Les partis politiques sont unanimes à qualifier le couffin du Ramadhan, une aide en denrées alimentaires fournie par l'Etat aux familles pauvres et nécessiteuses durant le mois sacré du jeûne, de méthode peu digne et ne répondant pas, par conséquent, aux vœux et aux aspirations des familles bénéficiaires, lesquelles souhaitent une aide permanente et des subventions financières conséquentes plus dignes. Ainsi, des membres de formations politiques, tels que le FLN, le FNA et le MSP nous ont expliqué les différentes raisons qui les ont poussés à critiquer la politique du couffin du Ramadhan. Mohamed Bouhadja du Front de libération nationale (FLN), estime que «le couffin du Ramadhan n'est pas perçu comme un acte positif d'aide aux catégories sociales les plus démunies, car il est insignifiant et insuffisant. La formule du couffin ne répond pas aux besoins vitaux des populations pauvres sachant que l'Etat ne s'occupe pas réellement des vrais nécessiteux. Nous travaillons à éradiquer ce genre d'aide dont les pouvoirs publics ne peuvent pas assurer une distribution égale et équitable. Donc, cette méthode de venir en aide n'est pas positive et ne saurait être bien perçue par l'opinion publique internationale. Il y a, certes, des pauvres en Algérie, mais les Algériens doivent se monter plus généreux dans l'entraide au moment où les pauvres ont vraiment besoin de subventions plus conséquentes et plus dignes». Pour sa part, Moussa Touati, le leader du front national algérien (FNA), dira que «le couffin du Ramadhan reflète, certes, le bon sens et l'esprit de solidarité du peuple algérien, suivant ses pratiques islamiques ancestrales, mais cela entache la réputation et le prestige de la nation. Aussi, il convient de travailler pour sauvegarder le pouvoir d'achat des citoyens en leur apportant l'aide nécessaire et en leur fournissant du travail». Touati ajoute que les aides doivent être distribuées pour les familles nécessiteuses et ne doivent pas être détournées vers des personnes spéculatrices. Il y a lieu également de changer et d'améliorer la méthode ayant prévalu durant le Ramadhan de l'année 2007 où les denrées alimentaires n'arrivaient pas convenablement aux vraies familles pauvres et démunies. Quant à Mohamed Djoumaâ, membre du MSP il qualifie le couffin du Ramadhan de «solution conjoncturelle n'ayant pas une dimension sociale honorable dans la mesure où l'Etat doit s'occuper à améliorer le pouvoir d'achat des citoyens afin de leur permettre de vivre dignement, et non pas demeurer éternellement assistés à travers le couffin du Ramadhan. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités et réguler la société. L'université d'été que nous avons organisée récemment s'articulait notamment sur les réformes sociales, l'approche du Ramadhan, la rentrée sociale et scolaire, ainsi que la nécessité de préserver le pouvoir d'achat des citoyens, sachant que la rentrée coïncide avec le début du Ramadhan. Par conséquent, l'aide de 200 milliards de centimes consentie par l'Etat reste dérisoire par rapport aux attentes et aspirations des citoyens». Les partis politiques sont unanimes à qualifier le couffin du Ramadhan, une aide en denrées alimentaires fournie par l'Etat aux familles pauvres et nécessiteuses durant le mois sacré du jeûne, de méthode peu digne et ne répondant pas, par conséquent, aux vœux et aux aspirations des familles bénéficiaires, lesquelles souhaitent une aide permanente et des subventions financières conséquentes plus dignes. Ainsi, des membres de formations politiques, tels que le FLN, le FNA et le MSP nous ont expliqué les différentes raisons qui les ont poussés à critiquer la politique du couffin du Ramadhan. Mohamed Bouhadja du Front de libération nationale (FLN), estime que «le couffin du Ramadhan n'est pas perçu comme un acte positif d'aide aux catégories sociales les plus démunies, car il est insignifiant et insuffisant. La formule du couffin ne répond pas aux besoins vitaux des populations pauvres sachant que l'Etat ne s'occupe pas réellement des vrais nécessiteux. Nous travaillons à éradiquer ce genre d'aide dont les pouvoirs publics ne peuvent pas assurer une distribution égale et équitable. Donc, cette méthode de venir en aide n'est pas positive et ne saurait être bien perçue par l'opinion publique internationale. Il y a, certes, des pauvres en Algérie, mais les Algériens doivent se monter plus généreux dans l'entraide au moment où les pauvres ont vraiment besoin de subventions plus conséquentes et plus dignes». Pour sa part, Moussa Touati, le leader du front national algérien (FNA), dira que «le couffin du Ramadhan reflète, certes, le bon sens et l'esprit de solidarité du peuple algérien, suivant ses pratiques islamiques ancestrales, mais cela entache la réputation et le prestige de la nation. Aussi, il convient de travailler pour sauvegarder le pouvoir d'achat des citoyens en leur apportant l'aide nécessaire et en leur fournissant du travail». Touati ajoute que les aides doivent être distribuées pour les familles nécessiteuses et ne doivent pas être détournées vers des personnes spéculatrices. Il y a lieu également de changer et d'améliorer la méthode ayant prévalu durant le Ramadhan de l'année 2007 où les denrées alimentaires n'arrivaient pas convenablement aux vraies familles pauvres et démunies. Quant à Mohamed Djoumaâ, membre du MSP il qualifie le couffin du Ramadhan de «solution conjoncturelle n'ayant pas une dimension sociale honorable dans la mesure où l'Etat doit s'occuper à améliorer le pouvoir d'achat des citoyens afin de leur permettre de vivre dignement, et non pas demeurer éternellement assistés à travers le couffin du Ramadhan. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités et réguler la société. L'université d'été que nous avons organisée récemment s'articulait notamment sur les réformes sociales, l'approche du Ramadhan, la rentrée sociale et scolaire, ainsi que la nécessité de préserver le pouvoir d'achat des citoyens, sachant que la rentrée coïncide avec le début du Ramadhan. Par conséquent, l'aide de 200 milliards de centimes consentie par l'Etat reste dérisoire par rapport aux attentes et aspirations des citoyens».