Les résidants à la cité CNEP, les 400-Logements, située en face du marché de Aïn Naâdja, commune de Gué de Constantine, ne cessent de se plaindre des nuisances engendrés par les ateliers de mécanique improvisés sur les espaces libres de leur cité. Les espaces libres sont en fait occupés par des prétendus mécaniciens faisant ronfler à longueur de journée les moteurs des véhicules en réparation sans aucun respect pour la quiétude des habitants. La nuit venue, le calme n'est pas pour autant au rendez-vous puisque les "mécaniciens" sont aussitôt remplacés par les jeunes désœuvrés et autres noctambules qui viennent s'installer sous les fenêtres des immeubles vidant force cannettes de bière, jurons, insultes obsénités et souvent des bagarres éclatent entre eux perturbant ainsi le repos des familles dont le quotidien est devenu infernal. Les agents de sécurité, présents sur les lieux, et qui sont censés veiller sur la sécurité des habitants de la cité affichent un laxisme intolérable et incompréhensible restant de marbre devant ces graves dépassements. L'absence de l'éclairage public complique un peu plus cette situation et les petits malfrats profitent de l'obscurité pour agresser et détrousser les malheureux retardataires. Une anarchie totale régne de ce fait au sein de cette cité dans laquelle même les espaces qui étaient au départ destinés à la réalisation d'espaces verts, sont squattés sans vergogne au vu et au su de tout le monde par les voitures, les gros engins et même les bus qui s'en servent comme parking. Le bidonville avoisinant la cité, qui s'agrandit au fil des temps de manière inquiétante, ne contribue pas à améliorer la sécurité dans cette cité dont les résidants ce cessent de tirer la sonnette d'alarme. Les résidants à la cité CNEP, les 400-Logements, située en face du marché de Aïn Naâdja, commune de Gué de Constantine, ne cessent de se plaindre des nuisances engendrés par les ateliers de mécanique improvisés sur les espaces libres de leur cité. Les espaces libres sont en fait occupés par des prétendus mécaniciens faisant ronfler à longueur de journée les moteurs des véhicules en réparation sans aucun respect pour la quiétude des habitants. La nuit venue, le calme n'est pas pour autant au rendez-vous puisque les "mécaniciens" sont aussitôt remplacés par les jeunes désœuvrés et autres noctambules qui viennent s'installer sous les fenêtres des immeubles vidant force cannettes de bière, jurons, insultes obsénités et souvent des bagarres éclatent entre eux perturbant ainsi le repos des familles dont le quotidien est devenu infernal. Les agents de sécurité, présents sur les lieux, et qui sont censés veiller sur la sécurité des habitants de la cité affichent un laxisme intolérable et incompréhensible restant de marbre devant ces graves dépassements. L'absence de l'éclairage public complique un peu plus cette situation et les petits malfrats profitent de l'obscurité pour agresser et détrousser les malheureux retardataires. Une anarchie totale régne de ce fait au sein de cette cité dans laquelle même les espaces qui étaient au départ destinés à la réalisation d'espaces verts, sont squattés sans vergogne au vu et au su de tout le monde par les voitures, les gros engins et même les bus qui s'en servent comme parking. Le bidonville avoisinant la cité, qui s'agrandit au fil des temps de manière inquiétante, ne contribue pas à améliorer la sécurité dans cette cité dont les résidants ce cessent de tirer la sonnette d'alarme.