M. Abdelaziz Bouteflika a également signé une instruction adressée aux parties concernées par l'organisation du scrutin, où il énumère une série de mesures devant être respectées pour assurer la transparence du scrutin. M. Abdelaziz Bouteflika a également signé une instruction adressée aux parties concernées par l'organisation du scrutin, où il énumère une série de mesures devant être respectées pour assurer la transparence du scrutin. C'est officiel. L'élection présidentielle se tiendra le 9 avril prochain. Le président de la République a mis fin hier aux différentes conjectures ayant entouré cette annonce qui a tenu en haleine la scène politique nationale, en signant un décret présidentiel portant convocation du corps électoral à cette date. «En vertu des dispositions de l'article 154 de la loi organique relative au régime électoral, le président de la République a procédé, ce jour, à la signature du décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour le jeudi 9 avril 2009, en vue de l'élection à la présidence de la République», indique un communiqué des services de la présidence de la République, rendu public hier. Cette annonce s'inscrit dans le respect des délais fixés par la loi électorale, qui oblige, dans son article 154, le chef de l'Etat à convoquer le corps électoral 60 jours avant le jour du scrutin et aussi, dans sa disposition 153, à tenir les élections présidentielles dans les 30 jours qui précèdent l'expiration du mandat du président de la République sortant. Le mandat du Président Bouteflika expirera le 19 avril prochain, soit 5 années, jour pour jour, après avoir prêté serment pour son second quinquennat, le 19 avril 2004. Le chef de l'Etat a accompagné son décret par la signature d'une instruction adressée aux autorités et agents publics concernés par l'organisation de ces joutes pour leur «enjoindre de veiller en toute légalité et neutralité au bon déroulement de cette importante consultation». Ainsi, dans un souci d'entourer l'organisation de ce scrutin «des conditions requises en matière d'intégrité, de transparence et de crédibilité», le Président Bouteflika rappelle dans son instruction les garanties essentielles consacrées par la loi pour assurer la régularité requise. Ceci, précise le communiqué, en mettant en évidence les mesures complémentaires visant à «conforter la régularité de la consultation électorale». Le Chef de l'Etat met, dans ce sens, l'accent, sur «le caractère impératif du strict respect des règles en matière de neutralité par les autorités et les agents publics». Ces mesures «procèdent du souci du chef de l'Etat de garantir la bonne mise en œuvre du dispositif légal et institutionnel assurant la régularité du scrutin», relève la missive. Elle traduit également «une détermination à donner à la prochaine consultation le caractère de transparence et d'équité permettant l'expression souveraine, pleine et entière de la volonté populaire». Le coup de starter, pour la mise en marche de la machine électorale avait été, rappelons-le, donné officiellement le 4 janvier écoulé avec l'installation de la Commission nationale de préparation de l'élection, présidée par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Ladite commission regroupe plusieurs départements ministériels, dont ceux de la Défense, de l'Intérieur, de la Justice, des Finances, des P et T et des Affaires étrangères. M. Ouyahia avait alors déclaré que cette installation venait satisfaire la volonté du chef de l'Etat d'assurer «une totale régularité du scrutin». S. H. Ce que prévoit la loi électorale Art.153. Les élections présidentielles ont lieu dans les trente (30) jours qui précèdent l'expiration du mandat du président de la République. Art.154. Le corps électoral est convoqué par décret présidentiel, soixante (60) jours avant la date du scrutin. Art.158. La déclaration de candidature est déposée au plus tard dans les quinze (15) jours qui suivent la publication du décret présidentiel portant convocation du corps électoral. Ce délai est ramené à huit (8) jours dans le cadre de la mise en œuvre des dispositions du dernier alinéa de l'article 154 de la présente loi. Art.158 bis. Le conseil constitutionnel statue sur la validité des candidatures à la présidence de la République par décision dans un délai de dix (10) jours francs à compter de la date de dépôt