Ce site est souillé chaque jour par ces marchands qui déversent sans pudeur leurs produits avariés, déchets et emballages hétéroclites . Ce site est souillé chaque jour par ces marchands qui déversent sans pudeur leurs produits avariés, déchets et emballages hétéroclites . Au début des années 90 , des vendeurs à la sauvette avaient été autorisés par les élus locaux de la ville à ériger au niveau de la cité Aïn-Defla, ex-Fougerolle, des stands pour écouler leurs fruits et légumes aux milliers d'habitants de ce quartier populeux, abritant essentiellement des batiments collectifs. Cependant, avec le temps, ce marché a porté atteinte à l'esthétique et à la qualité de l'environnement car ces marchands, qui ont délibérément squatté les espaces de servitude, ont sommairement érigé des stands en utilisant, pêle-mêle, des poutres, planches, tôles de zinc , bâches, toile cirée et autres roseaux. Cette situation perdure au grand dam des riverains qui sont quotidiennement agressés dans leur cadre de vie. En effet, dès l'aube, le tintamarre occasionné par les camionnettes de livraison et le chahut des commerçants iront crescendo jusqu'au coucher du soleil, indisposant le voisinage en quête de repos et de quiétude. Même l'intimité des familles n'est pas respectée par des énergumènes, installés sous les fenêtres, les balcons et les loggias, qui usent éhontément de propos orduriers. Le parking et le terrain de jeu sont impunément investis par ce marché informel ; les enfants pénalisés jouent dans la rue et sont exposés aux risques d'accidents. Ce site est souillé chaque jour par ces marchands qui déversent, sans pudeur, leurs produits avariés, déchets et emballages hétéroclites . Si ce souk rend service aux résidants de cet important quartier, il n 'en demeure pas moins qu'il les perturbe continuellement. L'espoir est permis puisque l'APC a réalisé un grand marché couvert, un R+1, à quelques centaines de mètres , plus précisément au niveau de la cité M'Rabet-Messaoud. Ce centre commercial, achevé voilà plusieurs mois, gagnerait à être inauguré rapidement pour y accueillir les marchands recensés par les services de la municipalité afin que la cité Aïn-Defla retrouve enfin sa quiétude. H. B. Au début des années 90 , des vendeurs à la sauvette avaient été autorisés par les élus locaux de la ville à ériger au niveau de la cité Aïn-Defla, ex-Fougerolle, des stands pour écouler leurs fruits et légumes aux milliers d'habitants de ce quartier populeux, abritant essentiellement des batiments collectifs. Cependant, avec le temps, ce marché a porté atteinte à l'esthétique et à la qualité de l'environnement car ces marchands, qui ont délibérément squatté les espaces de servitude, ont sommairement érigé des stands en utilisant, pêle-mêle, des poutres, planches, tôles de zinc , bâches, toile cirée et autres roseaux. Cette situation perdure au grand dam des riverains qui sont quotidiennement agressés dans leur cadre de vie. En effet, dès l'aube, le tintamarre occasionné par les camionnettes de livraison et le chahut des commerçants iront crescendo jusqu'au coucher du soleil, indisposant le voisinage en quête de repos et de quiétude. Même l'intimité des familles n'est pas respectée par des énergumènes, installés sous les fenêtres, les balcons et les loggias, qui usent éhontément de propos orduriers. Le parking et le terrain de jeu sont impunément investis par ce marché informel ; les enfants pénalisés jouent dans la rue et sont exposés aux risques d'accidents. Ce site est souillé chaque jour par ces marchands qui déversent, sans pudeur, leurs produits avariés, déchets et emballages hétéroclites . Si ce souk rend service aux résidants de cet important quartier, il n 'en demeure pas moins qu'il les perturbe continuellement. L'espoir est permis puisque l'APC a réalisé un grand marché couvert, un R+1, à quelques centaines de mètres , plus précisément au niveau de la cité M'Rabet-Messaoud. Ce centre commercial, achevé voilà plusieurs mois, gagnerait à être inauguré rapidement pour y accueillir les marchands recensés par les services de la municipalité afin que la cité Aïn-Defla retrouve enfin sa quiétude. H. B.