Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a appelé la communauté internationale à intervenir dans les plus brefs délais pour l'arrêt des agressions contre Ghaza. Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a appelé la communauté internationale à intervenir dans les plus brefs délais pour l'arrêt des agressions contre Ghaza. Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas a affirmé au Caire que l'objectif pressant dans l'immédiat est l'arrêt immédiat de cette agression et l'application de la résolution 1860 du Conseil de sécurité. Appelant la communauté internationale à intervenir dans les plus brefs délais pour l'arrêt des agressions contre Ghaza, il a également souhaité que la délégation du mouvement de la résistance islamique Hamas, actuellement au Caire, accepte sans hésitation le plan. Le président Abbas a, par ailleurs, souligné que "nous voulons la paix et la résistance n'est pas une fin en soi si elle doit conduire à la destruction du peuple palestinien". De son coté, le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal a posé quatre conditions à toutes discussions sur une trêve, à savoir la fin de l'agression israélienne, un retrait israélien de la bande de Ghaza, la levée du blocus du territoire et l'ouverture de tous ses points de passage. "Nous demandons l'arrêt immédiat de l'agression, le retrait immédiat des forces israéliennes de Ghaza, la levée du blocus et l'ouverture de tous les points de passage. Nous discuterons ensuite d'une trêve", a-t-il affirmé. Sur le terrain, les habitants de Ghaza continuent, pour le seizième jour consécutif, de vivre sous les feux de l'armée d'occupation, les attaques aériennes, terrestres et navales s'abattant sans répit sur le territoire, où la liste des victimes ne cessent de s'allonger. Sachant que les forces israéliennes utilisent dans leurs attaques notamment bombes au phosphore blanc, une munition prohibée. Le phosphore blanc est un agent toxique et l'exposition à ce produit peut se révéler fatale. Il peut provoquer des brûlures de la peau et endommager le foie, le coeur ou les reins. Le protocole III de la Convention de 1980 sur les armes conventionnelles interdit son usage contre les populations civiles ou contre des forces militaires stationnées au milieu de populations civiles. Pour rappel, au lendemain de l'adoption jeudi soir de la résolution 1860, par 14 des 15 membres du Conseil, les Etats-Unis étant les seuls à s'y être opposés, l'armée d'occupation israélienne a poursuivi sans répit ses attaques. Dans sa politique de répression, Israël semble vouloir aller plus loin encore, en affichant sa détermination à aller "jusqu'au bout de ses objectifs" d'en finir avec la résistance palestinienne quitte à exterminer les habitants de la bande de Ghaza. La décision de refuser l'arrêt de l'agression a été prise vendredi par le cabinet de sécurité israélien, le Premier ministre Ehud Olmert ayant jugé la résolution de l'ONU inapplicable, afin de poursuivre le "carnage". Dans un entretien téléphonique, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a exprimé à Olmert "sa déception du fait que la violence se poursuive sur le terrain, au mépris de la résolution du Conseil de sécurité". Par ailleurs, les efforts persistent afin de trouver les moyens de cesser la barbarie à Ghaza, même si la résolution de l'ONU reste lettre morte du fait de la poursuite de l'agression israélienne Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas a affirmé au Caire que l'objectif pressant dans l'immédiat est l'arrêt immédiat de cette agression et l'application de la résolution 1860 du Conseil de sécurité. Appelant la communauté internationale à intervenir dans les plus brefs délais pour l'arrêt des agressions contre Ghaza, il a également souhaité que la délégation du mouvement de la résistance islamique Hamas, actuellement au Caire, accepte sans hésitation le plan. Le président Abbas a, par ailleurs, souligné que "nous voulons la paix et la résistance n'est pas une fin en soi si elle doit conduire à la destruction du peuple palestinien". De son coté, le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal a posé quatre conditions à toutes discussions sur une trêve, à savoir la fin de l'agression israélienne, un retrait israélien de la bande de Ghaza, la levée du blocus du territoire et l'ouverture de tous ses points de passage. "Nous demandons l'arrêt immédiat de l'agression, le retrait immédiat des forces israéliennes de Ghaza, la levée du blocus et l'ouverture de tous les points de passage. Nous discuterons ensuite d'une trêve", a-t-il affirmé. Sur le terrain, les habitants de Ghaza continuent, pour le seizième jour consécutif, de vivre sous les feux de l'armée d'occupation, les attaques aériennes, terrestres et navales s'abattant sans répit sur le territoire, où la liste des victimes ne cessent de s'allonger. Sachant que les forces israéliennes utilisent dans leurs attaques notamment bombes au phosphore blanc, une munition prohibée. Le phosphore blanc est un agent toxique et l'exposition à ce produit peut se révéler fatale. Il peut provoquer des brûlures de la peau et endommager le foie, le coeur ou les reins. Le protocole III de la Convention de 1980 sur les armes conventionnelles interdit son usage contre les populations civiles ou contre des forces militaires stationnées au milieu de populations civiles. Pour rappel, au lendemain de l'adoption jeudi soir de la résolution 1860, par 14 des 15 membres du Conseil, les Etats-Unis étant les seuls à s'y être opposés, l'armée d'occupation israélienne a poursuivi sans répit ses attaques. Dans sa politique de répression, Israël semble vouloir aller plus loin encore, en affichant sa détermination à aller "jusqu'au bout de ses objectifs" d'en finir avec la résistance palestinienne quitte à exterminer les habitants de la bande de Ghaza. La décision de refuser l'arrêt de l'agression a été prise vendredi par le cabinet de sécurité israélien, le Premier ministre Ehud Olmert ayant jugé la résolution de l'ONU inapplicable, afin de poursuivre le "carnage". Dans un entretien téléphonique, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a exprimé à Olmert "sa déception du fait que la violence se poursuive sur le terrain, au mépris de la résolution du Conseil de sécurité". Par ailleurs, les efforts persistent afin de trouver les moyens de cesser la barbarie à Ghaza, même si la résolution de l'ONU reste lettre morte du fait de la poursuite de l'agression israélienne