Les commentaires des opposants au troisième mandat la font éclater de rire tout comme les commentaires qui y figurent sous les photos publiées des internautes. Les petites altercations qui naissent entre amis sur un sujet quelconque proposé sur un forum la font jubiler. Elle se rappelle de la dernière discussion on line qu'elle a lancée et que plusieurs facebookers ont apprécié. Il s'agit de «El Hnana» ou « l'affection ». « Les réponses des facebookers mettent en lumière réellement que l'Algérien est en manque d'amour », dit-elle. « Sur Facebook, on crée des groupes pour tout et n'importe quoi », ajoute Karim, membre du site depuis cinq ans déjà. En effet, de la politique aux événements sociaux, les heures à discuter avec les amis du Net passent, déclare Karim, sans qu'il s'en rende compte. De son côté, Marwa, n'hésite pas à envoyer des messages et des cadeaux à ceux dont le jour d'anniversaire figure sur le Facebook. Pour son anniversaire, fêté en famille, elle n'a pas manqué de publier ses photos en ligne afin de permettre à tous ses amis de les contempler et les commenter. «On trouve tout sur le Facebook: qui parle à qui, qui est en relation avec qui, et qui a quitté qui... », explique Nada, étudiante, qui fréquente ce séduisant réseau. Elle confie que c'est devenu pour elle une drogue dont elle ne peut se passer. Fondé par un étudiant américain, Mark Zuckerberg en 2004, le Facebook était destiné au départ à faire rencontrer les lycéens et les étudiants des pays anglophones, surtout des Etats-Unis. Cependant, l'on constate bien aujourd'hui que le site a pris de l'ampleur, de façon à devenir l'un des sites sociaux qui regroupe des milliers d'internautes. Enfin, en attendant une étude officielle initiée par le gouvernement algérien sur le nombre certifié des Algériens enregistrés sur Facebook, laissons-nous séduire davantage par ce réseau des plus attractifs. D. S. Les commentaires des opposants au troisième mandat la font éclater de rire tout comme les commentaires qui y figurent sous les photos publiées des internautes. Les petites altercations qui naissent entre amis sur un sujet quelconque proposé sur un forum la font jubiler. Elle se rappelle de la dernière discussion on line qu'elle a lancée et que plusieurs facebookers ont apprécié. Il s'agit de «El Hnana» ou « l'affection ». « Les réponses des facebookers mettent en lumière réellement que l'Algérien est en manque d'amour », dit-elle. « Sur Facebook, on crée des groupes pour tout et n'importe quoi », ajoute Karim, membre du site depuis cinq ans déjà. En effet, de la politique aux événements sociaux, les heures à discuter avec les amis du Net passent, déclare Karim, sans qu'il s'en rende compte. De son côté, Marwa, n'hésite pas à envoyer des messages et des cadeaux à ceux dont le jour d'anniversaire figure sur le Facebook. Pour son anniversaire, fêté en famille, elle n'a pas manqué de publier ses photos en ligne afin de permettre à tous ses amis de les contempler et les commenter. «On trouve tout sur le Facebook: qui parle à qui, qui est en relation avec qui, et qui a quitté qui... », explique Nada, étudiante, qui fréquente ce séduisant réseau. Elle confie que c'est devenu pour elle une drogue dont elle ne peut se passer. Fondé par un étudiant américain, Mark Zuckerberg en 2004, le Facebook était destiné au départ à faire rencontrer les lycéens et les étudiants des pays anglophones, surtout des Etats-Unis. Cependant, l'on constate bien aujourd'hui que le site a pris de l'ampleur, de façon à devenir l'un des sites sociaux qui regroupe des milliers d'internautes. Enfin, en attendant une étude officielle initiée par le gouvernement algérien sur le nombre certifié des Algériens enregistrés sur Facebook, laissons-nous séduire davantage par ce réseau des plus attractifs. D. S.