Les jeunes potaches font des déplacements de 60 kilomètres en aller-retour. Les pouvoirs publics ont pris acte des doléances de ces populations, mais la wilaya manque d'entrepreneurs pour les réalisations. Les jeunes potaches font des déplacements de 60 kilomètres en aller-retour. Les pouvoirs publics ont pris acte des doléances de ces populations, mais la wilaya manque d'entrepreneurs pour les réalisations. Selon des membres de l'Assemblée populaire de wilaya, quatre lycées dans la wilaya d'El Tarf attendent toujours leur réalisation alors que nos potaches subissent quotidiennement le calvaire du long déplacement entre leur lieu de résidence et le lycée auxquels ils sont affectés. Ce déplacement nécessite, en outre, des dépenses excessives pour les parents de condition sociale modeste. La zone la plus touchée étant celle rurale. Les jeunes potaches font des déplacements de 60 kilomètres en aller-retour. La commune de Bougous, située sur la bande frontalière, ainsi que Zitouna et Cheffia pour ne citer que ces localités attendent depuis trois ans leur propre lycée. C'est dans l'objectif de répondre à leur attente que les autorités locales ont pris la décision de les doter de ces infrastructures éducatives. Les pouvoirs publics ont pris acte des doléances de ces populations, mais la wilaya manque d'entrepreneurs pour les réalisations. Pour rappel, la wilaya dispose d'une vingtaine de lycées fonctionnels, de 60 collèges d'enseignement moyen ainsi que de 263 écoles primaires. Il faut préciser également qu'à ce jour les écoliers de ces régions continuent de subir le froid glacial vu que la majorité écrasante des établissements, aussi bien primaires, moyens que secondaires ne sont pas chauffés. Ce sujet a été à maintes reprises mis sur le tapis et discuté avec les autorités locales mais aucune solution n'a été trouvée. Les propositions ne manquent pas, certains proposent les réchauds à gaz ou à mazout, d'autres estiment qu'il vaut mieux doter nos écoles du chauffage central qui coûtera au Trésor public des centaines de millions, mais cela demeure au stade de propositions. En attendant nos enfants grelottent... Selon des membres de l'Assemblée populaire de wilaya, quatre lycées dans la wilaya d'El Tarf attendent toujours leur réalisation alors que nos potaches subissent quotidiennement le calvaire du long déplacement entre leur lieu de résidence et le lycée auxquels ils sont affectés. Ce déplacement nécessite, en outre, des dépenses excessives pour les parents de condition sociale modeste. La zone la plus touchée étant celle rurale. Les jeunes potaches font des déplacements de 60 kilomètres en aller-retour. La commune de Bougous, située sur la bande frontalière, ainsi que Zitouna et Cheffia pour ne citer que ces localités attendent depuis trois ans leur propre lycée. C'est dans l'objectif de répondre à leur attente que les autorités locales ont pris la décision de les doter de ces infrastructures éducatives. Les pouvoirs publics ont pris acte des doléances de ces populations, mais la wilaya manque d'entrepreneurs pour les réalisations. Pour rappel, la wilaya dispose d'une vingtaine de lycées fonctionnels, de 60 collèges d'enseignement moyen ainsi que de 263 écoles primaires. Il faut préciser également qu'à ce jour les écoliers de ces régions continuent de subir le froid glacial vu que la majorité écrasante des établissements, aussi bien primaires, moyens que secondaires ne sont pas chauffés. Ce sujet a été à maintes reprises mis sur le tapis et discuté avec les autorités locales mais aucune solution n'a été trouvée. Les propositions ne manquent pas, certains proposent les réchauds à gaz ou à mazout, d'autres estiment qu'il vaut mieux doter nos écoles du chauffage central qui coûtera au Trésor public des centaines de millions, mais cela demeure au stade de propositions. En attendant nos enfants grelottent...