L'objectif de l'Office national de gestion et d'exploitation des biens culturels protégés (OGEBC) est de défendre la place des musées dans une culture du long terme tout en étant présente dans la dynamique touristique événementielle et saisonnière, selon le Directeur général de l'Office, M. Mohamed Dahmani. L'objectif de l'Office national de gestion et d'exploitation des biens culturels protégés (OGEBC) est de défendre la place des musées dans une culture du long terme tout en étant présente dans la dynamique touristique événementielle et saisonnière, selon le Directeur général de l'Office, M. Mohamed Dahmani. Créé en 2005, suite à la restructuration de l'ANA (Agence nationale d'archéologie, des sites et monuments historiques), l'OGEBC (Office national de gestion et d'exploitation des biens culturels protégés) dont le siège est à Dar Aziza se fixe comme tâche dans son plan d'action 2008 à la concrétisation de trois objectifs. ''Il s'agit de la mise à niveau du gardiennage et de la sécurisation des musées et sites historiques affectés à la structure, l'élaboration et de la mise à jour des inventaires des biens culturels que nous sommes en train de finaliser et la mise à niveau de l'outil indispensable qu'est l'information (guide, dépliants, etc.) au niveau des structures muséales et sites archéologiques, qui le plus souvent fait défaut'', fait remarquer le directeur général de l'OGEBC, M. Mohamed Dahmani, précisant que l'information doit être partout et tout le temps. Mais la mission la plus importante assignée à l'Office de gestion, de par son statut, est de faire participer le patrimoine culturel matériel et immatériel d'une ville à l'effort du développement local. Autrement dit, il faut que le patrimoine soit vécu et mis en valeur par les citoyens en fonction de la typologie du site ou du monument. Il n'est pas superflu de rappeler que dans la vieille médina d'Alger, nombre de ses palais sont soit fermés (dar Essouf, dar el cadi), soit ou en cours de restauration comme dar Ahmed Bey ou dar Hassan Pacha). Il n'est pas mois regrettable aussi de voir le touriste se perdre parfois dans le dédale de ses venelles, sans support d'information. Aussi, devant la carence de ressources humaines en matière de guide, l'OGEBC envisage d'insuffler une dynamique nouvelle susceptible de promouvoir le patrimoine dans la Casbah. ''Il est dans nos prérogatives de proposer des visites documentés avec des personnes habilitées dont les archéologues, les historiens, le mouvement associatif (…). Pour ce faire, nous pensons trouver un cadre de travail avec l'association des Amis de Louni Arezki (ex-Rampe Valée) afin de mettre en place un canevas qui nous permet de mettre en valeur les biens culturels de la cité'', confie M. Mohamed Dahmani. Par ailleurs, les musées constituent une valeur ajoutée aux autres produits touristiques, selon le premier responsable de l'OGEBC qui envisage de donner aux structures relevant de l'institution qu'il dirige une dynamique nouvelle aux musées. Pour ce faire, il s'agit d'abord, explique-t-il, de former des ressources humaines qualifiées susceptibles de servir le musée de manière appropriée. ''Notre objectif est de défendre la place des musées dans une culture du long terme tout en étant présente dans la dynamique touristique événementielle et saisonnière'', commente-t-il. A présent, l'OGEBC s'attelle à rassembler des informations sur les différents musées en constituant des banques de données d'un patrimoine tourné vers un public hétéroclite. Créé en 2005, suite à la restructuration de l'ANA (Agence nationale d'archéologie, des sites et monuments historiques), l'OGEBC (Office national de gestion et d'exploitation des biens culturels protégés) dont le siège est à Dar Aziza se fixe comme tâche dans son plan d'action 2008 à la concrétisation de trois objectifs. ''Il s'agit de la mise à niveau du gardiennage et de la sécurisation des musées et sites historiques affectés à la structure, l'élaboration et de la mise à jour des inventaires des biens culturels que nous sommes en train de finaliser et la mise à niveau de l'outil indispensable qu'est l'information (guide, dépliants, etc.) au niveau des structures muséales et sites archéologiques, qui le plus souvent fait défaut'', fait remarquer le directeur général de l'OGEBC, M. Mohamed Dahmani, précisant que l'information doit être partout et tout le temps. Mais la mission la plus importante assignée à l'Office de gestion, de par son statut, est de faire participer le patrimoine culturel matériel et immatériel d'une ville à l'effort du développement local. Autrement dit, il faut que le patrimoine soit vécu et mis en valeur par les citoyens en fonction de la typologie du site ou du monument. Il n'est pas superflu de rappeler que dans la vieille médina d'Alger, nombre de ses palais sont soit fermés (dar Essouf, dar el cadi), soit ou en cours de restauration comme dar Ahmed Bey ou dar Hassan Pacha). Il n'est pas mois regrettable aussi de voir le touriste se perdre parfois dans le dédale de ses venelles, sans support d'information. Aussi, devant la carence de ressources humaines en matière de guide, l'OGEBC envisage d'insuffler une dynamique nouvelle susceptible de promouvoir le patrimoine dans la Casbah. ''Il est dans nos prérogatives de proposer des visites documentés avec des personnes habilitées dont les archéologues, les historiens, le mouvement associatif (…). Pour ce faire, nous pensons trouver un cadre de travail avec l'association des Amis de Louni Arezki (ex-Rampe Valée) afin de mettre en place un canevas qui nous permet de mettre en valeur les biens culturels de la cité'', confie M. Mohamed Dahmani. Par ailleurs, les musées constituent une valeur ajoutée aux autres produits touristiques, selon le premier responsable de l'OGEBC qui envisage de donner aux structures relevant de l'institution qu'il dirige une dynamique nouvelle aux musées. Pour ce faire, il s'agit d'abord, explique-t-il, de former des ressources humaines qualifiées susceptibles de servir le musée de manière appropriée. ''Notre objectif est de défendre la place des musées dans une culture du long terme tout en étant présente dans la dynamique touristique événementielle et saisonnière'', commente-t-il. A présent, l'OGEBC s'attelle à rassembler des informations sur les différents musées en constituant des banques de données d'un patrimoine tourné vers un public hétéroclite.