Poète, romancier, nouvelliste et journaliste, Youcef Zirem. est l'un des auteurs qui fait partie de la nouvelle génération d'écrivains qui a donné un nouveau souffle à la littérature du pays de Kateb Yacine. Né le 16 août 1964 en Kabylie, Youcef Zirem s'intéresse à la chose culturelle dès son jeune âge. Il avait la soif de découvrir le monde et décrypter les secrets de la vie. Ingénieur en hydrocarbures, diplômé de l'I.A.P de Boumerdès en 1987, il entame une brève carrière dans le secteur de l'industrie avant de devenir journaliste à la suite des évènements tragiques d'octobre 1988. Zirem fait ses premiers pas dans la presse écrite où il ne tardera pas à se distinguer avec sa lucidité et ses analyses presque parfaites. Il participe à la rédaction de nombreux journaux algérien à l'instar de La Tribune, Le Quotidien d'Oran ou encore El Haq. Il dirige également la rédaction de l'hebdomadaire Le Kabyle de Paris (un journal créé en France en 2003). Youcef est l'auteur du roman, La vie est un grand mensonge, C'est une fiction qui raconte l'histoire de l'Algérie depuis le début des années 1980 jusqu'à aujourd'hui. Ecrit sans aucune chronologie, ce roman est un témoignage d'un humaniste qui ne peut guère rester insensible devant les souffrances de ses compatriotes, ses souffrances. L'ex-journaliste d'Alger-Républicain parle des violences multiples et des incommensurables malheurs de nombre d'Algériens. Des histoires, souvent inspirées de la réalité, nous laisse voir les choses avec de la distance. Cette belle fiction est aussi un hymne à l'amour et à la beauté. Le romancier raconte le parcours de deux couples sur près de vingt ans et décrit soigneusement leurs multiples tourments. La vie est un grand mensonge continue les quêtes de l'auteur, entamées déjà par Les enfants du brouillard (recueil de poésies paru à Paris en 1995 aux éditions Saint Germain des prés). Youcef Zirem est l'auteur de nouvelles (L'âme de Sabrina, éditions. Barzakh, Alger 2000) et d'un essai « La Guerre des ombres, les non-dits d'une tragédie » publié aux éditions le Grip-Complexe à Bruxelles en 2002. Cet essai a eu un succès considérable en Europe et au Canada. En 2001, il a également publié un autre recueil de poèmes, en France, Autrefois la mer nous appartenait que les éditions El Ikhtilef ont repris à Alger, sous le titre Je garderai ça dans ma tête . «Eclaboussures du remord. Subitement, tes yeux ne me quittent plus. Je reprends le gouffre du temps disproportionné, de tes zigzags pompeux et inutiles. Je me souviens de nos rigolades fluides mais à l'horizon, la nostalgie périt déjà », écrit le poète très sensible dans l'un de ses plus beaux textes qui nous invite à un voyage vertigineux. L'auteur de L'âme de Sabrina savoure la beauté, décrit le malheur et s'invente des haltes de bonheur. Tantôt, c'est l'intellectuel qui s'interroge sur le substantiel des choses, sans se contenter d'une lecture simpliste et superficielle, tantôt c'est le rêveur et l'être sensible qui fait face à l'absurdité de la vie. En somme, l'écriture de Youcef Zirem est d'une esthétique hors-pair, où la poésie et la prose se marient harmonieusement et d'une dimension universelle qui dépasse le temps et l'espace. Poète, romancier, nouvelliste et journaliste, Youcef Zirem. est l'un des auteurs qui fait partie de la nouvelle génération d'écrivains qui a donné un nouveau souffle à la littérature du pays de Kateb Yacine. Né le 16 août 1964 en Kabylie, Youcef Zirem s'intéresse à la chose culturelle dès son jeune âge. Il avait la soif de découvrir le monde et décrypter les secrets de la vie. Ingénieur en hydrocarbures, diplômé de l'I.A.P de Boumerdès en 1987, il entame une brève carrière dans le secteur de l'industrie avant de devenir journaliste à la suite des évènements tragiques d'octobre 1988. Zirem fait ses premiers pas dans la presse écrite où il ne tardera pas à se distinguer avec sa lucidité et ses analyses presque parfaites. Il participe à la rédaction de nombreux journaux algérien à l'instar de La Tribune, Le Quotidien d'Oran ou encore El Haq. Il dirige également la rédaction de l'hebdomadaire Le Kabyle de Paris (un journal créé en France en 2003). Youcef est l'auteur du roman, La vie est un grand mensonge, C'est une fiction qui raconte l'histoire de l'Algérie depuis le début des années 1980 jusqu'à aujourd'hui. Ecrit sans aucune chronologie, ce roman est un témoignage d'un humaniste qui ne peut guère rester insensible devant les souffrances de ses compatriotes, ses souffrances. L'ex-journaliste d'Alger-Républicain parle des violences multiples et des incommensurables malheurs de nombre d'Algériens. Des histoires, souvent inspirées de la réalité, nous laisse voir les choses avec de la distance. Cette belle fiction est aussi un hymne à l'amour et à la beauté. Le romancier raconte le parcours de deux couples sur près de vingt ans et décrit soigneusement leurs multiples tourments. La vie est un grand mensonge continue les quêtes de l'auteur, entamées déjà par Les enfants du brouillard (recueil de poésies paru à Paris en 1995 aux éditions Saint Germain des prés). Youcef Zirem est l'auteur de nouvelles (L'âme de Sabrina, éditions. Barzakh, Alger 2000) et d'un essai « La Guerre des ombres, les non-dits d'une tragédie » publié aux éditions le Grip-Complexe à Bruxelles en 2002. Cet essai a eu un succès considérable en Europe et au Canada. En 2001, il a également publié un autre recueil de poèmes, en France, Autrefois la mer nous appartenait que les éditions El Ikhtilef ont repris à Alger, sous le titre Je garderai ça dans ma tête . «Eclaboussures du remord. Subitement, tes yeux ne me quittent plus. Je reprends le gouffre du temps disproportionné, de tes zigzags pompeux et inutiles. Je me souviens de nos rigolades fluides mais à l'horizon, la nostalgie périt déjà », écrit le poète très sensible dans l'un de ses plus beaux textes qui nous invite à un voyage vertigineux. L'auteur de L'âme de Sabrina savoure la beauté, décrit le malheur et s'invente des haltes de bonheur. Tantôt, c'est l'intellectuel qui s'interroge sur le substantiel des choses, sans se contenter d'une lecture simpliste et superficielle, tantôt c'est le rêveur et l'être sensible qui fait face à l'absurdité de la vie. En somme, l'écriture de Youcef Zirem est d'une esthétique hors-pair, où la poésie et la prose se marient harmonieusement et d'une dimension universelle qui dépasse le temps et l'espace.