Encore une fois, les transporteurs, cette fois-ci ceux de Redjas, assurant la ligne Redjas-Mila-Redjas, s'illustrent en refusant de prendre en charge les voyageurs à destination de Mila, en ce samedi, premier jour de la semaine et coïncidant avec la période des examens pour la majorité des universitaires, et ce, pour protester contre les arrêts de bus et les embarquements de passagers à partir de leur point de départ. Les habitants de Redjas devraient, selon les propriétaires de J9 et autres bus, dépendre uniquement des transporteurs de Redjas, même si ces derniers pour faire le «plein de voyageurs» doivent les faire languir des heures, une histoire à dormir debout. Les bus de passage ont le droit de «descente» des voyageurs mais pas de leur «montée», c'est le nouveau diktat des transporteurs, leur nouvelle devise étant «ne chasse pas sur mon territoire, sinon…». Après les transporteurs de la ville de Mila qui avaient interdit aux bus venus «d'ailleurs» de stationner au niveau de la gare routière et de prendre des voyageurs, c'est au tour de ceux de Zéghaia d'interdire aux «autres» d'embarquer des passagers à partir du marché hebdomadaire, et de ceux de Redjas de se mettre en exergue. Voir des chauffeurs et receveurs de bus arrêter un autre bus et «arracher » les papiers du véhicule à son conducteur relève de l'invraisemblable et pourtant beaucoup de citoyens auront vu des scènes pareilles lors de cet «arrêt/grève» temporaire des transporteurs de Redjas dont certains se sont transformés en gendarmes, le temps qu'aura duré le débrayage. L'instauration d'un temps d'arrêt limité, sur les quais pour tout véhicule de transport en commun, et ce, quelle que soit la distance à parcourir pour ce dernier, devrait être une des priorités du ministère des Transports, faute de quoi, dans quelques années, le transport deviendra l'apanage de la loi du plus fort. Les usagers de ces moyens de transport demandent aux pouvoirs publics de les protéger contre les sempiternelles «sautes d'humeur» des transporteurs pendant qu'il en est encore temps. Encore une fois, les transporteurs, cette fois-ci ceux de Redjas, assurant la ligne Redjas-Mila-Redjas, s'illustrent en refusant de prendre en charge les voyageurs à destination de Mila, en ce samedi, premier jour de la semaine et coïncidant avec la période des examens pour la majorité des universitaires, et ce, pour protester contre les arrêts de bus et les embarquements de passagers à partir de leur point de départ. Les habitants de Redjas devraient, selon les propriétaires de J9 et autres bus, dépendre uniquement des transporteurs de Redjas, même si ces derniers pour faire le «plein de voyageurs» doivent les faire languir des heures, une histoire à dormir debout. Les bus de passage ont le droit de «descente» des voyageurs mais pas de leur «montée», c'est le nouveau diktat des transporteurs, leur nouvelle devise étant «ne chasse pas sur mon territoire, sinon…». Après les transporteurs de la ville de Mila qui avaient interdit aux bus venus «d'ailleurs» de stationner au niveau de la gare routière et de prendre des voyageurs, c'est au tour de ceux de Zéghaia d'interdire aux «autres» d'embarquer des passagers à partir du marché hebdomadaire, et de ceux de Redjas de se mettre en exergue. Voir des chauffeurs et receveurs de bus arrêter un autre bus et «arracher » les papiers du véhicule à son conducteur relève de l'invraisemblable et pourtant beaucoup de citoyens auront vu des scènes pareilles lors de cet «arrêt/grève» temporaire des transporteurs de Redjas dont certains se sont transformés en gendarmes, le temps qu'aura duré le débrayage. L'instauration d'un temps d'arrêt limité, sur les quais pour tout véhicule de transport en commun, et ce, quelle que soit la distance à parcourir pour ce dernier, devrait être une des priorités du ministère des Transports, faute de quoi, dans quelques années, le transport deviendra l'apanage de la loi du plus fort. Les usagers de ces moyens de transport demandent aux pouvoirs publics de les protéger contre les sempiternelles «sautes d'humeur» des transporteurs pendant qu'il en est encore temps.