M. Cherif Rahmani, ministre du Tourisme, de l'Environnement et de l'Aménagement du territoire était, hier, à Constantine où il a effectué une visite de travail et d'inspection. Durant la matinée, Chérif Rahmani a eu à inspecter quelques chantiers relevant de son secteur. A partir de 11h30, ce membre du gouvernement s'est consacré à la politique. Le travail de proximité effectué par le ministre dans la ville des Ponts, a ciblé les habitants de la vieille ville. Ceux de Souika, Rahbet Essouf et Echraa entre autres. Quant à l'agenda du ministre, il faut dire qu'il n'était pas trop chargé puisqu'il a été question de se rendre sur deux chantiers seulement. Le premier, à caractère environnemental et le second touristique. Dans la commune de Ben badis, Chérif Rahmani a eu à visiter le projet d'aménagement et d'équipement du Centre d'enfouissement technique de Boughareb. D'une superficie totale de 78 hectares, la réalisation dudit centre a coûté 51 milliards de centimes. Selon les explications fournies au ministre, ce Centre d'enfouissement technique couvre les besoins de six communes en attendant la réception d'un nouveau centre de transfert qui sera implanté au niveau du 13e kilomètre. L'enveloppe dégagée pour ce projet avoisine les 10 milliards de centimes mais les travaux demeurent toujours à l'arrêt! Sur ce site, le ministre s'est dit très satisfait du niveau atteint par l'Algérie en matière de collecte, d'enfouissement et de transfert des déchets, tous types confondus. «120 projets sont en voie d'achèvement. L'ère des décharges sauvages est révolue. Aujourd'hui la collecte des déchets s'effectue suivant des techniques modernes. Reste le système de recyclage et de récupération des déchets; on y travaille avec des équipes spécialisées pour le perfectionner», a-t-il dit. Se rendant sur le chantier où est prévue la réalisation d'un groupe pluridisciplinaire de la nouvelle ville Ali-Mendjli, le ministre a insisté sur le respect des délais, tout en assurant une meilleure qualité. D'une capacité d'accueil de 200 lits, cette infrastructure hôtelière a déjà grignoté 7 milliards de centimes. Concernant le taux d'avancement des travaux, on croit savoir qu'il est de 68%. Pour rappel, l'emplacement de ce complexe touristique n'était pas du goût du président de la République. On se souvient, en 2006, lors de la pose de la première pierre, Abdelaziz Bouteflika avait sévèrement critiqué le site choisi pour la réalisation d'une telle structure du fait qu'elle soit implantée au sein même d'un quartier populeux. S'exprimant sur la chose touristique en Algérie, le ministre a indiqué que «dans le cadre du plan d'assainissement touristique, pas moins de 12 hôtels, dont l'état est dégradé, font l'objet d'opérations de mise à niveau», avant d'ajouter que «350 projets de réalisation de structures hotellière sont déjà lancés à travers tout le territoire national». M. Cherif Rahmani, ministre du Tourisme, de l'Environnement et de l'Aménagement du territoire était, hier, à Constantine où il a effectué une visite de travail et d'inspection. Durant la matinée, Chérif Rahmani a eu à inspecter quelques chantiers relevant de son secteur. A partir de 11h30, ce membre du gouvernement s'est consacré à la politique. Le travail de proximité effectué par le ministre dans la ville des Ponts, a ciblé les habitants de la vieille ville. Ceux de Souika, Rahbet Essouf et Echraa entre autres. Quant à l'agenda du ministre, il faut dire qu'il n'était pas trop chargé puisqu'il a été question de se rendre sur deux chantiers seulement. Le premier, à caractère environnemental et le second touristique. Dans la commune de Ben badis, Chérif Rahmani a eu à visiter le projet d'aménagement et d'équipement du Centre d'enfouissement technique de Boughareb. D'une superficie totale de 78 hectares, la réalisation dudit centre a coûté 51 milliards de centimes. Selon les explications fournies au ministre, ce Centre d'enfouissement technique couvre les besoins de six communes en attendant la réception d'un nouveau centre de transfert qui sera implanté au niveau du 13e kilomètre. L'enveloppe dégagée pour ce projet avoisine les 10 milliards de centimes mais les travaux demeurent toujours à l'arrêt! Sur ce site, le ministre s'est dit très satisfait du niveau atteint par l'Algérie en matière de collecte, d'enfouissement et de transfert des déchets, tous types confondus. «120 projets sont en voie d'achèvement. L'ère des décharges sauvages est révolue. Aujourd'hui la collecte des déchets s'effectue suivant des techniques modernes. Reste le système de recyclage et de récupération des déchets; on y travaille avec des équipes spécialisées pour le perfectionner», a-t-il dit. Se rendant sur le chantier où est prévue la réalisation d'un groupe pluridisciplinaire de la nouvelle ville Ali-Mendjli, le ministre a insisté sur le respect des délais, tout en assurant une meilleure qualité. D'une capacité d'accueil de 200 lits, cette infrastructure hôtelière a déjà grignoté 7 milliards de centimes. Concernant le taux d'avancement des travaux, on croit savoir qu'il est de 68%. Pour rappel, l'emplacement de ce complexe touristique n'était pas du goût du président de la République. On se souvient, en 2006, lors de la pose de la première pierre, Abdelaziz Bouteflika avait sévèrement critiqué le site choisi pour la réalisation d'une telle structure du fait qu'elle soit implantée au sein même d'un quartier populeux. S'exprimant sur la chose touristique en Algérie, le ministre a indiqué que «dans le cadre du plan d'assainissement touristique, pas moins de 12 hôtels, dont l'état est dégradé, font l'objet d'opérations de mise à niveau», avant d'ajouter que «350 projets de réalisation de structures hotellière sont déjà lancés à travers tout le territoire national».