Le ministre du Travail, de l‘Emploi et de la Sécurité sociale, M. Taïeb Louh, a reconnu que la mise en œuvre de la politique visant à promouvoir le travail décent requiert «une administration efficiente dotée des moyens d‘intervention nécessaires que sont notamment les instruments de contrôle». Pour ce faire, poursuit-il, «l‘Inspection du travail a bénéficié d‘un programme visant à adapter son organisation territoriale tant au niveau central que local». «Nous œuvrons également à renforcer les capacités d‘intervention de cette inspection à travers une dotation conséquente en moyens matériels et la mise en œuvre d‘un programme de valorisation de sa ressource humaine», promet-il. Dans une allocution qu‘il a prononcée à l‘ouverture, hier, à Alger, d‘une rencontre commémorant le 90e anniversaire de l‘OIT, M. Louh a affirmé que la législation algérienne est «en totale conformité» avec les conventions et recommandations de l‘Organisation internationale du travail (OIT). Le membre du gouvernement a étayé ses propos par l‘énumération des différentes conventions et recommandations de cette organisation que l‘Algérie a ratifiées. Il citera notamment celles relatives aux «conditions de travail décent, la création d‘opportunités d‘emploi et de l‘égalité de tous, hommes et femmes, en droits et en devoirs» qui selon lui sont «tout à fait conformes à la situation en Algérie». Lors de cette rencontre placée sous le thème «90 ans au service de la justice sociale», M. Louh a également rappelé que la législation en vigueur « consacre le dialogue social en tant que moyen privilégié de prévention et de règlement des conflits de travail et concourant à la réalisation des objectifs économiques et sociaux, dans un climat social serein». «Notre pays a enregistré une avancée appréciable en matière de dialogue et de concertation entre les partenaires économiques et sociaux, que ce soit dans le cadre des rencontres bipartites ou tripartites», insiste-t-il. M. Louh rappelle à cet effet que pas moins de 12 rencontres tripartites et 14 bipartites se sont déjà tenues jusqu‘à présent en Algérie. Lesquelles rencontres ont permis à son sens d‘«associer les partenaires sociaux à la prise de décisions dans les différents domaines de la vie économique et sociale». Evoquant le monde de l‘emploi en Algérie, le membre du gouvernement estime que celui-ci constitue «l‘une des priorités de la politique nationale de développement». Il en veut pour preuve l‘adoption en 2008 par le gouvernement d‘un plan d‘action pour la promotion de l‘emploi et la lutte contre le chômage. Il relève également, à ce propos, les différentes «mesures incitatives» prévues par la législation en matière d‘allègements fiscaux et parafiscaux visant à «encourager la création d‘emplois». Pour sa part, le secrétaire général de l‘Union générale des travailleurs algériens (UGTA), M. Abdelmadjid Sidi Saïd, a estimé que c‘est «grâce au dialogue social engagé depuis 1991 à travers les tripartites et bipartites que le pays a réussi à faire avancer les acquis sociaux». Cette rencontre a également été marquée par la présence des membres du patronat, la directrice du bureau de l‘OIT à Alger, Mme Maria Crisetti, et des responsables des structures sous tutelle du ministère du Travail. Le ministre du Travail, de l‘Emploi et de la Sécurité sociale, M. Taïeb Louh, a reconnu que la mise en œuvre de la politique visant à promouvoir le travail décent requiert «une administration efficiente dotée des moyens d‘intervention nécessaires que sont notamment les instruments de contrôle». Pour ce faire, poursuit-il, «l‘Inspection du travail a bénéficié d‘un programme visant à adapter son organisation territoriale tant au niveau central que local». «Nous œuvrons également à renforcer les capacités d‘intervention de cette inspection à travers une dotation conséquente en moyens matériels et la mise en œuvre d‘un programme de valorisation de sa ressource humaine», promet-il. Dans une allocution qu‘il a prononcée à l‘ouverture, hier, à Alger, d‘une rencontre commémorant le 90e anniversaire de l‘OIT, M. Louh a affirmé que la législation algérienne est «en totale conformité» avec les conventions et recommandations de l‘Organisation internationale du travail (OIT). Le membre du gouvernement a étayé ses propos par l‘énumération des différentes conventions et recommandations de cette organisation que l‘Algérie a ratifiées. Il citera notamment celles relatives aux «conditions de travail décent, la création d‘opportunités d‘emploi et de l‘égalité de tous, hommes et femmes, en droits et en devoirs» qui selon lui sont «tout à fait conformes à la situation en Algérie». Lors de cette rencontre placée sous le thème «90 ans au service de la justice sociale», M. Louh a également rappelé que la législation en vigueur « consacre le dialogue social en tant que moyen privilégié de prévention et de règlement des conflits de travail et concourant à la réalisation des objectifs économiques et sociaux, dans un climat social serein». «Notre pays a enregistré une avancée appréciable en matière de dialogue et de concertation entre les partenaires économiques et sociaux, que ce soit dans le cadre des rencontres bipartites ou tripartites», insiste-t-il. M. Louh rappelle à cet effet que pas moins de 12 rencontres tripartites et 14 bipartites se sont déjà tenues jusqu‘à présent en Algérie. Lesquelles rencontres ont permis à son sens d‘«associer les partenaires sociaux à la prise de décisions dans les différents domaines de la vie économique et sociale». Evoquant le monde de l‘emploi en Algérie, le membre du gouvernement estime que celui-ci constitue «l‘une des priorités de la politique nationale de développement». Il en veut pour preuve l‘adoption en 2008 par le gouvernement d‘un plan d‘action pour la promotion de l‘emploi et la lutte contre le chômage. Il relève également, à ce propos, les différentes «mesures incitatives» prévues par la législation en matière d‘allègements fiscaux et parafiscaux visant à «encourager la création d‘emplois». Pour sa part, le secrétaire général de l‘Union générale des travailleurs algériens (UGTA), M. Abdelmadjid Sidi Saïd, a estimé que c‘est «grâce au dialogue social engagé depuis 1991 à travers les tripartites et bipartites que le pays a réussi à faire avancer les acquis sociaux». Cette rencontre a également été marquée par la présence des membres du patronat, la directrice du bureau de l‘OIT à Alger, Mme Maria Crisetti, et des responsables des structures sous tutelle du ministère du Travail.