Ahmed Ouyahia donne le ton en considérant que la priorité de l'heure tourne autour de la nécessité de «mobiliser les potentialités, de les organiser sur le terrain, de sensibiliser les citoyens à s'inscrire sur les listes électorales et de préparer la base et les élus à la collecte des signatures pour le candidat Abdelaziz Bouteflika». Ahmed Ouyahia donne le ton en considérant que la priorité de l'heure tourne autour de la nécessité de «mobiliser les potentialités, de les organiser sur le terrain, de sensibiliser les citoyens à s'inscrire sur les listes électorales et de préparer la base et les élus à la collecte des signatures pour le candidat Abdelaziz Bouteflika». A un peu plus de deux mois des élections présidentielles, dont tout porte à croire qu'elles auront lieu le 2 avril prochain, les partis politiques passent à la vitesse supérieure en perspective de ce rendez vous électoral. Le RND (Rassemblement national démocratique), qui a déjà entamé la mobilisation de ses troupes la semaine passée, a continué sur cette lancée en organisant deux importantes rencontres ce week end, l'une à Alger et l'autre à Constantine. Dans la capitale, le RND a, en effet, organisé une journée d'études portant sur la préparation de cette échéance politique et à laquelle ont pris part des élus locaux et nationaux. Le secrétaire général du parti a, en cette occasion, adressé une directive aux participants dans laquelle il trace les priorités et les objectifs à atteindre dans cette étape de préparation de ce scrutin électoral. Ahmed Ouyahia donne ainsi le ton en considérant que la priorité de l'heure tourne autour de la nécessité de «mobiliser les potentialités, de les organiser sur le terrain, de sensibiliser les citoyens à s'inscrire sur les listes électorales et de préparer la base et les élus à la collecte des signatures pour le candidat Abdelaziz Bouteflika». Ainsi, le premier responsable de cette formation politique, qui laisse transparaître ses craintes d'un taux élevé d'abstention lors du scrutin, lance un appel à ses militants pour battre campagne auprès des citoyens en vue de les amener à ne pas bouder les urnes le jour «J». Et d'ailleurs, Ouyahia, preuve de cette appréhension que partagent avec lui d'autres leaders, notamment ceux affiliés aux partis de l'Alliance présidentielle, n'a pas omis d'interpeller ses propres militants en vue de s'assurer eux aussi de leur inscription sur les listes électorales. Apparemment fortement édifiés par l'expérience du fort taux d'abstention enregistré lors des élections législatives de mai 2007, les partis de l'Alliance ne veulent pas qu'un tel scénario soit réédité encore une fois lors des présidentielles. Le ministre de l'Intérieur, Nouredine Yazid Zerhouni, pour rappel, a fait porter le chapeau de cette défection populaire aux partis politiques qui n'ont pas été à la hauteur s'agissant de la mobilisation des électeurs. On comprend dés lors pourquoi cette fois-ci les partis de l'Alliance présidentielle, voulant se prémunir contre toute mauvaise surprise, s'attellent ardemment à coordonner les actions qu'ils comptent initier en direction des citoyens électeurs. Dans ce message, Ahmed Ouyahia a exhorté les cadres et responsables du parti à procéder, dès le mois prochain, à ouvrir grands aux citoyens les sièges du parti, à l'ouverture aussi de nouvelles permanences et à la sélection des militants qui devraient assurer le rôle d'observateurs dans les bureaux de vote. Il a donné pour instruction la constitution de cellules au niveau de chaque commune, qui auront pour mission de collecter les signatures au profit du candidat Bouteflika lequel, pour le moment, n'a pas encore levé le voile sur son intention ou non de se représenter à sa propre succession. Les élus sont appelés à leur tour à accorder leur signature au même candidat. En termes plus clairs, Ouyahia est en train de décréter la mobilisation générale au sein du parti. Et si Seddik Chiheb a présidé la réunion d'Alger, le porte-parole du parti, Miloud Chorfi, accompagné de Nouara Djaâfar, membre du bureau national, est allé, lui, dans la capitale de l'Est, Constantine, pour prêcher «l'implication active» de la femme pour la réussite du prochain scrutin. A un peu plus de deux mois des élections présidentielles, dont tout porte à croire qu'elles auront lieu le 2 avril prochain, les partis politiques passent à la vitesse supérieure en perspective de ce rendez vous électoral. Le RND (Rassemblement national démocratique), qui a déjà entamé la mobilisation de ses troupes la semaine passée, a continué sur cette lancée en organisant deux importantes rencontres ce week end, l'une à Alger et l'autre à Constantine. Dans la capitale, le RND a, en effet, organisé une journée d'études portant sur la préparation de cette échéance politique et à laquelle ont pris part des élus locaux et nationaux. Le secrétaire général du parti a, en cette occasion, adressé une directive aux participants dans laquelle il trace les priorités et les objectifs à atteindre dans cette étape de préparation de ce scrutin électoral. Ahmed Ouyahia donne ainsi le ton en considérant que la priorité de l'heure tourne autour de la nécessité de «mobiliser les potentialités, de les organiser sur le terrain, de sensibiliser les citoyens à s'inscrire sur les listes électorales et de préparer la base et les élus à la collecte des signatures pour le candidat Abdelaziz Bouteflika». Ainsi, le premier responsable de cette formation politique, qui laisse transparaître ses craintes d'un taux élevé d'abstention lors du scrutin, lance un appel à ses militants pour battre campagne auprès des citoyens en vue de les amener à ne pas bouder les urnes le jour «J». Et d'ailleurs, Ouyahia, preuve de cette appréhension que partagent avec lui d'autres leaders, notamment ceux affiliés aux partis de l'Alliance présidentielle, n'a pas omis d'interpeller ses propres militants en vue de s'assurer eux aussi de leur inscription sur les listes électorales. Apparemment fortement édifiés par l'expérience du fort taux d'abstention enregistré lors des élections législatives de mai 2007, les partis de l'Alliance ne veulent pas qu'un tel scénario soit réédité encore une fois lors des présidentielles. Le ministre de l'Intérieur, Nouredine Yazid Zerhouni, pour rappel, a fait porter le chapeau de cette défection populaire aux partis politiques qui n'ont pas été à la hauteur s'agissant de la mobilisation des électeurs. On comprend dés lors pourquoi cette fois-ci les partis de l'Alliance présidentielle, voulant se prémunir contre toute mauvaise surprise, s'attellent ardemment à coordonner les actions qu'ils comptent initier en direction des citoyens électeurs. Dans ce message, Ahmed Ouyahia a exhorté les cadres et responsables du parti à procéder, dès le mois prochain, à ouvrir grands aux citoyens les sièges du parti, à l'ouverture aussi de nouvelles permanences et à la sélection des militants qui devraient assurer le rôle d'observateurs dans les bureaux de vote. Il a donné pour instruction la constitution de cellules au niveau de chaque commune, qui auront pour mission de collecter les signatures au profit du candidat Bouteflika lequel, pour le moment, n'a pas encore levé le voile sur son intention ou non de se représenter à sa propre succession. Les élus sont appelés à leur tour à accorder leur signature au même candidat. En termes plus clairs, Ouyahia est en train de décréter la mobilisation générale au sein du parti. Et si Seddik Chiheb a présidé la réunion d'Alger, le porte-parole du parti, Miloud Chorfi, accompagné de Nouara Djaâfar, membre du bureau national, est allé, lui, dans la capitale de l'Est, Constantine, pour prêcher «l'implication active» de la femme pour la réussite du prochain scrutin.