Le projet de transformation lancé en 2002 du site de "Hammam Essalihine" distant de 6 km à l'est de la ville des Asphodèles, (Berrouaghia), visité le 12 avril 2002 par M. Hubert Colin de la Verdière et le professeur Khiati, respectivement ambassadeur de France en Algérie et président de la Fondation pour la recherche médicale (FOREM), en centre d'accueil pour les victimes du terrorisme et les personnes traumatisées, à l'image de celui existant déjà dans la région de Bentalha, tarde à voir le jour. Cet établissement était destiné à toutes les catégories d'âge se situant entre dix et dix-huit ans dans un premier temps, et encadré par un éventail de spécialistes devant se charger de l'aspect psychologique et pédagogique des enfants traumatisés et assurer leur mise à niveau, particulièrement pour ceux ayant été contraints d'interrompre leur cursus scolaire, en leur assurant des cours d'apprentissage et de formation liés à la vocation principale de la région, à savoir l'agriculture et les activités qui en découlent. Espérons que les responsables concernés procédent d'ores et déjà au lancement de ce projet de grande utilité. Le projet de transformation lancé en 2002 du site de "Hammam Essalihine" distant de 6 km à l'est de la ville des Asphodèles, (Berrouaghia), visité le 12 avril 2002 par M. Hubert Colin de la Verdière et le professeur Khiati, respectivement ambassadeur de France en Algérie et président de la Fondation pour la recherche médicale (FOREM), en centre d'accueil pour les victimes du terrorisme et les personnes traumatisées, à l'image de celui existant déjà dans la région de Bentalha, tarde à voir le jour. Cet établissement était destiné à toutes les catégories d'âge se situant entre dix et dix-huit ans dans un premier temps, et encadré par un éventail de spécialistes devant se charger de l'aspect psychologique et pédagogique des enfants traumatisés et assurer leur mise à niveau, particulièrement pour ceux ayant été contraints d'interrompre leur cursus scolaire, en leur assurant des cours d'apprentissage et de formation liés à la vocation principale de la région, à savoir l'agriculture et les activités qui en découlent. Espérons que les responsables concernés procédent d'ores et déjà au lancement de ce projet de grande utilité.
