier à la place de la Liberté de la presse, rue Hassiba Ben Bouali, à Alger. Des journalistes de différents horizons, à la retraite ou en exercice, des membres des familles de journalistes assassinés par la barbarie terroriste, ont marqué par leur présence cette cérémonie de recueillement. A cette occasion, le ministre de la Communication, M. Abderrachid Boukerzaza, des représentants des différents organes de la presse nationale et des membres des familles de journalistes assassinés, ont déposé des gerbes de fleurs au pied de la stèle commémorative. Une minute de silence à la mémoire des journalistes martyrs du devoir, dont les noms ont été immortalisés au bas de la stèle, a été observée. « Les journalistes doivent être fiers aujourd'hui des exploits de la presse nationale, rendus possibles grâce aux sacrifices de tous ceux qui sont morts pour la liberté de la presse » a déclaré le ministre. Pour rappel, la série des assassinats perpètrés contre les journalistes a été ouverte par l'attentat, le 26 mai 1993, visant le journaliste Tahar Djaout qui a rendu l'âme le 2 juin de la même année. En marge de cette cérémonie, le Centre national de documentation de presse et d'information (CNDPI) a organisé, sur le lieu du déroulement de l'événement, une exposition comprenant des photos de la presse nationale dont les "Unes" des premiers titres (El Moudjahid 1957, Echâab 1962). En outre, les photos de 80 journalistes victimes de la tragédie nationale et d'autres relatives aux organismes publics de communication sont également exposées sur les murs de la placette ou est affichée, en gros caractères, la déclaration de Windhoek du 3 mai 1991.