La candidate du PT au prochain scrutin populaire qui s'est dit «choquée» par la cérémonie en faveur des femmes qui s'est déroulée, dimanche, au Palais des Nations, précisant qu' «aucune femme du PT» n'a participé à cette rencontre. La candidate du PT au prochain scrutin populaire qui s'est dit «choquée» par la cérémonie en faveur des femmes qui s'est déroulée, dimanche, au Palais des Nations, précisant qu' «aucune femme du PT» n'a participé à cette rencontre. «Il fallait annoncer l'abrogation du code de la famille», a estimé, hier à Zéralda, la secrétaire générale du Parti des Travailleurs (PT), Louisa Hanoune, au cours de son allocution d'ouverture de la session extraordinaire du Conseil national du parti, consacrée aux préparatifs de la campagne électorale pour la présidentielle du mois prochain. La candidate du PT au prochain scrutin populaire qui s'est dit «choquée», par la cérémonie en faveur des femmes qui s'est déroulée, dimanche, au Palais des Nations, précisant qu' «aucune femme du PT» n'a participé à cette rencontre, s'est élevée contre l'installation d'une commission à l'effet de proposer une loi organique pour mettre en œuvre le système des quotas en faveur d'une plus grande participation de la femme dans les assemblées électives. Pour Louisa Hanoune, «le système des quotas», auquel elle ne croit pas, «est un système de cooptation», le qualifiant de «menace», car, selon elle, «celles qui sont arrivées vont fuir le champ du militantisme et vont tourner le dos à leurs sœurs». Irritée par le fait que «ce n'est pas le Parlement qui va légiférer» sur cette question, elle juge qu'il fallait simplement «harmoniser les lois», rappelant que «le code la famille est un code de statut personnel» ou «un code de l'indigénat», qui consacre «la discrimination sexiste». La secrétaire général du PT indique que le système des quotas «a échoué dans les pays où il a été appliqué», et affirme que son parti «milite pour l'égalité devant la loi, pas pour l'élitisme», rappelle son combat pour l'abrogation du code de la famille et l'application des conventions internationales sur ce domaine que l'Algérie a ratifiée. «Ca suffit, le tutorat», s'est-elle exclamée, estimant que «la solution est la résolution des problèmes de la vie quotidienne (emploi, infrastructures pour les femmes)». En préliminaire de son discours, la candidate du PT est revenue sur les commissions administratives de surveillance de L'élection présidentielle et trouve «étrange» que les partis que ne sont pas dans la course pour cette échéance puissent être représentés dans ces structures. «La vente des places en gros et dans le détail a déjà commencé», a-t-elle déploré. Pour elle, «c'est le résultat de la décomposition politique», exigeant que «la primauté doit revenir aux représentants des candidats à l'élection présidentielle». Quant à la composition des commissions communales de surveillance, elle dit «attendre des éclaircissements». De toutes façons «on va faire avec», fit-elle, l'air résignée, observant que «notre pays est encore vulnérable aux pressions externes». Une situation internationale caractérisée, selon elle, «par la crise qui touche le cœur du capitalisme» qui répond par des agressions et des intimidations contre les peuples, citant le Soudan, la Syrie et l'Irak. Elle souligne sa préoccupation que le dossier du Sahara Occidental soit remis sur le tapis en ce moment. Un sujet objet de «manipulations et de provocations», des grandes puissances, «intéressées par les ressources de la région», dit-elle convaincue. Elle exprime, également, sa satisfaction que «la Kabylie retrouve peu à peu la normalité». S. B. «Il fallait annoncer l'abrogation du code de la famille», a estimé, hier à Zéralda, la secrétaire générale du Parti des Travailleurs (PT), Louisa Hanoune, au cours de son allocution d'ouverture de la session extraordinaire du Conseil national du parti, consacrée aux préparatifs de la campagne électorale pour la présidentielle du mois prochain. La candidate du PT au prochain scrutin populaire qui s'est dit «choquée», par la cérémonie en faveur des femmes qui s'est déroulée, dimanche, au Palais des Nations, précisant qu' «aucune femme du PT» n'a participé à cette rencontre, s'est élevée contre l'installation d'une commission à l'effet de proposer une loi organique pour mettre en œuvre le système des quotas en faveur d'une plus grande participation de la femme dans les assemblées électives. Pour Louisa Hanoune, «le système des quotas», auquel elle ne croit pas, «est un système de cooptation», le qualifiant de «menace», car, selon elle, «celles qui sont arrivées vont fuir le champ du militantisme et vont tourner le dos à leurs sœurs». Irritée par le fait que «ce n'est pas le Parlement qui va légiférer» sur cette question, elle juge qu'il fallait simplement «harmoniser les lois», rappelant que «le code la famille est un code de statut personnel» ou «un code de l'indigénat», qui consacre «la discrimination sexiste». La secrétaire général du PT indique que le système des quotas «a échoué dans les pays où il a été appliqué», et affirme que son parti «milite pour l'égalité devant la loi, pas pour l'élitisme», rappelle son combat pour l'abrogation du code de la famille et l'application des conventions internationales sur ce domaine que l'Algérie a ratifiée. «Ca suffit, le tutorat», s'est-elle exclamée, estimant que «la solution est la résolution des problèmes de la vie quotidienne (emploi, infrastructures pour les femmes)». En préliminaire de son discours, la candidate du PT est revenue sur les commissions administratives de surveillance de L'élection présidentielle et trouve «étrange» que les partis que ne sont pas dans la course pour cette échéance puissent être représentés dans ces structures. «La vente des places en gros et dans le détail a déjà commencé», a-t-elle déploré. Pour elle, «c'est le résultat de la décomposition politique», exigeant que «la primauté doit revenir aux représentants des candidats à l'élection présidentielle». Quant à la composition des commissions communales de surveillance, elle dit «attendre des éclaircissements». De toutes façons «on va faire avec», fit-elle, l'air résignée, observant que «notre pays est encore vulnérable aux pressions externes». Une situation internationale caractérisée, selon elle, «par la crise qui touche le cœur du capitalisme» qui répond par des agressions et des intimidations contre les peuples, citant le Soudan, la Syrie et l'Irak. Elle souligne sa préoccupation que le dossier du Sahara Occidental soit remis sur le tapis en ce moment. Un sujet objet de «manipulations et de provocations», des grandes puissances, «intéressées par les ressources de la région», dit-elle convaincue. Elle exprime, également, sa satisfaction que «la Kabylie retrouve peu à peu la normalité». S. B.