Le monde recèle encore d'autres gisements que le pétrole et le gaz qui sont marqués par l'instabilité et sont otages de la crise mondiale. C'est là une conviction de plus en plus répandue dans les sphères politiques du monde entier. Il reste à trouver une application sur le terrain. La semaine de l'énergie d'Alger, qui réunit les compagnies majors dans le domaine des hydrocarbures, a la mission de concrétiser les rêves des politiques. Azzedine Fourra, organisateur de la 4ème semaine de l'énergie nous en parle. Le monde recèle encore d'autres gisements que le pétrole et le gaz qui sont marqués par l'instabilité et sont otages de la crise mondiale. C'est là une conviction de plus en plus répandue dans les sphères politiques du monde entier. Il reste à trouver une application sur le terrain. La semaine de l'énergie d'Alger, qui réunit les compagnies majors dans le domaine des hydrocarbures, a la mission de concrétiser les rêves des politiques. Azzedine Fourra, organisateur de la 4ème semaine de l'énergie nous en parle. Midi Libre : Quels sont les objectifs de la 4ème semaine de l'énergie ? Azzedine Fourra : Cet important évènement sera marqué par la présence des plus grandes compagnies du pétrole et du gaz. Le but est de dégager les horizons, poser les jalons de nouvelles stratégies axées sur des formes d'énergie autres que les énergies fossiles. Cela ne peut donc se faire sans se frotter aux plus grands qui animent le secteur de l'énergie. D'ailleurs, les thèmes qui seront débattus auront trait à la nouvelle politique énergétique qui s'impose à nous, à la lumière de la crise mondiale et tout ce qu'elle implique comme tensions sur l'énergie. Ainsi, les thèmes de prédilection seront les opportunités de partenariat dans le nucléaire, le solaire et l'éolien, sans oublier la protection de l'environnement. Mais, au-delà des slogans, qu'est-ce qu'il est attendu de cette manifestation ? A l'issue de cette semaine, les intervenants sortiront avec des recommandations pour esquisser une stratégie à adopter dans le domaine des énergies nouvelles. En effet, l'objectif de cette semaine est de penser à de nouvelles formes d'énergie. Le monde recèle encore d'autres gisements que le pétrole et le gaz qui sont marqués par l'instabilité et sont otages de la crise mondiale. Un nouveau monde de l'énergie est possible, faisons en sorte d'y arriver en posant les jalons d'une nouvelle politique énergétique. Justement, il est prévu au cours de cette semaine une journée scientifique et technique où les ingénieurs et chercheurs présenteront les dernières innovations et découvertes en matière d'énergies nouvelles. Donc, on peut dire que la crise économique mondiale a incité les compagnies activant dans le domaine de l'énergie à revoir leur politique énergétique, laissant le tout -pétrole pour mettre le cap sur les énergies nouvelles ? La semaine de l'énergie d'Alger était programmée bien avant le déclenchement de la crise, mais, en effet, le thème choisi « le nouveau monde de l'énergie : des défis mais aussi des opportunités » n'est pas fortuit. La crise financière occupe tous les esprits et à plus forte raison, les compagnies énergétiques internationales. Cette manifestation ne sera pas une réunion de financiers devant trouver des solutions à la crise internationale, mais il est clair que les intervenants auront à intégrer cette nouvelle donne qui, faut-il le rappeler, a perturbé le marché et a fait fléchir la demande. Les compagnies ont été très affectées par cette crise, c'est pour cela qu'il leur appartient de réfléchir à de nouvelles opportunités comme le nucléaire, par exemple. M. C. Midi Libre : Quels sont les objectifs de la 4ème semaine de l'énergie ? Azzedine Fourra : Cet important évènement sera marqué par la présence des plus grandes compagnies du pétrole et du gaz. Le but est de dégager les horizons, poser les jalons de nouvelles stratégies axées sur des formes d'énergie autres que les énergies fossiles. Cela ne peut donc se faire sans se frotter aux plus grands qui animent le secteur de l'énergie. D'ailleurs, les thèmes qui seront débattus auront trait à la nouvelle politique énergétique qui s'impose à nous, à la lumière de la crise mondiale et tout ce qu'elle implique comme tensions sur l'énergie. Ainsi, les thèmes de prédilection seront les opportunités de partenariat dans le nucléaire, le solaire et l'éolien, sans oublier la protection de l'environnement. Mais, au-delà des slogans, qu'est-ce qu'il est attendu de cette manifestation ? A l'issue de cette semaine, les intervenants sortiront avec des recommandations pour esquisser une stratégie à adopter dans le domaine des énergies nouvelles. En effet, l'objectif de cette semaine est de penser à de nouvelles formes d'énergie. Le monde recèle encore d'autres gisements que le pétrole et le gaz qui sont marqués par l'instabilité et sont otages de la crise mondiale. Un nouveau monde de l'énergie est possible, faisons en sorte d'y arriver en posant les jalons d'une nouvelle politique énergétique. Justement, il est prévu au cours de cette semaine une journée scientifique et technique où les ingénieurs et chercheurs présenteront les dernières innovations et découvertes en matière d'énergies nouvelles. Donc, on peut dire que la crise économique mondiale a incité les compagnies activant dans le domaine de l'énergie à revoir leur politique énergétique, laissant le tout -pétrole pour mettre le cap sur les énergies nouvelles ? La semaine de l'énergie d'Alger était programmée bien avant le déclenchement de la crise, mais, en effet, le thème choisi « le nouveau monde de l'énergie : des défis mais aussi des opportunités » n'est pas fortuit. La crise financière occupe tous les esprits et à plus forte raison, les compagnies énergétiques internationales. Cette manifestation ne sera pas une réunion de financiers devant trouver des solutions à la crise internationale, mais il est clair que les intervenants auront à intégrer cette nouvelle donne qui, faut-il le rappeler, a perturbé le marché et a fait fléchir la demande. Les compagnies ont été très affectées par cette crise, c'est pour cela qu'il leur appartient de réfléchir à de nouvelles opportunités comme le nucléaire, par exemple. M. C.