La formation kabyle, qui avait tablé beaucoup sur le marché des transferts hivernal pour solutionner le grand problème de l'efficacité de son attaque, s'est retrouvée finalement bredouille. En effet, la direction kabyle n'a pas réussi à renforcer le compartiment offensif, maillon faible de l'équipe et qui est de loin la cause directe de la situation actuelle du club en championnat, et qui ne sied guère à une équipe comme la JSK, champion d'Algérie sortant. Plusieurs semaines avant l'ouverture du mercato, la direction des Jaune et Vert avait fixé ses priorités, en matière d'emplettes à faire, en basant son recrutement sur le secteur offensif. Or, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle n'a pas réussi, au bout de compte, à concrétiser son vœu. Pour rappel, il y a eu tout d'abord cette piste privilégiée des joueurs binationaux, qui s'est soldée par un échec, le joueur de l'US Créteil, Madjid Bouabdallah, ayant fait faux bond, avant que l'échange Bensaïd-Aoudia ne capote. Le flop à ce niveau a remis sur le tapis la nécessité de se rabattre sur la filière africaine. C'est ainsi que, et après une quête qui aura duré plusieurs jours, la direction de la JSK enregistrera l'arrivée du jeune attaquant Nigérian Izu Azuka, décrit par son manager comme l'oiseau rare tant espéré par les Kabyles, mais qui, au fil du temps, s'est avéré comme une nouvelle désillusion. En fait, même si la nouvelle recrue kabyle a montré de bonnes dispositions offensives, il n'en demeure pas moins que ce n'est l'attaquant de pointe voulu par la JSK , ce que Hannachi lui-même avouera lors du déplacement de l'équipe en Libye. Avec trois licences pour joueurs étrangers consommées, la JSK a dû se résigner à céder un de ses défenseur afin de libérer une licence africaine, ce qui aura pour conséquence le transfert de Demba en un temps records, alors que la libération du Malien était dans un premier temps écartée. Demba transféré, le club du Djurdjura avait les coudées franches pour s'adjuger les services d'un attaquant africain de métier, et ce ne sont pas les pistes qui manqueront à ce sujet. Malheureusement, encore une fois, c'est un autre revers que subira la direction des Canaris, qui ne réussira pas à convaincre les joueurs ciblés de rejoindre l'Algérie, pour se voir obligée de se contenter de mettre à l'essai, à la dernière minute, des éléments de moindre envergure, en la personne du Centrafricain Sembayé et du Burkinabé Diarra. Ce dernier, après un suspense qui a duré dix jours et la petite lueur d'espoir qu'il a laissé entrevoir, passera finalement à la trappe au grand dam des Kabyles qui ne réussiront pas à trouver le messie tant attendu en attaque. En somme, que de désillusions pour la JSK , qui devra se contenter de l'effectif qu'elle a à sa disposition, même si l'espoir est toujours de mise avec la confiance placée en le trio de recrues que sont Achiou, Azuka et Boussofiane pour redonner un nouveau souffle à une attaque des Canaris pour le moins poussive, qui avait pourtant terminé la saison écoulée comme la meilleure du championnat. L. M. La formation kabyle, qui avait tablé beaucoup sur le marché des transferts hivernal pour solutionner le grand problème de l'efficacité de son attaque, s'est retrouvée finalement bredouille. En effet, la direction kabyle n'a pas réussi à renforcer le compartiment offensif, maillon faible de l'équipe et qui est de loin la cause directe de la situation actuelle du club en championnat, et qui ne sied guère à une équipe comme la JSK, champion d'Algérie sortant. Plusieurs semaines avant l'ouverture du mercato, la direction des Jaune et Vert avait fixé ses priorités, en matière d'emplettes à faire, en basant son recrutement sur le secteur offensif. Or, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle n'a pas réussi, au bout de compte, à concrétiser son vœu. Pour rappel, il y a eu tout d'abord cette piste privilégiée des joueurs binationaux, qui s'est soldée par un échec, le joueur de l'US Créteil, Madjid Bouabdallah, ayant fait faux bond, avant que l'échange Bensaïd-Aoudia ne capote. Le flop à ce niveau a remis sur le tapis la nécessité de se rabattre sur la filière africaine. C'est ainsi que, et après une quête qui aura duré plusieurs jours, la direction de la JSK enregistrera l'arrivée du jeune attaquant Nigérian Izu Azuka, décrit par son manager comme l'oiseau rare tant espéré par les Kabyles, mais qui, au fil du temps, s'est avéré comme une nouvelle désillusion. En fait, même si la nouvelle recrue kabyle a montré de bonnes dispositions offensives, il n'en demeure pas moins que ce n'est l'attaquant de pointe voulu par la JSK , ce que Hannachi lui-même avouera lors du déplacement de l'équipe en Libye. Avec trois licences pour joueurs étrangers consommées, la JSK a dû se résigner à céder un de ses défenseur afin de libérer une licence africaine, ce qui aura pour conséquence le transfert de Demba en un temps records, alors que la libération du Malien était dans un premier temps écartée. Demba transféré, le club du Djurdjura avait les coudées franches pour s'adjuger les services d'un attaquant africain de métier, et ce ne sont pas les pistes qui manqueront à ce sujet. Malheureusement, encore une fois, c'est un autre revers que subira la direction des Canaris, qui ne réussira pas à convaincre les joueurs ciblés de rejoindre l'Algérie, pour se voir obligée de se contenter de mettre à l'essai, à la dernière minute, des éléments de moindre envergure, en la personne du Centrafricain Sembayé et du Burkinabé Diarra. Ce dernier, après un suspense qui a duré dix jours et la petite lueur d'espoir qu'il a laissé entrevoir, passera finalement à la trappe au grand dam des Kabyles qui ne réussiront pas à trouver le messie tant attendu en attaque. En somme, que de désillusions pour la JSK , qui devra se contenter de l'effectif qu'elle a à sa disposition, même si l'espoir est toujours de mise avec la confiance placée en le trio de recrues que sont Achiou, Azuka et Boussofiane pour redonner un nouveau souffle à une attaque des Canaris pour le moins poussive, qui avait pourtant terminé la saison écoulée comme la meilleure du championnat. L. M.