Après avoir attendu, durant toute une année, la réévaluation du marché et son approbation par le comité des marchés, la nouvelle entreprise a démarré les travaux restants et s'est engagée à livrer le port au mois d'août prochain. Après avoir attendu, durant toute une année, la réévaluation du marché et son approbation par le comité des marchés, la nouvelle entreprise a démarré les travaux restants et s'est engagée à livrer le port au mois d'août prochain. Les travaux du port de la Marsa, situé à l'extrême ouest de la wilaya et à une cinquantaine de kilomètres de celui de Ténès, se sont accélérés depuis trois mois environ à la suite de la reprise en main du projet par une entreprise turque Méditrav. Initialement prévu comme abri de pêche pour un coût de 100 milliards de centimes, le projet a été reconverti en port de pêche par décision ministérielle. Les travaux furent alors confiés à l'époque à l'unique entreprise spécialisée dans les travaux maritimes, en l'occurrence Sotramo. Trois milliards de dinars furent alloués à ce projet et les travaux commencèrent le 23 mars 2002, pour un délai de 36 mois. Après avoir réalisé 60% du projet, l'entreprise Sotramo connaîtra des difficultés technico-financières et en juin 2005, c'est l'arrêt total des travaux. Devant cette situation, le ministère de tutelle décidera de résilier le contrat avec Sotramo et désignera l'autre intervenant cité plus haut. Après avoir attendu, durant toute une année, la réévaluation du marché et son approbation par le comité des marchés, la nouvelle entreprise a démarré les travaux restants et s'est engagée à livrer le port au mois d'août prochain, c'est du moins ce qu'a déclaré récemment le directeur des travaux publics, Kada Oukebdane, lors d'une intervention sur Radio Chlef. Il faut dire que cette importante infrastructure portuaire, représentant une bouffée d'oxygène pour une région déshéritée et où le chômage a atteint des proportions alarmantes, a défié la chronique des journaux pendant longtemps. La ville de La Marsa a connu en effet la semaine passée des journées mouvementées «orchestrées» par des habitants réclamant du travail et la prise en charge des problèmes de la jeunesse. A ce sujet, la DTP prévoit plus de 1.400 emplois directs et environ 4.200 emplois indirects qui devront être générés par les activités de ce port en sus de la dynamique économique qu'il entraînera au niveau de cette région aux potentialités halieutiques très intéressantes. A noter que le port de la Marsa devra accueillir, à sa réception, 124 embarcations de pêche dont 25 chalutiers, 65 petits sardiniers et 34 petits métiers. Les travaux du port de la Marsa, situé à l'extrême ouest de la wilaya et à une cinquantaine de kilomètres de celui de Ténès, se sont accélérés depuis trois mois environ à la suite de la reprise en main du projet par une entreprise turque Méditrav. Initialement prévu comme abri de pêche pour un coût de 100 milliards de centimes, le projet a été reconverti en port de pêche par décision ministérielle. Les travaux furent alors confiés à l'époque à l'unique entreprise spécialisée dans les travaux maritimes, en l'occurrence Sotramo. Trois milliards de dinars furent alloués à ce projet et les travaux commencèrent le 23 mars 2002, pour un délai de 36 mois. Après avoir réalisé 60% du projet, l'entreprise Sotramo connaîtra des difficultés technico-financières et en juin 2005, c'est l'arrêt total des travaux. Devant cette situation, le ministère de tutelle décidera de résilier le contrat avec Sotramo et désignera l'autre intervenant cité plus haut. Après avoir attendu, durant toute une année, la réévaluation du marché et son approbation par le comité des marchés, la nouvelle entreprise a démarré les travaux restants et s'est engagée à livrer le port au mois d'août prochain, c'est du moins ce qu'a déclaré récemment le directeur des travaux publics, Kada Oukebdane, lors d'une intervention sur Radio Chlef. Il faut dire que cette importante infrastructure portuaire, représentant une bouffée d'oxygène pour une région déshéritée et où le chômage a atteint des proportions alarmantes, a défié la chronique des journaux pendant longtemps. La ville de La Marsa a connu en effet la semaine passée des journées mouvementées «orchestrées» par des habitants réclamant du travail et la prise en charge des problèmes de la jeunesse. A ce sujet, la DTP prévoit plus de 1.400 emplois directs et environ 4.200 emplois indirects qui devront être générés par les activités de ce port en sus de la dynamique économique qu'il entraînera au niveau de cette région aux potentialités halieutiques très intéressantes. A noter que le port de la Marsa devra accueillir, à sa réception, 124 embarcations de pêche dont 25 chalutiers, 65 petits sardiniers et 34 petits métiers.