Dans l'après-midi du dimanche, dans un quartier populeux de Tokyo, un homme à bord d'une camionnette, munie d'un couteau de survie, a foncé dans la foule près de la gare d'Akihabara, quartier des magasins électroniques et des jeux vidéos, connu pour son affluence particulière le dimanche et où l'accès aux véhicules est interdit, et a poignardé plusieurs passants. Dans l'après-midi du dimanche, dans un quartier populeux de Tokyo, un homme à bord d'une camionnette, munie d'un couteau de survie, a foncé dans la foule près de la gare d'Akihabara, quartier des magasins électroniques et des jeux vidéos, connu pour son affluence particulière le dimanche et où l'accès aux véhicules est interdit, et a poignardé plusieurs passants. Le chauffard, en furie, armé d'un couteau mutile toute personne se trouvant sur son passage, faisant sept morts et une douzaine de blessés. Cette tuerie acharnée fut, selon des éléments de la police et des pompiers, arrêtée peu après l'intervention d'un policier armé qui a mis hors d'état de nuire l'assaillant. Un dépressif, un malade mental, ou une personne atteinte de troubles de personnalité, aucune hypothèse n'est encore prononcée jusqu'à présent. Le criminel, Tomohiro Kato, un jeune homme de 25 ans, a déclaré à la police «être fatigué de vivre», ce qui laisse deviner l'état dépressif sévère dans lequel il se trouvait peu avant son passage à l'acte criminel. Tomohiro a continué ses déclarations en affirmant que son arrivée à Tokyo n'avait pour motif que le meurtre. Un témoin sur place avait confirmé à la police qu'il entendait l'agresseur prononcer des propos incohérents alors qu'il s'acharnait contre les passants et plantait son couteau partout. Les motifs de ce coup de folie meurtrière reste pour l'heure inconnus, selon les sources de sécurité. Cependant, ce crime abominable coïncide bizarrement avec l'anniversaire de l'une des tueries les plus sanguinaires dans l'histoire du Japon moderne : le carnage perpétré dans une école élémentaire qui a coûté la vie à huit enfants en 2001. En effet, le théâtre de la tuerie scolaire fut une école élémentaire dans la ville d'Osaka où avait pénétré Takuma, un homme armé d'un couteau de boucher, pour décimer huit écoliers âgés entre 9 et 10 ans. C'est à se questionner, à la lumière de ce fait, si le carnage perpétré par Takuma en 2001 n'est pas devenu l'objet d'une fascination morbide, une source d'inspiration au crime ? Les histoires de tueries effroyables sont légions. Des personnes armées, aveuglées par on ne sait quelle force, menées par des instincts de destruction, s'acharnent sur des victimes innocentes. En Amérique, en France, en Asie, en Allemagne, la liste des carnages qui ont coûté la vie à de nombreuses victimes ne peut être exhaustive. Une grande partie des criminelles se sont avérés, selon l'avis de bon nombre de spécialistes, des dépressifs. Selon des chercheurs, les dépressifs sous l'effet d'un traitement psychiatrique peuvent souffrir d'hallucination, d'agressivité et de violences insensées pouvant mener jusqu'au crime. Des études québécoises affirment le lien entre dépression, traitement médical et une série de tueries dans l'histoire qui a eu, semble-t-il, pour cause l'influence médicamenteuse des substances ingérées à l'individu. Dès 1991, plus de 500 morts reliées à la prise d'antidépresseurs avaient été rapportées aux autorités américaines de contrôle des médicaments et des aliments, ce qui accuse les médicaments antidépresseurs, dans certains cas, d'anticiper le passage à l'acte meurtrier. A la lumière de ces faits, la question qui se pose maintenant est : En Algérie, où nous comptons près de trois millions de malades mentaux dont un pourcentage élevé de dépressifs, sommes-nous à l'abri de ce genre de tueries ? A présent, le nombre des agressions physiques commises par des dépressifs et des malades mentaux qui rôdent dans la capitale va crescendo. Dernièrement, une jeune fille a failli être tuée, à Alger, par un dépressif qui portait