La wilaya de Tizi Ouzou célébrera, aujourd'hui, le 29ème anniversaire du printemps berbère. Une date qui ne rassemble plus beaucoup de monde depuis quelques années des suites des multiples manipulations politiciennes qu'a subi cette date-repère dans la lutte pour la reconnaissance de l'identité algérienne dans toute sa composante et ce, par l'intégration de la dimension amazigh (langue, culture et histoire). Si par le passé, on mettait de côté les différends politiques et idéologiques pour faire du 20 avril un grand moment, aujourd'hui chacun tente de tirer la couverture de son coté pensant qu'il est le seul accrédité à le célébrer. Pour ce 29ème anniversaire, les arouch ont concocté un riche programme autour des deux dates, à savoir, le printemps berbère (20 avril 1980) et le printemps noir (8 avril 2001). Des commémorations et des conférences autour des événements qui ont marqué ces deux dates sont au menu. Pour sa part, la direction de la maison de la culture a initié une semaine de l'amazighité qui a démarré hier avec la participation de plusieurs associations culturelles. Outre une exposition permanente d'objets de l'artisanat, d'articles de presse, de photos…, il y aura également des conférence autour de la date du 20 avril. Il faut dire que là aussi, l'événement n'a pas échappé a la manipulation politicienne. En effet, un conférencier qui faisait la rétrospective de la lutte et des acquis pour tamazight, a omis d'évoquer les acquis obtenus sous la présidence des predécesseurs, à la tête de l'état, du président Bouteflika. Certes c'est ce dernier qui a permis à la revendication amazighe de faire un pas de géant dans le processus de son intégration en la constitutionnalisant langue nationale, mais par honnêteté intellectuelle, il aurait fallu parler des autres égalementi. Aujourd'hui et grâce à cette décision de Bouteflika, Tamazight n'est plus un tabou dans le pays, et mieux, des moyens institutionnels ont été mis en place pour son développement et sa promotion même si certains fonctionnent difficilement ou pas du tout, comme c'est le cas du centre national pédagogique et linguistique pour l'enseignement de tamazight. Pour sa part, l'APW de tizi Ouzou a décidé de placer cet événement sous le signe de l'artisanat. En effet, dans une conférence animée hier par Mohand Ikherbane, le président de cette assemblée a annoncé qu'un salon de l'artisanat ouvrira, à partir du 22 du mois courant, ses portes aux artisans de 40 wilayas du pays. Une manière de faire du 20 avril une date nationale. La wilaya de Tizi Ouzou célébrera, aujourd'hui, le 29ème anniversaire du printemps berbère. Une date qui ne rassemble plus beaucoup de monde depuis quelques années des suites des multiples manipulations politiciennes qu'a subi cette date-repère dans la lutte pour la reconnaissance de l'identité algérienne dans toute sa composante et ce, par l'intégration de la dimension amazigh (langue, culture et histoire). Si par le passé, on mettait de côté les différends politiques et idéologiques pour faire du 20 avril un grand moment, aujourd'hui chacun tente de tirer la couverture de son coté pensant qu'il est le seul accrédité à le célébrer. Pour ce 29ème anniversaire, les arouch ont concocté un riche programme autour des deux dates, à savoir, le printemps berbère (20 avril 1980) et le printemps noir (8 avril 2001). Des commémorations et des conférences autour des événements qui ont marqué ces deux dates sont au menu. Pour sa part, la direction de la maison de la culture a initié une semaine de l'amazighité qui a démarré hier avec la participation de plusieurs associations culturelles. Outre une exposition permanente d'objets de l'artisanat, d'articles de presse, de photos…, il y aura également des conférence autour de la date du 20 avril. Il faut dire que là aussi, l'événement n'a pas échappé a la manipulation politicienne. En effet, un conférencier qui faisait la rétrospective de la lutte et des acquis pour tamazight, a omis d'évoquer les acquis obtenus sous la présidence des predécesseurs, à la tête de l'état, du président Bouteflika. Certes c'est ce dernier qui a permis à la revendication amazighe de faire un pas de géant dans le processus de son intégration en la constitutionnalisant langue nationale, mais par honnêteté intellectuelle, il aurait fallu parler des autres égalementi. Aujourd'hui et grâce à cette décision de Bouteflika, Tamazight n'est plus un tabou dans le pays, et mieux, des moyens institutionnels ont été mis en place pour son développement et sa promotion même si certains fonctionnent difficilement ou pas du tout, comme c'est le cas du centre national pédagogique et linguistique pour l'enseignement de tamazight. Pour sa part, l'APW de tizi Ouzou a décidé de placer cet événement sous le signe de l'artisanat. En effet, dans une conférence animée hier par Mohand Ikherbane, le président de cette assemblée a annoncé qu'un salon de l'artisanat ouvrira, à partir du 22 du mois courant, ses portes aux artisans de 40 wilayas du pays. Une manière de faire du 20 avril une date nationale.