Une polémique née entre l'entraîneur du club anglais de Sunderland Roy Keane et Jack Warner, vice-président de la Fifa, s'est poursuivie vendredi à propos de l'attaquant Dwight Yorke. Keane a traité vendredi de "clown" Warner, qui avait critiqué son refus de mettre l'attaquant à disposition de sa sélection de Trinité-et-Tobago. "Yorke a pris sa retraite internationale. J'ai dit à Jack ce que je pensais de lui et je lui ai dit d'aller se faire voir. C'est un clown, son attitude est honteuse. Si (Warner) est vice-président de la Fifa, que Dieu nous garde", a déclaré Keane dans les medias britanniques. Pour sa part Warner, qui avait reproché à Keane de ne pas avoir libéré Yorke pour le match contre les Etats-Unis comptant pour les qualifications pour le Mondial-2010 et perdu 3 à 0 par Trinité-et-Tobago, a écrit un courrier à Keane rendu public jeudi par les médias britanniques dans lequel il le qualifie de ''mesquin''. ''Votre mépris patent pour les droits des petits pays à disposer de leurs joueurs, tel qu'il est garanti par la Fifa, révèle le côté mesquin de votre personnalité", avait écrit Warner dans ce courrier. Une polémique née entre l'entraîneur du club anglais de Sunderland Roy Keane et Jack Warner, vice-président de la Fifa, s'est poursuivie vendredi à propos de l'attaquant Dwight Yorke. Keane a traité vendredi de "clown" Warner, qui avait critiqué son refus de mettre l'attaquant à disposition de sa sélection de Trinité-et-Tobago. "Yorke a pris sa retraite internationale. J'ai dit à Jack ce que je pensais de lui et je lui ai dit d'aller se faire voir. C'est un clown, son attitude est honteuse. Si (Warner) est vice-président de la Fifa, que Dieu nous garde", a déclaré Keane dans les medias britanniques. Pour sa part Warner, qui avait reproché à Keane de ne pas avoir libéré Yorke pour le match contre les Etats-Unis comptant pour les qualifications pour le Mondial-2010 et perdu 3 à 0 par Trinité-et-Tobago, a écrit un courrier à Keane rendu public jeudi par les médias britanniques dans lequel il le qualifie de ''mesquin''. ''Votre mépris patent pour les droits des petits pays à disposer de leurs joueurs, tel qu'il est garanti par la Fifa, révèle le côté mesquin de votre personnalité", avait écrit Warner dans ce courrier.