une barre métallique avec laquelle il assénait des coups qui auraient pu être fatals aux passants. L'on est encore loin de ces actes de tueries abominables qui se déroulent dans le monde, mais l'absence de prise en charge des dépressifs et des malades mentaux ne représente-t-elle pas un risque potentiel d'apparition, à l'avenir, de ce type de crime effroyable ? Le chauffard, en furie, armé d'un couteau mutile toute personne se trouvant sur son passage, faisant sept morts et une douzaine de blessés. Cette tuerie acharnée fut, selon des éléments de la police et des pompiers, arrêtée peu après l'intervention d'un policier armé qui a mis hors d'état de nuire l'assaillant. Un dépressif, un malade mental, ou une personne atteinte de troubles de personnalité, aucune hypothèse n'est encore prononcée jusqu'à présent. Le criminel, Tomohiro Kato, un jeune homme de 25 ans, a déclaré à la police «être fatigué de vivre», ce qui laisse deviner l'état dépressif sévère dans lequel il se trouvait peu avant son passage à l'acte criminel. Tomohiro a continué ses déclarations en affirmant que son arrivée à Tokyo n'avait pour motif que le meurtre. Un témoin sur place avait confirmé à la police qu'il entendait l'agresseur prononcer des propos incohérents alors qu'il s'acharnait contre les passants et plantait son couteau partout. Les motifs de ce coup de folie meurtrière reste pour l'heure inconnus, selon les sources de sécurité. Cependant, ce crime abominable coïncide bizarrement avec l'anniversaire de l'une des tueries les plus sanguinaires dans l'histoire du Japon moderne : le carnage perpétré dans une école élémentaire qui a coûté la vie à huit enfants en 2001. En effet, le théâtre de la tuerie scolaire fut une école élémentaire dans la ville d'Osaka où avait pénétré Takuma, un homme armé d'un couteau de boucher, pour décimer huit écoliers âgés entre 9 et 10 ans. C'est à se questionner, à la lumière de ce fait, si le carnage perpétré par Takuma en 2001 n'est pas devenu l'objet d'une fascination morbide, une source d'inspiration au crime ? Les histoires de tueries effroyables sont légions. Des personnes armées, aveuglées par on ne sait quelle force, menées par des instincts de destruction, s'acharnent sur des victimes innocentes. En Amérique, en France, en Asie, en Allemagne, la liste des carnages qui ont coûté la vie à de nombreuses victimes ne peut être exhaustive. Une grande partie des criminelles se sont avérés, selon l'avis de bon nombre de spécialistes, des dépressifs. Selon des chercheurs, les dépressifs sous l'effet d'un traitement psychiatrique peuvent souffrir d'hallucination, d'agressivité et de violences insensées pouvant mener jusqu'au crime. Des études québécoises affirment le lien entre dépression, traitement médical et une série de tueries dans l'histoire qui a eu, semble-t-il, pour cause l'influence médicamenteuse des substances ingérées à l'individu. Dès 1991, plus de 500 morts reliées à la prise d'antidépresseurs avaient été rapportées aux autorités américaines de contrôle des médicaments et des aliments, ce qui accuse les médicaments antidépresseurs, dans certains cas, d'anticiper le passage à l'acte meurtrier. A la lumière de ces faits, la question qui se pose maintenant est : En Algérie, où nous comptons près de trois millions de malades mentaux dont un pourcentage élevé de dépressifs, sommes-nous à l'abri de ce genre de tueries ? A présent, le nombre des agressions physiques commises par des dépressifs et des malades mentaux qui rôdent dans la capitale va crescendo. Dernièrement, une jeune fille a failli être tuée, à Alger, par un dépressif qui portait une barre métallique avec laquelle il assénait des coups qui auraient pu être fatals aux passants. L'on est encore loin de ces actes de tueries abominables qui se déroulent dans le monde, mais l'absence de prise en charge des dépressifs et des malades mentaux ne représente-t-elle pas un risque potentiel d'apparition, à l'avenir, de ce type de crime effroyable ?