Les praticiens d'hôpitaux algériens et français ont abordé à Batna les diverses infections des voies urinaires hautes et basses de l'enfant et les méthodes de diagnostic précoce et de prise en charge notamment des nourrissons. La cause première des hospitalisations des enfants "est l'infection urinaire", a affirmé le Dr. Saïda Brahmi, chef de service pédiatrie du CHU de Batna affirmant que c'est ce constat qui est à l'origine du choix du thème de ces premières journées médicales printanières "Les infections urinaires de l'enfant", initiées par les services des maladies infectieuses et depédiatrie du centre hospitalo-universitaire de Batna. Le Pr. Daniel Floret, de l'hôpital de Lyon et également responsable du comité de vaccination au ministère français de la santé, a axé sur la fréquence élevée des infections urinaires chez les nourrissons garçons de premier âge et chez les filles de deuxième âge. Pour ce spécialiste, "l'utilisation exagérée des couches bébé et un déficit en hygiène sont les causes premières de ces infections", estimant que "faute d'être diagnostiquées à temps, ces infections pourraient se compliquer en insuffisances rénales". Il a noté en outre l'importance du recours à l'imagerie pour repérer les éventuelles malformations du système urinaire "qui pourraient également être à l'origine d'infections". Le Pr. Souad Bachtarzi du CHU de Constantine a imputé, de son côté, au manque d'hygiène la fréquence des infections urinaires chez les petites filles. Une série de communications sur l'étiologie, le diagnostic et le traitement des infections urinaires sont au programme de cette rencontre de deux jours. Les praticiens d'hôpitaux algériens et français ont abordé à Batna les diverses infections des voies urinaires hautes et basses de l'enfant et les méthodes de diagnostic précoce et de prise en charge notamment des nourrissons. La cause première des hospitalisations des enfants "est l'infection urinaire", a affirmé le Dr. Saïda Brahmi, chef de service pédiatrie du CHU de Batna affirmant que c'est ce constat qui est à l'origine du choix du thème de ces premières journées médicales printanières "Les infections urinaires de l'enfant", initiées par les services des maladies infectieuses et depédiatrie du centre hospitalo-universitaire de Batna. Le Pr. Daniel Floret, de l'hôpital de Lyon et également responsable du comité de vaccination au ministère français de la santé, a axé sur la fréquence élevée des infections urinaires chez les nourrissons garçons de premier âge et chez les filles de deuxième âge. Pour ce spécialiste, "l'utilisation exagérée des couches bébé et un déficit en hygiène sont les causes premières de ces infections", estimant que "faute d'être diagnostiquées à temps, ces infections pourraient se compliquer en insuffisances rénales". Il a noté en outre l'importance du recours à l'imagerie pour repérer les éventuelles malformations du système urinaire "qui pourraient également être à l'origine d'infections". Le Pr. Souad Bachtarzi du CHU de Constantine a imputé, de son côté, au manque d'hygiène la fréquence des infections urinaires chez les petites filles. Une série de communications sur l'étiologie, le diagnostic et le traitement des infections urinaires sont au programme de cette rencontre de deux jours.