Le président de l'UEFA, Michel Platini, a assuré vendredi que les deux pays co-organisateurs de l'Euro-2008, l'Autriche et la Suisse, avaient "mis le paquet" pour préparer l'évènement, et qu'ils étaient "prêts", souhaitant bonne chance aux 16 participants: "Que le meilleur gagne". Q: Avez-vous un favori pour cet Euro et, si vous deviez ne voir qu'un seul match, lequel serait-il? R: "Je suis le président de 53 associations et je dois rester neutre. Chaque tournoi a sa propre histoire. Tous les joueurs changent d'un Euro à l'autre. En clair, je dirais que le meilleur gagne. Mais très honnêtement je ne sais pas qui va gagner cet Euro. Et, si je dois voir un seul match, ce sera la finale puisque je suis obligé de remettre la coupe au vainqueur (sourires). C'est vrai que, dans mon coeur, il y a des équipes que je préfère, et pas seulement la France. Mais, vous savez, je ne suis pas un fan des équipes, des sélectionneurs, des tactiques. Moi, j'aime les joueurs. Ce sont les joueurs qui vont nous procurer de l'émotion." L'Angleterre ne dispute pas cet Euro. Cela vous rassure-t-il quant au problème des hooligans? "Je ne pense pas que l'Angletterre ait le monopole des hooligans. Je souhaite que ceux d'Angleterre ne viennent pas, et les autres aussi. Il ne faudrait pas qu'un ou deux abrutis viennent gâcher la fête, cela doit être une grande fête du football. La Suisse et l'Autriche ont mis le paquet pour que tout se passe bien et nous sommes prêts." Il y a 24 ans, vous souleviez la Coupe d'Europe, maintenant vous être président de l'UEFA. Quelle est la meilleure place? "Je crois que ce n'est qu'une question d'âge. Si j'avais 20 ans de moins, je préfèrerais être sur le terrain. Mais, quand vous vieillissez, que vous devenez chauve et que vous prenez du ventre, vous pouvez promouvoir le football d'une différente manière. Je suis heureux d'être un politicien qui essaie de changer les choses dans le football comme lutter contre la corruption. Le président de l'UEFA, Michel Platini, a assuré vendredi que les deux pays co-organisateurs de l'Euro-2008, l'Autriche et la Suisse, avaient "mis le paquet" pour préparer l'évènement, et qu'ils étaient "prêts", souhaitant bonne chance aux 16 participants: "Que le meilleur gagne". Q: Avez-vous un favori pour cet Euro et, si vous deviez ne voir qu'un seul match, lequel serait-il? R: "Je suis le président de 53 associations et je dois rester neutre. Chaque tournoi a sa propre histoire. Tous les joueurs changent d'un Euro à l'autre. En clair, je dirais que le meilleur gagne. Mais très honnêtement je ne sais pas qui va gagner cet Euro. Et, si je dois voir un seul match, ce sera la finale puisque je suis obligé de remettre la coupe au vainqueur (sourires). C'est vrai que, dans mon coeur, il y a des équipes que je préfère, et pas seulement la France. Mais, vous savez, je ne suis pas un fan des équipes, des sélectionneurs, des tactiques. Moi, j'aime les joueurs. Ce sont les joueurs qui vont nous procurer de l'émotion." L'Angleterre ne dispute pas cet Euro. Cela vous rassure-t-il quant au problème des hooligans? "Je ne pense pas que l'Angletterre ait le monopole des hooligans. Je souhaite que ceux d'Angleterre ne viennent pas, et les autres aussi. Il ne faudrait pas qu'un ou deux abrutis viennent gâcher la fête, cela doit être une grande fête du football. La Suisse et l'Autriche ont mis le paquet pour que tout se passe bien et nous sommes prêts." Il y a 24 ans, vous souleviez la Coupe d'Europe, maintenant vous être président de l'UEFA. Quelle est la meilleure place? "Je crois que ce n'est qu'une question d'âge. Si j'avais 20 ans de moins, je préfèrerais être sur le terrain. Mais, quand vous vieillissez, que vous devenez chauve et que vous prenez du ventre, vous pouvez promouvoir le football d'une différente manière. Je suis heureux d'être un politicien qui essaie de changer les choses dans le football comme lutter contre la corruption.