plusieurs enfants ayant atteint ou même dépassé l'âge requis se sont vus privés de rejoindre les bancs d'école sous le prétexte de la non disponibilité de places. Ce constat a été fait au premier jour de la rentrée scolaire 2008/2009 dans plusieurs établissements de la capitale. plusieurs enfants ayant atteint ou même dépassé l'âge requis se sont vus privés de rejoindre les bancs d'école sous le prétexte de la non disponibilité de places. Ce constat a été fait au premier jour de la rentrée scolaire 2008/2009 dans plusieurs établissements de la capitale. Paradoxalement, au moment où le ministre de l'Education nationale affirme que l'enseignement pré-scolaire est devenu obligatoire à l'âge de cinq ans, plusieurs enfants ayant atteint ou même dépassé l'âge requis se sont vus privés de rejoindre les bancs d'école sous le prétexte de la non disponibilité de places. Ce constat a été fait au premier jour de la rentrée scolaire 2008/2009 dans plusieurs établissements de la capitale où de nombreux parents d'élèves ont tenu à exprimer leur désarroi face à ce qu'ils ont qualifié de «droit spolié» de leurs enfants. Les exemples ne manquent pas en ce sens, et le plus édifiant est celui de l'école Taleb Abderrahmane de la cité Djenane Achabou dans la commune de Chéraga où des dizaines d'enfants ont eu la désagréable surprise de ne pas figurer sur la liste des plus chanceux qui ont été retenus. Certains d'entre eux n'ont pu contenir leurs larmes et sont rentrés en pleurs chez eux. Selon des parents rencontrés sur les lieux, «il s'agit d'une injustice inexpliquée», d'autant plus, ajoutent-ils, que le ministre n'a eu de cesse d'insister sur l'enseignement pré-scolaire et sur son caractère obligatoire. Selon nos interlocuteurs, la directrice de l'école leur aurait expliqué avoir reçu une directive de l'académie pour ne retenir qu'une liste de 25 élèves, «faute de disponibilité de classes». Cette situation est presque identique dans d'autres établissements où le même problème a été signalé pour ces mêmes raisons (manque d'infrastructures). Les parents d'élèves saisissent cette occasion pour appeler le ministre en charge du secteur à trouver une solution à ce problème qui risque de priver des milliers d'enfants de leur droit consacré à l'enseignement. Ceci, d'autant que M. Benbouzid avait indiqué que près de 386.000 nouveaux inscrits en classes préparatoires étaient attendus pour cette rentrée scolaire, soit 60 % du nombre total des enfants âgés de 5 ans à travers 1.491 communes du pays. Le premier responsable du secteur avait affirmé que les mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la réforme du système éducatif ont pris en compte l'importance de l'éducation préparatoire en tant qu'étape de la construction de la société, ajoutant que l'intérêt accordé à l'éducation préparatoire répond au souci d'une bonne préparation à la scolarisation obligatoire mais aussi au souci de garantir des résultats probants de ce nouveau système de scolarisation. Paradoxalement, au moment où le ministre de l'Education nationale affirme que l'enseignement pré-scolaire est devenu obligatoire à l'âge de cinq ans, plusieurs enfants ayant atteint ou même dépassé l'âge requis se sont vus privés de rejoindre les bancs d'école sous le prétexte de la non disponibilité de places. Ce constat a été fait au premier jour de la rentrée scolaire 2008/2009 dans plusieurs établissements de la capitale où de nombreux parents d'élèves ont tenu à exprimer leur désarroi face à ce qu'ils ont qualifié de «droit spolié» de leurs enfants. Les exemples ne manquent pas en ce sens, et le plus édifiant est celui de l'école Taleb Abderrahmane de la cité Djenane Achabou dans la commune de Chéraga où des dizaines d'enfants ont eu la désagréable surprise de ne pas figurer sur la liste des plus chanceux qui ont été retenus. Certains d'entre eux n'ont pu contenir leurs larmes et sont rentrés en pleurs chez eux. Selon des parents rencontrés sur les lieux, «il s'agit d'une injustice inexpliquée», d'autant plus, ajoutent-ils, que le ministre n'a eu de cesse d'insister sur l'enseignement pré-scolaire et sur son caractère obligatoire. Selon nos interlocuteurs, la directrice de l'école leur aurait expliqué avoir reçu une directive de l'académie pour ne retenir qu'une liste de 25 élèves, «faute de disponibilité de classes». Cette situation est presque identique dans d'autres établissements où le même problème a été signalé pour ces mêmes raisons (manque d'infrastructures). Les parents d'élèves saisissent cette occasion pour appeler le ministre en charge du secteur à trouver une solution à ce problème qui risque de priver des milliers d'enfants de leur droit consacré à l'enseignement. Ceci, d'autant que M. Benbouzid avait indiqué que près de 386.000 nouveaux inscrits en classes préparatoires étaient attendus pour cette rentrée scolaire, soit 60 % du nombre total des enfants âgés de 5 ans à travers 1.491 communes du pays. Le premier responsable du secteur avait affirmé que les mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la réforme du système éducatif ont pris en compte l'importance de l'éducation préparatoire en tant qu'étape de la construction de la société, ajoutant que l'intérêt accordé à l'éducation préparatoire répond au souci d'une bonne préparation à la scolarisation obligatoire mais aussi au souci de garantir des résultats probants de ce nouveau système de scolarisation.