Le chef du Comité national préparatoire de la conférence africaine des ministres de l'Environnement sur les changements climatiques, Abdelkader Benhadjoudj, a assuré, hier, qu'il n'y aura pas d'impacts importants de la crise financière sur les engagements des pays européens liés au nouvel accord sur les changements climatiques dans le cadre du Plan d'action de Bali. « L'Union européenne respectera ses engagements, malgré la crise financière mondiale » a déclaré, M. Benhadjoudj, avant d'ajouter que « la crise n'aura pas d'impact sur le déroulement des négociations », et lors d'une conférence de presse organisée au siège, du ministère de l'Aménagement du territoire de l'Environnement et du Tourisme. En effet, Alger, en sa qualité de présidente du groupe Afrique des changements climatiques, abritera les 19 et 20 novembre prochains la Conférence africaine des ministres de l'Environnement sur les changements climatiques. Cet événement international rassemblera l'ensemble des ministres et personnalités africaines, pour débattre de la problématique dans le cadre du Plan d'action de Bali sur les changements climatiques. Par ailleurs, le conférencier a indiqué que le comité de préparation est composé de 15 membres, représentant les ministères des Affaires étrangères, l'Environnement, les Finances, l'Habitat, les Ressources en eau, la Santé, les Transports, l'Industrie, l'Energie etc ainsi que plusieurs organismes, à savoir, la Gendarmerie et la Sûreté nationale, la Douane. L'Union européenne sera, également, présente avec des experts de renommé, ajoute le chef du comité. Le sommet, lui-même, prévu pour les 19 et 20 de ce mois, réunira quelque 30 ministres des pays africains et 17 chefs de délégations, pour débattre des résolutions à entreprendre pour « sensibiliser » les pays industrialisés à diminuer l'émission de ce gaz. C'est aussi une occasion pour faire profiter les pays d'Afrique des expériences des pays développés dans le domaine, dira M. Benhadjoudj. Revenant sur la conférence des ministres africains, M. Benhadjoudj insistera sur l'importance de ce sommet, qui regroupera des experts de renommée mondiale, qui s'attellera à réunir l'Afrique autour d'une attitude unifiée et une stratégie adaptée, pour minimiser l'impact des changements climatiques. Cette rencontre, qui sera précédée par un conclave des spécialistes de la question pour rapprocher les points de vue et les méthodologies, vient s'ajouter aux efforts consentis par l'Algérie pour la préservation de l'environnement. De son côté, la représentante du ministère des Affaires étrangères, Mme Benaza, a affirmé, que la problématique du réchauffement planétaire est irrévocable. En effet, dira-t-elle, les pays africains sont interpellés désormais à conjuguer leurs efforts, car ils seront les premiers à subir les impacts des changements climatiques, qui influent négativement sur tous les secteurs. «L'Algérie, leader des pays africains et présidente du groupe Afrique des changements climatiques, abrite cette rencontre dans le but, d'unifier les modes de pensée, les concepts et d'aller avec une position africaine commune aux réunions prévues en Pologne et au Danemark» souligne, Mme Benaza. A. B. Le chef du Comité national préparatoire de la conférence africaine des ministres de l'Environnement sur les changements climatiques, Abdelkader Benhadjoudj, a assuré, hier, qu'il n'y aura pas d'impacts importants de la crise financière sur les engagements des pays européens liés au nouvel accord sur les changements climatiques dans le cadre du Plan d'action de Bali. « L'Union européenne respectera ses engagements, malgré la crise financière mondiale » a déclaré, M. Benhadjoudj, avant d'ajouter que « la crise n'aura pas d'impact sur le déroulement des négociations », et lors d'une conférence de presse organisée au siège, du ministère de l'Aménagement du territoire de l'Environnement et du Tourisme. En effet, Alger, en sa qualité de présidente du groupe Afrique des changements climatiques, abritera les 19 et 20 novembre prochains la Conférence africaine des ministres de l'Environnement sur les changements climatiques. Cet événement international rassemblera l'ensemble des ministres et personnalités africaines, pour débattre de la problématique dans le cadre du Plan d'action de Bali sur les changements climatiques. Par ailleurs, le conférencier a indiqué que le comité de préparation est composé de 15 membres, représentant les ministères des Affaires étrangères, l'Environnement, les Finances, l'Habitat, les Ressources en eau, la Santé, les Transports, l'Industrie, l'Energie etc ainsi que plusieurs organismes, à savoir, la Gendarmerie et la Sûreté nationale, la Douane. L'Union européenne sera, également, présente avec des experts de renommé, ajoute le chef du comité. Le sommet, lui-même, prévu pour les 19 et 20 de ce mois, réunira quelque 30 ministres des pays africains et 17 chefs de délégations, pour débattre des résolutions à entreprendre pour « sensibiliser » les pays industrialisés à diminuer l'émission de ce gaz. C'est aussi une occasion pour faire profiter les pays d'Afrique des expériences des pays développés dans le domaine, dira M. Benhadjoudj. Revenant sur la conférence des ministres africains, M. Benhadjoudj insistera sur l'importance de ce sommet, qui regroupera des experts de renommée mondiale, qui s'attellera à réunir l'Afrique autour d'une attitude unifiée et une stratégie adaptée, pour minimiser l'impact des changements climatiques. Cette rencontre, qui sera précédée par un conclave des spécialistes de la question pour rapprocher les points de vue et les méthodologies, vient s'ajouter aux efforts consentis par l'Algérie pour la préservation de l'environnement. De son côté, la représentante du ministère des Affaires étrangères, Mme Benaza, a affirmé, que la problématique du réchauffement planétaire est irrévocable. En effet, dira-t-elle, les pays africains sont interpellés désormais à conjuguer leurs efforts, car ils seront les premiers à subir les impacts des changements climatiques, qui influent négativement sur tous les secteurs. «L'Algérie, leader des pays africains et présidente du groupe Afrique des changements climatiques, abrite cette rencontre dans le but, d'unifier les modes de pensée, les concepts et d'aller avec une position africaine commune aux réunions prévues en Pologne et au Danemark» souligne, Mme Benaza. A. B.