de la déclaration de candidature. La décision de rejet est immédiatement notifiée à l'intéressé. Art.161. Dès le dépôt des candidatures, le retrait de candidat ne peut se faire qu'en cas de décès ou d'empêchement légal. C'est officiel. L'élection présidentielle se tiendra le 9 avril prochain. Le président de la République a mis fin hier aux différentes conjectures ayant entouré cette annonce qui a tenu en haleine la scène politique nationale, en signant un décret présidentiel portant convocation du corps électoral à cette date. «En vertu des dispositions de l'article 154 de la loi organique relative au régime électoral, le président de la République a procédé, ce jour, à la signature du décret présidentiel portant convocation du corps électoral pour le jeudi 9 avril 2009, en vue de l'élection à la présidence de la République», indique un communiqué des services de la présidence de la République, rendu public hier. Cette annonce s'inscrit dans le respect des délais fixés par la loi électorale, qui oblige, dans son article 154, le chef de l'Etat à convoquer le corps électoral 60 jours avant le jour du scrutin et aussi, dans sa disposition 153, à tenir les élections présidentielles dans les 30 jours qui précèdent l'expiration du mandat du président de la République sortant. Le mandat du Président Bouteflika expirera le 19 avril prochain, soit 5 années, jour pour jour, après avoir prêté serment pour son second quinquennat, le 19 avril 2004. Le chef de l'Etat a accompagné son décret par la signature d'une instruction adressée aux autorités et agents publics concernés par l'organisation de ces joutes pour leur «enjoindre de veiller en toute légalité et neutralité au bon déroulement de cette importante consultation». Ainsi, dans un souci d'entourer l'organisation de ce scrutin «des conditions requises en matière d'intégrité, de transparence et de crédibilité», le Président Bouteflika rappelle dans son instruction les garanties essentielles consacrées par la loi pour assurer la régularité requise. Ceci, précise le communiqué, en mettant en évidence les mesures complémentaires visant à «conforter la régularité de la consultation électorale». Le Chef de l'Etat met, dans ce sens, l'accent, sur «le caractère impératif du strict respect des règles en matière de neutralité par les autorités et les agents publics». Ces mesures «procèdent du souci du chef de l'Etat de garantir la bonne mise en œuvre du dispositif légal et institutionnel assurant la régularité du scrutin», relève la missive. Elle traduit également «une détermination à donner à la prochaine consultation le caractère de transparence et d'équité permettant l'expression souveraine, pleine et entière de la volonté populaire». Le coup de starter, pour la mise en marche de la machine électorale avait été, rappelons-le, donné officiellement le 4 janvier écoulé avec l'installation de la Commission nationale de préparation de l'élection, présidée par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Ladite commission regroupe plusieurs départements ministériels, dont ceux de la Défense, de l'Intérieur, de la Justice, des Finances, des P et T et des Affaires étrangères. M. Ouyahia avait alors déclaré que cette installation venait satisfaire la volonté du chef de l'Etat d'assurer «une totale régularité du scrutin». S. H. Ce que prévoit la loi électorale Art.153. Les élections présidentielles ont lieu dans les trente (30) jours qui précèdent l'expiration du mandat du président de la République. Art.154. Le corps électoral est convoqué par décret présidentiel, soixante (60) jours avant la date du scrutin. Art.158. La déclaration de candidature est déposée au plus tard dans les quinze (15) jours qui suivent la publication du décret présidentiel portant convocation du corps électoral. Ce délai est ramené à huit (8) jours dans le cadre de la mise en œuvre des dispositions du dernier alinéa de l'article 154 de la présente loi. Art.158 bis. Le conseil constitutionnel statue sur la validité des candidatures à la présidence de la République par décision dans un délai de dix (10) jours francs à compter de la date de dépôt de la déclaration de candidature. La décision de rejet est immédiatement notifiée à l'intéressé. Art.161. Dès le dépôt des candidatures, le retrait de candidat ne peut se faire qu'en cas de décès ou d'empêchement légal.