Chaque dimanche (nouveau début de semaine), des jeunes, pour la plupart des étudiants, des vieux et de jeunes travailleurs, sur les quais de la gare routière de Mila, attendent désespérément de prendre un bus au départ de Constantine avec la crainte et l'angoisse de ne pas arriver à l'heure et de subir le courroux des enseignants et des patrons. Chaque dimanche (nouveau début de semaine), des jeunes, pour la plupart des étudiants, des vieux et de jeunes travailleurs, sur les quais de la gare routière de Mila, attendent désespérément de prendre un bus au départ de Constantine avec la crainte et l'angoisse de ne pas arriver à l'heure et de subir le courroux des enseignants et des patrons. Les dimanches, Il faut vraiment être costaud pour se débrouiller une place, car la gare grouille de monde venu de Mila bien sûr, mais également des agglomérations limitrophes à l'instar d'Ain Tinn, Azeba Lotfi, Zeghaia, Redjas et Sidi Merouane. C'est à un véritable parcours du combattant que sont soumis les voyageurs.Le problème du transport vers la capitale de l'Est a pris des proportions inquiétantes depuis l'interdiction du passage via la gare routière de Mila des bus et cars au départ des agglomérations précédemment citées vers Constantine. Cet état de fait a automatiquement diminué le nombre de cars à destination de Constantine et est, selon certains voyageurs, la cause principale de tous ces désagréments qui donnent une image pitoyable du secteur des transports de Mila. Du côté des taxis, au centre-ville exactement, le problème est identique et les voyageurs doivent courir et jouer des coudes pour se débrouiller une place. Les gens pressés n'ont qu'à prendre leur mal en patience. Récemment, une nouvelle directrice a été nommée à la tête de ce secteur et les Mileviens rêvent déjà d'un nouveau plan de transport, de nouvelles aires de stationnement et d'une vraie gare routière comme l'on en voit partout dans toutes les grandes villes du pays. Tous les Mileviens lui souhaitent bonne chance. Les dimanches, Il faut vraiment être costaud pour se débrouiller une place, car la gare grouille de monde venu de Mila bien sûr, mais également des agglomérations limitrophes à l'instar d'Ain Tinn, Azeba Lotfi, Zeghaia, Redjas et Sidi Merouane. C'est à un véritable parcours du combattant que sont soumis les voyageurs.Le problème du transport vers la capitale de l'Est a pris des proportions inquiétantes depuis l'interdiction du passage via la gare routière de Mila des bus et cars au départ des agglomérations précédemment citées vers Constantine. Cet état de fait a automatiquement diminué le nombre de cars à destination de Constantine et est, selon certains voyageurs, la cause principale de tous ces désagréments qui donnent une image pitoyable du secteur des transports de Mila. Du côté des taxis, au centre-ville exactement, le problème est identique et les voyageurs doivent courir et jouer des coudes pour se débrouiller une place. Les gens pressés n'ont qu'à prendre leur mal en patience. Récemment, une nouvelle directrice a été nommée à la tête de ce secteur et les Mileviens rêvent déjà d'un nouveau plan de transport, de nouvelles aires de stationnement et d'une vraie gare routière comme l'on en voit partout dans toutes les grandes villes du pays. Tous les Mileviens lui souhaitent bonne chance.