Le Conseil de gouvernement a adopté, jeudi, deux décrets exécutifs traitant de la protection des espèces animales menacées d'extinction. Le premier fixe les modalités de capture de spécimens d'animaux, classés espèces menacées de disparition, tandis que le second contient les mesures de protection pour la sauvegarde des espèces protégées, a-t-on indiqué jeudi dans le communiqué du Conseil de gouvernement. Les deux décrets, explique-t-on, ont été pris en application de l'Ordonnance relative à la protection et à la préservation de certaines espèces animales menacées de disparition. Ces textes, précise-t-on encore, arrêtent les procédures pratiques de la mise en œuvre de la protection de la faune menacée, contenue dans la loi adoptée par le Parlement, en octobre 2007. Lequel texte comprenait une liste de 23 espèces, dont 13 mammifères, 7 volatiles et 3 reptiles. La menace sérieuse d'extinction pesant sur l'outarde, faut-il le rappeler, a été l'élément déclencheur de la campagne pour la protection des espèces animales en Algérie. L'animal en question, prisé par les émirs du golf pour ses vertus aphrodisiaques a fait l'objet, pendant plusieurs années, d'une chasse implacable. Outre l'outarde, l'addax (antilope de désert), le cerf de Berberie, et bien d'autres espèces animales encourent le risque de disparition des territoires algériens. Les défenseurs de la biodiversité n'ont pas cessé, d'ailleurs, de tirer la sonnette d'alarme. En plus du braconnage, ces espèces sont menacées par les feux de forêts et le changement climatique. Il est à se demander, à ce sujet, ce qui est advenu de la commission nationale de protection des espèces animales menacées d'extinction, dont la création a été annoncée, il y prés d'un an par l'ex-ministre de l'agriculture, Saïd Barkat. Un organe qui devait conjuguer les efforts des spécialistes en la matière pour réduire les menaces qui planent sur la faune. Même constat pour la convention sur le commerce international des espèces animales et végétales, exposées aux risques de disparition, annoncée par le même responsable et qui tarde toujours à voir le jour. D'autre part, le Conseil de gouvernement, selon son communiqué, a examiné l'avant-projet de loi modifiant et complétant l'ordonnance n°71-57 du 5 août 1971 relative à l'assistance judiciaire. Un projet qui vise, explique-t-on, à faire bénéficier les personnes défavorisées de l'assistance judiciaire. Le Conseil de Gouvernement a adopté un autre décret exécutif fixant les mécanismes et la méthode d'élaboration du programme indicatif pour l'approvisionnement du marché national en gaz. Ce texte, précise-t-on de même source, fixe la méthodologie que devra utiliser la Commission de Régulation de l'Electricité et du Gaz (CREG) pour élaborer le programme indicatif d'approvisionnement du marché national en gaz, sur la base de l'évolution socio-économique du pays, ainsi que de la politique énergétique nationale. Le Conseil de gouvernement a adopté, jeudi, deux décrets exécutifs traitant de la protection des espèces animales menacées d'extinction. Le premier fixe les modalités de capture de spécimens d'animaux, classés espèces menacées de disparition, tandis que le second contient les mesures de protection pour la sauvegarde des espèces protégées, a-t-on indiqué jeudi dans le communiqué du Conseil de gouvernement. Les deux décrets, explique-t-on, ont été pris en application de l'Ordonnance relative à la protection et à la préservation de certaines espèces animales menacées de disparition. Ces textes, précise-t-on encore, arrêtent les procédures pratiques de la mise en œuvre de la protection de la faune menacée, contenue dans la loi adoptée par le Parlement, en octobre 2007. Lequel texte comprenait une liste de 23 espèces, dont 13 mammifères, 7 volatiles et 3 reptiles. La menace sérieuse d'extinction pesant sur l'outarde, faut-il le rappeler, a été l'élément déclencheur de la campagne pour la protection des espèces animales en Algérie. L'animal en question, prisé par les émirs du golf pour ses vertus aphrodisiaques a fait l'objet, pendant plusieurs années, d'une chasse implacable. Outre l'outarde, l'addax (antilope de désert), le cerf de Berberie, et bien d'autres espèces animales encourent le risque de disparition des territoires algériens. Les défenseurs de la biodiversité n'ont pas cessé, d'ailleurs, de tirer la sonnette d'alarme. En plus du braconnage, ces espèces sont menacées par les feux de forêts et le changement climatique. Il est à se demander, à ce sujet, ce qui est advenu de la commission nationale de protection des espèces animales menacées d'extinction, dont la création a été annoncée, il y prés d'un an par l'ex-ministre de l'agriculture, Saïd Barkat. Un organe qui devait conjuguer les efforts des spécialistes en la matière pour réduire les menaces qui planent sur la faune. Même constat pour la convention sur le commerce international des espèces animales et végétales, exposées aux risques de disparition, annoncée par le même responsable et qui tarde toujours à voir le jour. D'autre part, le Conseil de gouvernement, selon son communiqué, a examiné l'avant-projet de loi modifiant et complétant l'ordonnance n°71-57 du 5 août 1971 relative à l'assistance judiciaire. Un projet qui vise, explique-t-on, à faire bénéficier les personnes défavorisées de l'assistance judiciaire. Le Conseil de Gouvernement a adopté un autre décret exécutif fixant les mécanismes et la méthode d'élaboration du programme indicatif pour l'approvisionnement du marché national en gaz. Ce texte, précise-t-on de même source, fixe la méthodologie que devra utiliser la Commission de Régulation de l'Electricité et du Gaz (CREG) pour élaborer le programme indicatif d'approvisionnement du marché national en gaz, sur la base de l'évolution socio-économique du pays, ainsi que de la politique énergétique nationale.