Les psychologues réinvestiront la rue ce mardi en organisant un sit-in devant le siège du ministère de la Santé. Hier s'est achevé l'ultimatum fixé par le Syndicat national des psychologues (Snapsy) afin que leur tutelle propose une issue favorable à leurs doléances. Mardi, un sit-in des psychologues de la Fonction publique sera tenu devant le siège du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière à partir de 10h. Le lendemain, à la même heure, une action de protestation , de même type, sera observée par cette corporation, au siège de la Fonction publique. C'est ce qu'a décidé le conseil national du Syndicat national des psychologues (Snapsy) après qu'aucun engagement n'ait été respecté par leur tutelle. En effet, après sa rencontre avec le ministre de la Santé, début juin, le Snapsy a résolu de suspendre sa grève cyclique de chaque semaine, mais pour une période limitée dans le temps. Période qui s'est achevée hier mais n'ayant amené aucune avancée pour les psychologues "Nous avons décidé de geler momentanément notre action, du fait que le ministre de tutelle nous a promis de revoir notre classification au niveau de la direction générale de la Fonction publique", avait expliqué le président du Snapsy, Khaled Keddad, lequel avait également expliqué qu'ils comptent reprendre leur mouvement de protestation le 13 juin, soit hier si les engagements ne sont pas respectés. Aussi, face à l'inertie de leur situation, les psychologues ont mis à exécution leur ultimatum. Ces psychologues, défendant l'accord signé entre le syndicat et le MSPRH concernant leur demande de passer de la classification 12 à la catégorie 13, ne désarment pas. Ils demandent également l'ouverture immédiate des négociations sur le régime indemnitaire. "Nous ne comptons en aucun cas faire un pas en arrière, bien au contraire nous allons continuer à faire pression sur les pouvoirs publics jusqu'à obtention de gain de cause", affirme le président du Snapsy. Pour rappel, la plateforme des revendications de ce syndicat porte essentiellement sur "l'élaboration d'un statut particulier en collaboration entre le partenaire social et l'administration, la mise en place d'un système indemnitaire en harmonie avec les conditions particulières liées à l'exercice de la profession du psychologue, le règlement de la situation administrative du personnel contractuel, ou en activité sous contrat pré- emploi, la garantie du droit à la promotion dans le déroulement de leur carrière, assurer l'équipement dans les salles de visite, garantir aux psychologues le droit de représentativité au sein des conseils d'administration et autres conseils scientifique et médical". Les psychologues réinvestiront la rue ce mardi en organisant un sit-in devant le siège du ministère de la Santé. Hier s'est achevé l'ultimatum fixé par le Syndicat national des psychologues (Snapsy) afin que leur tutelle propose une issue favorable à leurs doléances. Mardi, un sit-in des psychologues de la Fonction publique sera tenu devant le siège du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière à partir de 10h. Le lendemain, à la même heure, une action de protestation , de même type, sera observée par cette corporation, au siège de la Fonction publique. C'est ce qu'a décidé le conseil national du Syndicat national des psychologues (Snapsy) après qu'aucun engagement n'ait été respecté par leur tutelle. En effet, après sa rencontre avec le ministre de la Santé, début juin, le Snapsy a résolu de suspendre sa grève cyclique de chaque semaine, mais pour une période limitée dans le temps. Période qui s'est achevée hier mais n'ayant amené aucune avancée pour les psychologues "Nous avons décidé de geler momentanément notre action, du fait que le ministre de tutelle nous a promis de revoir notre classification au niveau de la direction générale de la Fonction publique", avait expliqué le président du Snapsy, Khaled Keddad, lequel avait également expliqué qu'ils comptent reprendre leur mouvement de protestation le 13 juin, soit hier si les engagements ne sont pas respectés. Aussi, face à l'inertie de leur situation, les psychologues ont mis à exécution leur ultimatum. Ces psychologues, défendant l'accord signé entre le syndicat et le MSPRH concernant leur demande de passer de la classification 12 à la catégorie 13, ne désarment pas. Ils demandent également l'ouverture immédiate des négociations sur le régime indemnitaire. "Nous ne comptons en aucun cas faire un pas en arrière, bien au contraire nous allons continuer à faire pression sur les pouvoirs publics jusqu'à obtention de gain de cause", affirme le président du Snapsy. Pour rappel, la plateforme des revendications de ce syndicat porte essentiellement sur "l'élaboration d'un statut particulier en collaboration entre le partenaire social et l'administration, la mise en place d'un système indemnitaire en harmonie avec les conditions particulières liées à l'exercice de la profession du psychologue, le règlement de la situation administrative du personnel contractuel, ou en activité sous contrat pré- emploi, la garantie du droit à la promotion dans le déroulement de leur carrière, assurer l'équipement dans les salles de visite, garantir aux psychologues le droit de représentativité au sein des conseils d'administration et autres conseils scientifique et médical".